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Date de création : 31.05.2007
Dernière mise à jour : 14.11.2013
562 articles


Ministère de l'Enseignement secondaire

Publié le 14/11/2013 à 14:23 par didierhoundenou Tags : collèges
Ministère de l'Enseignement secondaire

 

Alassane Soumanou prend langue avec les chefs d’établissements

 

Le ministre de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle, de la reconversion et de l’insertion des jeunes, Alassane Soumanou, a échangé hier, à Cotonou, avec les directeurs des collèges d’enseignements général. Occasion pour lui de recenser leurs doléances dans la dynamique de l’amélioration du mode de gestion du système éducatif.

 

Après les proviseurs des lycées commerciaux, techniques agropastoraux, industrielles et des centres de métiers, c’est le tour des directeurs des collèges d’enseignement général, d’échange avec le ministre sur les problèmes des établissements dont ils ont la charge. Outre la création de contact direct, cette rencontre vient baliser le terrain pour la prochaine descente du ministre de l’Enseignement secondaire, Alassane Soumanou dans les collèges pour constater de visu les conditions de vie et de travail des enseignants.

 

Le ministre Alassane Soumanou a déclaré, au cours de cette rencontre, qu’il sait que les enseignants souffrent. « Je sais que les conditions ne sont pas remplies. Une nation, c’est d’abords l’éducation, la formation et l’apprentissage. Ce sont les enseignants qui sont les acteurs de l’école », a-t-il indiqué. Profitant de cette occasion, il a plaidé  pour la professionnalisation de la jeunesse béninoise et à l’auto-entrepreneuriale.

 

«  Nous devons nous remettre en cause pour que, nous puissions à travers nos programmes d’enseignement, faire en sorte que l’école soit au service de la communauté, c’est-à-dire, produire des cadres techniquement professionnels et compétents.  Nous sommes une société de consommation. Il faut privilégier la production. Nous allons continuer par nous battre pour l’amélioration des conditions de travail des enseignants ».

 

En abordant la question de l’éthique et de la morale, le ministre Alassane Soumanou, a dit que  chacun doit bien fait son travail. « Nous ne pouvons pas changer notre pays ex nihilo. Nous devons changer en tenant compte de nos valeurs fondamentales. Tout système éducatif est à l’image des potentialités de ce pays. La  politique ne doit pas prendre le pas sur le système éducatif. L’école demeure le seul endroit privilégier où les gens s’assaillent sans distinction de races, d’ethniques, ni de religions », a-t-il déclaré.

 

Alassane Soumanou a reconnu que l’enseignant ne peut jamais être payé à la hauteur de ses sacrifices. Et d’ajouter : « C’est un sacerdoce. Nous sommes, dans un système où il est difficile de dire qu’on a tout faire, mais obligatoire de montrer ce que nous avons fait. J’appel chacun de vous, à donner la visibilité à ce qu’il fait dans son collège ».

 

Le ministre de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle, de la reconversion et de l’insertion des jeunes, a réitère son engagement à tout mettre en œuvre pour que la contribution qu’il puisse apporter grâce au gouvernement améliore les conditions de travail des enseignants et que le minimum qu’il leur faut, leurs soient accordées. « Tout homme qui gagne est une personne de priorité. Tout ne peut se faire, au  même moment », a-t-il conclu.

Complexe scolaire de Cadjehoun

Publié le 13/11/2013 à 19:17 par didierhoundenou Tags : ecole
Complexe scolaire de Cadjehoun

 

Le ministre Eric N’dah descend sur le chantier de réfection des salles de classes

 

Le ministre des Enseignements maternel et primaire, Eric N’Dah, a effectué le mardi 12 novembre 2013, une descente sur le chantier de réfection des salles de classes du Complexe scolaire de Cadjehoun. Occasion pour lui de constater le niveau d’avancement du chantier.

 

Visite des deux modules de 3 salles de classes avec à la clé des instructions fermes, tel est l’image que le ministre des Enseignements maternel et primaire, Eric N’Dah a imprimé à sa dernière visite d’inspection au Complexe scolaire de Cadjehoun. Ici, les ouvriers sont  sur des échelles à passer des peintures, à poser des briques, à faire du crépissage et d’autres à mélanger le ciment et le sable. En un mot, les ouvriers étaient à l’œuvre pour rester dans le délai de livraison qui est prévu pour le 15 novembre à 18 heures. A 72 heures de cette date, le niveau d’exécution des travaux est de 90%. Le premier module est pratiquement terminé et le second devrait l’être depuis hier et la peinture généralisée dès ce jour.

 

« Je constate que les travaux ont beaucoup évolué, mais chat échaudé craint toujours l’eau froide. Tant que, je n’ai pas les deux modules en plus de la maternelle en main, je ne peux exprimer ma satisfaction », a confié le ministre des Enseignements maternel et primaire, Eric N’Dah. Le Chef de l’Etat, a-t-il poursuivi, tient à l’ensemble de toutes les écoles du Bénin. « Nous devons tout faire pour respecter les orientations données par le Chef de l’Etat. Nous avons d’énormes besoins de salles de classes et d’enseignants. La gratuité de l’enseignement a induit une arrivée massive d’enfants dans les écoles et la conséquence, nous avons besoins de plus de salles de classes et d’enseignants », s’est défendu le ministre Eric N’Dah.

 

« Aujourd’hui, nous construisons en moyenne 1200 salles de classe par an. Plus de 8 000 enseignants sont reversés et nous sommes entrain de recruter actuellement 1600. Les efforts sont en cours. Nous sommes en train de faire le suivi de tous nos chantiers. Nous sommes interpellés à l’intérieur du pays. Les populations ont raison de demander les salles de classes et de mobiliers, mais elles doivent reconnaître les efforts du gouvernement », a laissé entendre Eric N’Dah.

Le directeur des Infrastructures, de l’équipement scolaire du ministère des Enseignements maternel et primaire, Tamou Bio a rassuré que la peinture terminera bientôt, et les bâtiments seront livrés à bonne  date comme promis au Chef de l’Etat.

 

Examens du Deat et du Beat 2013

Publié le 05/11/2013 à 14:08 par didierhoundenou Tags : Deat
Examens du Deat et du Beat 2013

 

851 candidats planchent dans 4 centres de composition

 

La directrice des Examens et concours du ministère de l’Enseignement secondaire, Catherine Bio Saré Mégninou, a lancé le lundi 4 novembre 2013, au Lycée agricole Médji de Sékou, les épreuves du Diplôme d’études agricoles tropicales (Deat). Ce lancement concerne également les 208 candidats du Brevet d’études agricoles tropicales (Beat) de Natitingou, Ina et d’Adja-Ouéré. C’est en présence du directeur de l’Enseignement technique, René Mathias Akakpo.

 

Très tôt le matin, pas petits groupes, les 391 candidats au Diplôme d’études agricoles tropicales (Deat), nouvelle formule et les 88 candidats du Deat ancienne formule, ont pris d’assaut le centre de composition du Lycée technique agricole Médji de Sékou. Chose étonnante, grand nombre des candidats à cet examen ont l’aire décontracté, la joie dans le cœur et se permettent quelques échanges avant le lancement des épreuves. A quelque minute, du démarrage du premier sujet, deux candidats, l’un flanqué de sa mère et l’autre d’un ami sont venus au censorat où sont réunis les surveillants pour demander la clémence de l’administration afin de laisser les deux candidats qui n’ont pas pu s’acquitter de leur contribution de plancher. Une démarche qui n’a pas laissé l’administration.

 

Le Diplôme d’études agricoles tropicales (Deat), comporte l’ancienne formule et la nouvelle formule. Cette année, pour la nouvelle formule, 156 candidats composent au Lycée technique agricole de Kika, 86 au Lycée technique agricole d’Akodéha, 391 au Lycée technique agricole Médji de Sékou et 130 au Lycée technique agricole d’Adja-Ouéré. Avec l’ancienne formule, ils sont 83 au Lycée technique agricole de Sékou, 4 au Lycée d’Adja Ouéré et 1 candidat au Lycée de Kika. En ce qui concerne le Brevet d’études agricoles tropicales (Beat), 51 candidats planchent au Lycée technique agricole de Natitingou, 90 au Lycée technique agricole d’Ina, et 67 au Lycée technique agricole d’Adja-Ouéré.

 

88 candidats pour le Deat ancienne formule

 

Le Deat, ancienne formule avec 88 candidats, est calqué sur le format du Brevet d’études agricoles tropicales (Beat) avec deux options que sont la production animale et la production végétale. La nouvelle formule qui peut être qualifié d’Approche par compétence, a enregistré le plus fort taux d’effectif avec 763 candidats. Hier, les candidats ont composé, dans trois épreuves de spécialités. Il faut souligner que la nouvelle formule du Deat, comporte la production animale, la production végétale, la pêche, l’aménagement et l’équipement rural. Chacune de filière ont trois épreuves de spécialité de deux heures. Après la phase théorique, les candidats plancheront le mercredi et le jeudi en phase pratique, chacun dans sa spécialité. Le vendredi, ils auront à faire la soutenance de leurs microprojets d’installation. Les élèves qui font les lycées agricoles font 7 ans d’études, 3 ans au niveau I pour aller au Beat, 4 ans après pour le Deat et un an de stage sur le terrain.

 

A cette soutenance, a rappelé la directrice des Examens et concours du ministère de l’Enseignement secondaire, Catherine Bio Saré Mégninou, les parents doivent laisser les candidats tranquilles. « La note de la soutenance, ne signifie pas que le candidat est déjà admis. Pour être admis, il faut l’addition des notes des 4 années de formation, plus les notes de cet examen y compris la soutenance. Il est exigé des candidats la moyenne de 10 pour être admis », a-t-elle précisé.

 

Le directeur de l’Enseignement technique (Det), René Mathias Akakpo, a insisté sur l’importance de cet examen. « Le ministre a insisté pour que le lancement soit fait au même titre que le Baccalauréat de l’enseignement général et les diplômes de techniciens industriels ». Le Det  a déclaré  que les titulaires du Deat n’ont pas besoin d’attendre la fonction publique pour exercer leurs métiers.

 

La formation de créateurs d’entreprises fait son entrée dans les lycées

 

Aujourd’hui, a indiqué Catherine Bio Saré Mégninou, le Chef de l’Etat et le ministre Alassane Soumanou se battent pour trouver  effectivement solution aux problèmes de la jeunesse et pour cause. Cette année, le ministre a pu ouvrir deux centres de formation de créateurs d’entreprises que sont le Lycée technique agropastoral d’Adja-Homey et le Lycée agropastoral de Banikoara. Ainsi, lorsqu’un candidat est admis au Deat, il a la possibilité d’aller à l’université pour continuer ses études, ou ils peuvent aller dans ces écoles pour pouvoir s’installer à la fin à son propre compte. « Il faut que la population sache que, rester chez soit pour dire que le peuple a faim, est un crime. Il y a assez d’opportunités pour les jeunes pour qu’ils puissent se défaire un peu de la tutelle de leurs parents », a-t-elle fait observer.

 

Pour René Mathias Akakpo, les jeunes titulaires de Deat et des filières industrielles seront recrutés dans ces établissements pour être formé pendant 6 à 9 mois, en entrepreneuriat pour pouvoir crée des entreprises agricoles, industrielles et autres. Cette innovation va permettre à ces jeunes de se prendre en charge très tôt. « Il en ait de même pour tous les lycées où nous allons commencé par faire l’initiation à l’entrepreneuriat comme il faut, à partir de la classe de la classe de la première pour éviter qu’ils attendent un emploi ou de passer le concours de la fonction publique. Le gouvernement est conscient du problème de l’emploi aujourd’hui. Nous nous engageons fermement pour accompagner les initiatives de notre ministre de tutelle qui a souhaité, sur instruction du Chef de l’Etat, de créer ces centres qui seront démultipliés dans les autres établissements, si les objectifs sont atteints », a-t-il conclu.

 

 

Mouvement d'humeurs à l'Uac

Publié le 05/11/2013 à 14:04 par didierhoundenou Tags : Uac
Mouvement d'humeurs à l'Uac

 

Le recteur Brice Sinsin apporte des clarifications

 

L’Université d’Abomey-Calavi a été le théâtre le lundi 4 novembre 2013, d’un mouvement d’humeur des étudiants qui a nécessité l’intervention des forces de l’ordre. C’est le paiement de la deuxième inscription par les étudiants qui ont opté pour une double inscription qui est à la base de cette échauffourée entre étudiants et forces de l’ordre sur le campus. Approché, le recteur de l’Université d’Abomey-Calavi, Brice Augustin Sinsin a réagi face à la situation.

 

« Je suis tout à fait informé de ce qui s’est passé sur le campus. Dans un mouvement de foule, quelques uns peuvent chuter, quelques uns peuvent avoir divers malaises. C’est une grosse église, l’Université d’Abomey-Calavi. Nous avons fini avec 95 000 étudiants et cette année nous sommes au delà de la centaine de milliers.

 

 Il faut mettre tout en œuvre pour contenir les étudiants, il faut tout mettre en œuvre pour mener à bien la mission que l’Etat nous a confiée qui est de former les cadres supérieurs à l’Uac. Il faudrait bloquer les manifestations violentes. La seule institution capable de contenir tout ce qui quitte le cadre démocratique, c’est la police.

 

 La revendication des étudiants est-elle fondée ?

 

Il faut remonter un peu loin. Cette décision de faire payer la deuxième inscription n’est pas tombée subitement. Nous en avons déjà discuté lors de divers Comité de direction. Les 2èmes inscriptions des étudiants sont fantaisistes. Les étudiants se plaignaient du paiement de certain frais. Nous avons dans un premier temps pensé soulager les étudiants. Et lorsque, nous l’avons fait, ils ont applaudi.

 

Le paiement de la deuxième inscription permet de contrôler le flux d’étudiants et de minimiser les pertes des établissements. Ce sont ceux qui ont vraiment besoin d’une seconde inscription qui le feront. L’Etat a accordé une inscription gratuite, et si vous prenez la décision de vous inscrire ailleurs, vous êtes tenu de payer juste l’équivalent de 15.000 f.Cfa. Ils ont compris cette démarche lorsque, nous leur avions montré le bilan de tout ce que nous avons fait gagner cette année.

 

C’est leur droit en tant qu’étudiant de ne pas être d’accord, mais ce n’est pas la peine d’aller casser ce que nous avons difficilement réussi. A ce niveau, il n’y a pas de négociation. La police viendra y mettre fin. Contenir une grande foule, ne se passe pas souvent sans casse. Il faut toujours regretter qu’on en arrive là. Je m’excuse pour les innocents qui malheureusement ont pris le gaz ».

World Quality commitment 2013

Publié le 30/10/2013 à 18:00 par didierhoundenou Tags : Uac
World Quality commitment 2013

 

 

L’Université d’Abomey-Calavi primé dans la catégorie Platine

 

L’Université d’Abomey-Calavi, vient, une fois encore, d’être distinguée, le dimanche 27 octobre 2013 à Paris, au cours de la Convention internationale à la qualité. Des mains du président de Bussness initiative directions (Bid), José Prieto, le recteur de l’Université d’Abomey-Calavi, Brice Sinsin et le deuxième vice-recteur chargé de la coopération internationale, Souaibou Farougou ont reçu ce prix qui vient  à nouveau rehausser l’image de marque de la première université du Bénin.

 

 

C’est dans la salle des conventions de Hyatt regency Paris Etoile que, l’Université d’Abomey-Calavi a eu une nouvelle consécration pour les efforts entrepris par ses responsables, en faisant de la qualité le  principal objectif pour une amélioration continue de la  gestion afin de conserver une place de leader dans l’enseignement supérieur et  la recherche scientifique. Depuis sa prise de fonction l’équipe rectorale a mis déployé des efforts remarquables pour relever le défi de la qualité. Ce qui n’est pas allé sans quelques grincements de dents au sein de la communauté universitaire. Les usagers de l’université d’Abomey-Calavi ont fini pas cerner l’urgence des réformes qui devraient conduire à la qualité ; car ils ont finalement compris qu’il n’est pas possible de faire des omelettes sans casser des œufs. Cette détermination de l’équipe rectorale a payé, non seulement au plan local, mais également au niveau international.

 

Au plan local, le système Licence-Master-Doctorat a mis  l’Université d’Abomey-Calavi, sur orbite avec en toile de fond de ce système, la mobilité des étudiants et des enseignants. Un système que le contexte de la globalisation impose à toutes les universités modernes qui veulent, vraiment progresser. L’accroissement des productions scientifiques et le nombre impressionnant d’enseignants qui évoluent en grades, témoignent de la vitalité de cette université qui présente, aujourd’hui, un nouveau visage. En revenant à l’Uac, nombre de personnalités ou de simples citoyens, sont stupéfaits du grand changement qu’à connu, en un temps record, l’université. Elle continue de faire la fierté du Bénin. Tous les  acteurs, que ce soit les enseignants, les étudiants, les personnels administratifs, les divers spécialistes, même les tenanciers de gargote et autres maquis ont dû subir, bon gré mal gré, la pression pour le changement de comportements, afin de contribuer à redorer l’image de l’université.

 

Au plan international, la notoriété de l’Université d’Abomey-Calavi s’étend et s’affirme. Le prix « Convention » dans la catégorie Platine que vient de recevoir l’Uac au cours de la convention internationale à la qualité, vient compléter la longue liste des distinctions qui ne cessent de pleuvoir sur cette université dans divers domaines. L’engagement de l’Uac, à la qualité, au leadership, à la technologie et à l’innovation viennent d’être, une fois encore, reconnu. L'Université d'Abomey-Calavi fait de la qualité son principal objectif pour une amélioration continue de sa gestion afin de conserver une place de leader dans son secteur. C’est ce qui justifie le fait que le président de Business Initiative directions (Bid), José Prieto a remis en personne, au recteur Brice Sinsin et le deuxième vice-recteur, Souaibou Farougou, ce prix pour récompenser l’engagement à la qualité et à l’excellence, toute en exhortant l’Université d’Abomey-Calavi, à ne pas baisser a garde et à continuer le combat.

 

 

Pro-Educ

Publié le 29/10/2013 à 15:15 par didierhoundenou Tags : éduc
Pro-Educ

 

 

 

Le comité d’orientation et de suivi a siégé

 

Le directeur de cabinet du ministère des Enseignements maternel et primaire, Albert Adagbé, a lancé le jeudi 24 octobre 2013 à Cotonou, les travaux de la deuxième réunion du comité d’orientation et de suivi 2013 du Projet de l’éducation de base pour le renforcement des circonscriptions scolaires (Pro-Educ) mis en œuvre par la Giz. C’est en présence du représentant résidant de la Giz au Bénin, Michaël Broemmel.

 

Au cours de cette séance, les participants se pencheront sur les résultats de la mission de contrôle d’avancement du projet Pro-Educ et analyseront les grands axes de sa prochaine phase, ce qui marque une étape importante dans la vie de ce projet. Ainsi, ces assises qui seront une occasion pour faire le point sur la mise en œuvre du projet Pro-Educ, permettront d’assurer la contribution du partenaire et de tous les acteurs impliqués dans la validation des grands axes et champs d’actions de la prochaine phase du projet.

 

Le directeur de cabinet du ministère des Enseignements maternel et primaire, Albert Adagbé, a déclaré que cette deuxième réunion du comité d’orientation et de suivi, permettra au gouvernement de procéder à des ajustements nécessaires pour la résolution des problèmes de qualité dans le secteur éducatif. Il a reconnu que le Bénin tire beaucoup profit de ce projet. Dans cette dynamique, a-t-il annoncé, le gouvernement veut étendre le projet dans les autres circonscriptions en 2014. Albert Adagbé n’a pas manqué de saluer toutes les actions de la République fédérale d’Allemagne pour que le Bénin gagne le challenge de la mondialisation.

 

Le représentant résidant au Bénin de la Giz, Michaël Broemmel, a fait observer que  cette réunion est une occasion pour jauger l’état d’avancement du projet et donner les nouvelles orientations qui s’imposent. Il a exhorté les participants à proposer  des stratégies efficaces pour la capitalisation des résultats et aussi pour assurer une meilleure synergie.

 

Il faut souligner que le projet Pro-Educ est financé par le ministère Fédéral allemand de la coopération économique et du développement (Bmz) et mis en œuvre par la Deutche gesellschaft für international zusammenarbeit (Giz) Gmbh, en partenariat avec le ministère des Enseignements maternel et primaire. Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’appui à la mise en œuvre du Plan décennal de développement du secteur de l’éducation (Pddse).

 

L’objectif global de Pro-Educ est de renforcer les capacités des circonscriptions scolaires dans les domaines de l’inspection pédagogique, de l’administration scolaire et de la programmation de l’éducation. Il est axé sur trois composantes que sont, le développement organisationnel des circonscriptions scolaires, la formation continue de leur personnel et le renforcement des liens de coopération entre les acteurs et le développement de réseaux de professionnels.

 

Rentrée académique à l'Enam

Publié le 24/10/2013 à 20:45 par didierhoundenou Tags : Enam
Rentrée académique à l'Enam

 

Une rentrée placée sous le thème  « l’Office du juge »

 

Le premier vice-recteur, chargé de la coopération scientifique de l’Université d’Abomey-Calavi, Maxime da Cruz, a lancé le 23 octobre 2013, à l’amphi Julien Codjovi, la rentrée solennelle de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam). C’est en présence du directeur de cette école, Nicaise Médé et du président de la Cour suprême, Ousmane Batoko, qui a présenté une conférence inaugurale qui a porté sur le thème : « L’office du juge ».

 

C’est à 48 heures de la rentrée académique des universités publiques du Bénin que la prestigieuse  Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam), a officiellement lancé le démarrage de ses activités académiques pour le compte de l’année académique 2013-2014. Occasion choisie par les responsables de cette école pour présenter le livre qui porte sur la réforme de l’Etat au Bénin : Etat de la réforme.

 

Au cours de cette rentrée solennelle de l’Enam, le président de la Cour suprême, Ousmane Bakoto a prononcé une conférence inaugurale qui a porté sur l’Office du juge. Il a indiqué que la justice doit s’ouvrir au monde universitaire afin qu’elle puisse s’enrichir des réflexions. Dans son exposé, le conférencier a présenté le fondement de l’office du juge, le juge et la direction du procès, le juge et le challenge pour un état de droit. Selon lui, le juge est soumis à l’autorité de la loi. « L’Office assigné au juge est de rendre une bonne justice, efficace et rapide. La justice est un service spécifique qui place le juge au cœur du jeu démocratique. L’impartialité, la compétence, l’humilité et le respect des justiciables devraient imprégner la pratique du juge », a-t-il fait observer.

 

En présentant son école, le directeur de l’Enam, Nicaise Médé a déclaré que l’histoire de son école est celle de ceux qui font carrière dans les administrations. Avec 2 913 candidats l’année passée, il a estimé qu’avec les nouvelles offres de formation engendrée par de nouveaux besoins, cet effectif connaîtra cette année un accroissement. La recherche de l’excellence, a-t-il poursuivi, a amené l’école à des partenariats dans la dynamique du renforcement des capacités de formation. 

 

Pour le premier vice recteur, chargé de la recherche scientifique de l’Université d’Abomey-Calavi, Maxime da Cruz, a trouvé qu’une rentrée solennelle est une activité importante. « Battons-nous pour éviter que notre pays, soit le cimetière des réformes mal pensées et mal formées », a-t-il indiqué.

 

Si, le représentant des étudiants, Oswald Egouléti, a souhaité plus de rapprochement avec la direction,  le  représentant des enseignants, Charlemagne Fanou a, quant à lui, déploré le manque crucial d’enseignants permanents : 30 enseignants permanents sur un total de 190 qui interviennent à l’Ecole nationale d’administration et de magistrature.

 

Concours de posters scientifiques

Publié le 24/10/2013 à 20:31 par didierhoundenou Tags : sciences
Concours de posters scientifiques

 

Les lauréats sont connus

 

L’ambassadeur de France au Bénin, Aline Kuster-Manager, a présidé, mardi 22 octobre 2013 dernier à l’Isba, la cérémonie de remise de prix aux lauréats de la quatrième édition du concours de posters scientifiques franco-béninois. C’est en présence du secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Daton Médé, et le premier vice-recteur de l’Université d’Abomey-Calavi, Maxime da Cruz.

 

Organisé par l’Institut français du Bénin et la Direction nationale de la recherche scientifique et technique, en partenariat avec le Cirad et l’Ird, l’édition 2013 du concours de posters scientifiques franco-béninois a enregistré 12 lauréats parmi les 40 participants. Ce concours a pour ambition d’illustrer et de mettre en lumière les travaux de recherche qui sont menés au Bénin par des chercheurs béninois, dans le cadre de partenariats scientifiques avec des institutions d’autres pays francophones à travers le monde. Le poster est choisi par les organisateurs de ce concours, comme support de valorisation et de communication en direction de la communauté scientifique, car il s’adresse aussi bien aux scolaires qu’aux étudiants ou au grand public désireux de connaitre l’imagination ou les prouesses des chercheurs.

 

Yarou Boni avec le poster portant sur le Tchayo, Louis Fagbohoun avec sa production sur l’évaluation de la toxicité et de l’activité antioxydante de l’extrait méthanolique des feuilles de teck, et Sylvie Essou avec son poster portant sur les moyens de lutte contre la jacinthe d’eau dans les plans et cours d’eau de la basse vallée de l’Ouémé, sont les trois premiers lauréats de l’édition de cette année.

 

Les 12 meilleurs productions de posters retenues par le jury cette année, sont imprimés sur bâches et déjà exposées depuis hier à l’Institut français de Cotonou, avant d’être présenté à l’Institut français de Parakou, au cours d’une exposition qui débutera le mois prochain dans le cadre des « 72 heures de la science à Parakou ».

 

Selon l’ambassadeur de France près le Bénin, Aline Kruster-Manager, la France s’attache depuis longtemps à promouvoir la coopération scientifique avec le Bénin, notamment dans les domaines de l’agriculture, de la santé, de l’environnement et des sciences sociales.  « Le secteur de la recherche, tant fondamentale qu’appliquée, constitue avec l’enseignement supérieur, l’une des priorités de la France. La recherche scientifique constitue un espoir et un outil déterminant pour relever les grands défis mondiaux. Les sciences n’ont pas de frontière, c’est pourquoi nous organisons et soutenons un tel concours, qui illustre la diversité et la grande qualité des travaux de recherche qui sont conduits au Bénin », a-t-elle conclu.

Tours administratives

Publié le 24/10/2013 à 19:20 par didierhoundenou Tags : secondaire
Tours administratives

 

Le ministère de l’Enseignement secondaire a déménagé

 

Le ministère de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle, de la reconversion et de l’insertion des jeunes siège désormais dans les tours administratives nouvellement construites. Le  lundi 21 octobre 2013, que par une cérémonie solennelle, le ministre Alassane Soumanou et les cadres à divers niveaux de son département ministériel ont rejoint les nouveaux bureaux à eux octroyer sur décision prise en conseil des ministres.

 

C’est par la cérémonie des couleurs que le ministère de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle, de la reconversion et de l’insertion des jeunes a choisi d’officialisé sa présence à la tour administrative. Construit pour reloger quatre ministères, l’enseignement secondaire est le premier à prendre place dans ses nouveaux locaux.

 

 Selon le directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement secondaire, Mohamed GIBIGAYE, a indiqué qu’il s’agit de montrer à tous les usagers que désormais la plupart des directions du ministère de l’enseignement secondaire autrefois éparpillées à travers la ville de Cotonou sont regroupés sur le seul site de l’immeuble A de la Tour Administrative.

 

 Les élèves, professeurs et certains responsables syndicaux invités exceptionnellement pour l’occasion n’ont pas hésités à remercier le gouvernement pour le choix porté sur leur ministère dans le cadre de ce relogement. Après avoir joué le rôle de guide en faisant visiter les principaux compartiments aux élèves invités, le ministre Alassane Djimba Soumanou a souhaité voir plusieurs d’entre eux devenir les prochains ministres de l’éducation dans les années à venir. Comme pour concrétiser cette prière qu’il venait de leur faire, c’est un jeune élève de la classe de 5ème que le ministre a choisi pour donner le top de la première  réunion du Comité de direction dans la tour administrative.

 

Il faut noter que le ministère de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle, de la reconversion et de l’insertion des jeunes occupe les bureaux situés du rez-de-chaussée au 4ème étage de la tour A. Le ministère chargé des Relations avec les Institutions partage le même bâtiment avec ses services situés du 5ème au 8ème étage.Quant à la tour B, elle sera partagée entre deux autres ministères notamment la Fonction publique et la Micro finance.

 

Université d'Abomey-Calavi

Publié le 17/10/2013 à 15:41 par didierhoundenou Tags : Uac
Université d'Abomey-Calavi

Les productions scientifiques de l’université en accroissement

 

La toute première université du Bénin, l’Université d’Abomey-Calavi a amorcé depuis quelques temps, un virage à 180 degrés sur d’importantes réformes qui ont imprimé un nouveau visage à cette université publique. Outre le système Licence-master-doctorat qui s’est implanté dans toutes les facultés à grands effectifs, depuis la dernière rentrée académique, les productions scientifiques ont connu une augmentation exponentielle, ce qui a permis à l’Uac de faire un score historique aux derniers Comités techniques spécialisés de la 35ème session du Conseil africain et malgache de l’Enseignement supérieur (Cames) qui s’est tenu  à N’djamena au Tchad. Ainsi, sur 152 candidats présentés par l’Université d’Abomey-Calavi, 130 ont été déclarés admis, soit un taux global de réussite de 86%.

 

Selon le rapport d’activité de la recherche universitaire 2012 du Conseil scientifique de l’Université d’Abomey-Calavi, le nombre de travaux scientifiques et de publications est en croissance malgré la part modeste du budget alloué à la recherche par l’Etat. Au cours de ces six dernières années, l’Uac a produit 2008 publications toutes catégories de revues confondues. Le même rapport a souligné que le taux moyen annuel d’accroissement du nombre de publications est de 27%. Selon les prévisions, si cette tendance d’accroissement est maintenue, la production scientifique de l’Uac atteindra 7  846 d’ici 2023. En moyenne 335 publications sont produites chaque année contre 4 700 pour l’Afrique du Sud, 3 000 pour l’Egypte, 1 000 pour le Nigéria et 650 pour le Kenya.

 

Le rapport du conseil scientifique de l’Uac, a également reconnu que la contribution de l’Uac à la part africaine des publications scientifiques, produites chaque année à savoir 27 000 publications, ne représente que 1,2%. Par contre, sur le plan national, il est noté une nette amélioration de la performance des enseignants-chercheurs de l’Uac en matière de vulgarisation des résultats de recherche par rapport aux années précédentes. Ceux-ci s’intéressent de plus en plus aux revues d’audience internationale pour la valorisation de leurs travaux de recherche.

 

Le conseil scientifique de l’Uac a dénombré 24% d’articles à impact factor sur un total de 566 articles publiés reçus en 2012. Au total, 213 articles ont été publiés sur le plan local. C’est la preuve qu’un équilibre est en train d’être trouvé entre la vulgarisation des travaux de recherche sur le plan international et sur le plan local. Afin de mettre son expertise variée et diversifiée à la disposition de la collectivité, l’Uac a enregistré un nouvel accroissement qualitatif de l’effectif des enseignants avec l’inscription de 111 d’entre eux, dont 17 professeurs titulaires, 34 maîtres de conférences et 60 maîtres assistants sur les différentes listes d’aptitude du Conseil africain et malgache de l’Enseignement supérieur (Cames).

 

Ainsi, en 2012, le rendement de l’Université d’Abomey-Calavi en matière d’articles est de 8 articles par professeur titulaire, 2 articles par professeur de rang magistral, 1 article par enseignant inscrit sur la liste d’aptitude du Cames, 1 article pour 1 enseignant, tous grades confondus. Ce rendement de travaux scientifiques réalisés, selon le conseil scientifique de l’Uac, démontre assez bien que l’Université d’Abomey-Calavi est en train de contribuer lentement mais sûrement à la résolution des problèmes de développement socio-économique et culturel du Bénin.

 

Des ressources humaines fécondes en productions scientifiques

 

Le niveau de production scientifique respectable, et ce dans des revues prestigieuses, de ces dernières années est rendu possible grâce au personnel enseignant qualifié dont dispose l’Uac. Il est dénombré 939 enseignants-chercheurs et 60 % de ceux-ci sont inscrits sur les différentes listes d’aptitude du Cames. Dans sa mission d’assurer l’enseignement, la recherche et des prestations de service au profit de la société, l’Uac peut compter jusqu’en 2012 sur 26% d’enseignants de rang magistral. Un effectif des enseignants de l’Uac se présente comme une pyramide à base élargie comparable au bon nombre des universités de par le monde.

 

En outre, la tendance d’inscription des enseignants de l’Uac au cours de ces dernières années est exponentielle. Si, elle se maintenait, le nombre d’enseignants qualifiés à savoir, professeurs titulaires, maîtres de conférences, maîtres assistants peut être estimé à 3 565 au cours des 10 prochaines années. Ainsi, selon les prévisions, on pourrait dénombrer 1 897 maîtres assistants et 921 maîtres de conférences. L’évolution quadratique que connaît l’inscription des professeurs titulaires permet d’en espérer 126 d’ici 2023.

 

Il faut préciser que le personnel enseignant qualifié de l’Uac est renforcé dans ses missions par 70 chercheurs, 7 attachés de recherche et 36 enseignants vacataires. Une diversité de ressources humaines répartie dans les écoles doctorales, les laboratoires et les unités de recherche. Mieux, au cours de l’année 2012, différentes équipes de recherche ont mené des activités entrant dans le cadre de l’animation scientifique de l’Uac à travers des projets et les formations doctorales.

 

Sans nul doute, c’est la conjugaison de toutes ces facteurs qui ont conduit à enregistré un taux global de réussite de 86%, soit 130 candidats admis sur les 152 présentés, aux derniers comités consultatifs interuniversitaires et ceux du Comités techniques spécialisés de la 35ème session du Conseil africain et malgache de l’Enseignement supérieur à N’djamena, du 15 au 23 juillet dernier. En somme, un score historique qu’il faudra œuvre à battre pour une Uac, davantage plus productive.