Mon courrier
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Mon Courrier

écrivez-moi à mery@pallone.fr

Je reviens vite chez moi, je retrouve la seule chose qui me permet de te parler;la semaine dernière ce fut un jeudi bien étrange, pas vraiment emplie de désarrois, je n'ai pas pleuré, c'était angoissant de me dire que je commençais pour la première fois une année sans toi. Tu sais ma jolie Méry, je me rapprocherai de toi, je te rendrai visite, jusqu'à ce que je sois une petite vielle. Tu es portée par ton amoureux, et tes enfants on me l'a dit, j'en suis si fière, tu emplie leur vie en douceur, avec bonheur, si simplement.
Je reviens d'un bout de terre ou tu te serais plut .Tu m'avais parlé d'une envie de vous 'installer en Australie, tu te souviens de ça? C'était comme souvent d'ailleurs, des discussions sans fondement réel mais nous, on aimait se fabriquer des vies d'aventurières, tout laisser, et tout refaire ailleurs. Et puis on se marrait en nous regardant enfoncées dans ton canapé un thé à la main? C'était de très belles vacances, pour nous, pour les enfants. 
Je t'aime si fort, il faut que j'accepte de ne plus t'entendre, et j'ai si peur d'oublier un jour les intonations de ta voie ,tes mimiques, tes expressions, qui te rendent si unique, qui font de toi la plus chère de toute ,celle que jamais je n'aurais voulue perdre.
Ne m'oublie pas ,embrasse les loulous qui grandissent trop vite et Tony qui me manque.
Voilà, un an est passé, une année toute neuve commence, et ces derniers mois ont été plein de rebondissements, j'ai eu à nouveau ce réflexe que je m'étais forcé à ne plus avoir: prendre mon téléphone, exploser mon forfait, et passer deux bonnes heures à parler avec toi!
Le temps passe vite, mais la mémoire elle, ne bouge pas, sois sans crainte, aucun des moments passés avec toi tomberont dans l'oubli (ouh, c'est pompeux comme phrase!).
Tu sais, ils ont repassé la série "Angélique" à la télé au mois de décembre, de quoi faire un grand bond dans le passé, sous les doux yeux du ténébreux Joffrey De Peyrac (héhé).
Je t'aime très fort, je reviens très vite te raconter le progamme tv (indispensable)!
A bientôt...
Méry,
Depuis un an ton absence physique nous rappelle la triste réalité de la vie.
J'ai eu la chance de partager quelques jours avec Tony, les loulous, Estelle, Maryse et Marc.
Et c'est avec émotion et plaisir que j'ai retrouvé toute ta petite famille.
Tes petits Loulous sont beaux, gentils.
Tu rayonnais auprès de nous à chaque instant, nous avons levés nos verres en prononçant ton nom et celui de Bernard, merci pour tout ces bonheurs et cette joie de vivre que tu continues à donner.
"Il y a des êtres qui font d'un soleil une simple tâche jaune mais il y en a aussi qui font d'une simple tâche jaune un véritable soleil"
Méry tu es et tu resteras un véritable soleil. Affectueusement.
Méry,
demain cela fera un an que tu nous auras quitté. Pas un jour sans une pensée pour toi. 
demain j'irai te déposer une rose rouge (tes préférées je crois) ; j'emmènerai bien deux verres et une bouteille mais tu sais que je ne bois pas ... Cependant, ne t'inquiète pas j'ai prévu une petite virée avec les filles pour trinquer avec toi.
je te rassure (en ai-je vraiment besoin) ta "petite famille" se porte bien... J'aime serrer tes loulous dans mes bras et leur faire des bisous : c'est un peu de toi. Le seul mauvais point quand je vais chez toi c'est que je te cherche, je t'attends ; mais en fait tu te trouves partout et quand je repars j'ai toujours cette grosse boule mais en même temps j'ai l'impression de repartir recouverte de toute cette tendresse, cet amour qui émane de chez toi, de toi.
Je te mets les paroles d'une chanson que j'adore : j'aime à croire qu'elle a été écrite pour toi ! et pourquoi pas ?!
Je t'embrasse tendrement
A demain.

Francis Cabrel - Le Chêne Liège

Adossé à un chêne liège,
Je descendais quelques arpèges
En priant Dieu, Bouddha, que sais-je,
Est-ce que tu penses à nous un peu ?

Le monde est aux mains de stratèges
Costume noir, cravate beige
Ou turban blanc comme la neige
Qui jouent de bien drôles de jeux.

Il y a dans nos attelages
Des gens de raison, de courage,
Dans tous les camps de tous les âges
Dont le seul rêve est d'être heureux.

On a dressé des cathédrales,
Des flèches à toucher les étoiles,
Dit des prières monumentales,
Qu'est- ce qu'on pouvait faire de mieux ?

Etes-vous là, êtes vous proches
Ou trop loin pour entendre nos cloches
Ou gardez- vous les mains dans les poches
Ou est-ce vos larmes quand il pleut.


D'en haut de vos très blanches loges
Les voyez- vous qui s'interrogent
Millions de fourmis qui pataugent
La tête tournée vers les cieux.

Sommes-nous seuls dans cette histoire,
Les seuls à continuer à croire ,
Regardons- nous vers le bon phare
Où le ciel est-il vide et creux ?

Adossé à un chêne liège
Pris comme dans les fils d'un piège
Je descendais quelques arpèges
Je n'avais rien trouvé de mieux.

Ou êtes vous dans l'atmosphère,
On vous attend on vous espère,
Mais c'est le doute et le mystère
Que vous m'aurez appris le mieux.

Adossé à un chêne liège
Je descendais quelques arpèges
Par un après-midi pluvieux.

Je descendais quelques arpèges
par un après-midi pluvieux.
Bonjour,Méry;
Que dire ...qu'une année est passée et que tu nous manques toujours autant ......
excuse -moi mais je n'arrive pas a trouver mes mots ..................
mille bisous..............
Bonjour, Méry
les dernières news : la nouvelle cantine super plus de place !!!
les ce1 sont allés a Tours au musée des beaux arts bien !!!! ils sont tous revenus avec un cheval sculpté dans de l'argile ils ont adoré !
sinon je ne te cache pas que quand je fais la bibliothèque un p'tit bonhomme de 8 ans prend toujours en livre ,le même sujet : LES VOITURES en même temps c'est agréable car j'apprends plein de choses sur les super bolides !!!! moi qui ni connaît rien c'est très enrichissant !!!
bises ......
un coucou tard le soir, les mots me manquent à vrai dire, mais tu vois tout, je pensais juste que le temps passe tellement vite...
Déjà décembre, en attendant le soleil... 
Un gros cri du cœur ce soir, tu me manques, et pas une seconde sans penser à toi, à des conseils que tu sais si bien proposer, 
j'ai l'intuition de ce que tu dirais à chaque évènement, ta voix résonne encore sans perdre la moindre intensité! 
a bientôt, prends soin de toi...
Hello, 
La lecture des messages laissés sur ton blog me fait penser à une phrase célèbre de G.BERNANOS
« Il n'y a pas un royaume des vivants et un royaume des morts ; il n'y a qu’un royaume, vivants ou morts, et nous sommes dedans. »
Pas toujours facile à imaginer…pour nous qui sommes ici. Peut être est ce évident pour toi maintenant.
Sincèrement, 
Bonjour ma Mery
Elle m'a demandé si je voulais un retour après avoir commandé mon billet Saint-Pierre/Paris: elle n'a pas du voir mes yeux briller pendant que je tapais mon code. Elle ne pouvait surtout pas imaginer l'intensité des moments que je venais de vivre.
Ce moment que j'ai attendu, inventé, recréé et qui à la fois m'angoissait tant. Quand je suis arrivé devant les 3 marches du perron, j'ai regardé plus haut vers le portail. Ce samedi de juillet je regardais dans le rétroviseur tes au revoir, tes adieux....Plus d'un an s'est écoulé. Une véritable éternité. Une descente aux enfers aux antipodes. Je me demande si c'est toi qui va ouvrir la porte.
Tony apparaît avec Jeanne et Jules. Greg et Margot sont là. Très vite Maxime et Manon dévalent les escaliers. J'ai l'impression de n'être jamais parti. Rien n'a changé. Et puis je te vois dans le séjour. Tu es bien là. Tu remplis chaque pièce de la maison. Ta présence est chaleureuse. Les verres s'entrechoquent en laissant s'envoler ton prénom. Les discussions vont bon train: on éclate de rire, on sourit... On se fume une cigarette en regardant les étoiles sans se soucier du dérangement des voisins. Je ne pisse pas dans le jardin, je te l'avais promis. On attaque les "Guitar Heroes":la musique, toujours la musique. Greg et Tony assurent comme des dieux. Margot chante pendant que j'essaye de taper le bon rythme sous les conseils de Max et Manon. Le bonheur. Mes angoisses mûries depuis un an s'envolent. 
Le week-end se déroule sous un soleil merveilleux. Petit Mac Do pour les monstres, visite chez Père Auguste, apéros, grillades (un peu trop cuites pour certaines), tour de moto dans les vignes au couleur de l'automne avec les loulous accrochés au guidon, sortie vélo, douche puis apéro encore, Formule 1 (mon Tony je n'aurai jamais pu te gâcher ce moment...) et au final la victoire de l'OM...
C'est grâce à toi qu'on a construit tous ces instants depuis des années et que ça continue, et que je t'aiderai de toutes mes forces pour que ça ne s'arrête jamais même quand on te rejoindra dans ce beau ciel de Touraine.
Les loulous sont rentrés à l'école: je les adore. Je rentre voir Nadou et mes 2 monstres. Je vais leur raconter ces 3 jours. Rien, aucune fortune, aucun lagon bleu turquoise ne pourra me faire autant vibrer que les liens inaliénables que je vis depuis que l'on s'est rencontré. Mon avenir ne peut en aucun cas s'arracher de cette toile que l'on a tissé en commun.
Je n'avais jamais mesurer la force de nos liens jusque là.
Je suis impatient de vivre tout ça à fond.
J'ai acheté mon billet retour...
Merci pour tout...
Un petit coucou après la lecture des messages...
La lumière peut être occultée, elle ne s'éteint jamais!
bisous.
Mery,
nous avons repris le chemin de l'école , et avec les blablas !!!!!
nous avons fait les vendanges , il a fait beau et la bonne 'ambiance était au rendez-vous !
sinon , c' est Manon cette année a Chenonceau , ils sont allés voir leurs correspondants super journée !!!
les petits eux sont allés en foret que de trésor nous avons trouvé !! des feuilles des châtaignes , des branches !! les sacs n'était pas assez grands !!!!!!
les enfants adorent ramasser .............
je te laisse ....
bise ...
coucou 
et nous revoilà pour une autre année scolaire , une autre année de blablas !!!

samedi c'est les vendanges , pensée pour toi: tu étais avec nous l'année dernière ,et on avait bien rit !!!
penserons a toi samedi 
bise Mery
Mery

Mon silence de mail doit paraître bien étrange à tout ceux qui savent combien je t'adore et t'apprécie. Malgré tout ce n'est que par mail que je suis muette... pas un jour sans avoir une pensée, une parole pour toi. 
"P...... " (mot interdit) que tu me manques. 
Bon, certes, tu n'es pas très poème, mais je n'ai pas pu m'en empêcher...
Il pourrait être plus gai ce poème, mais bon, il est joli.

"Ta présence envahit la maison, 
Même quand tu es parti(e)
Je me surprends à t'écouter.
J'ouvre chaque porte
Espérant te trouver,
Prêt(e) à te parler
Et mon cœur défaille dans le silence.
Tu es dans l'air que je respire.
Tu fais partie de moi à tout jamais.
Je t'aime, je t'aime."

Rose-Anne Ambroise.
Et bien que te dire du pique-nique de la dernière fois... Un grand beau temps, les chapeaux sur la tête, Jules et Maxime qui étaient les rois du vélo!
Un kilomètre à pied, ça use ça useuuu! On a un peu triché, on a compté cent mille quarante trois cent sept millions quatre-vingt dix mille kilomètres à pied...
Toujours sous ton regard.
Une maison autour du tobbogan, un arc-en-ciel sauvage, des rires aux éclats, de la mélancolie, un petit verre de péteux pour voyager dans les bulles...
et le soleil pour démocratiser la journée...
Beaucoup d'émotions et beaucoup de kilos aussi en plus aujourd'hui! J'aimerais trinquer avec toi.
Il arrive par moment ...ou tu te poses , tu penses , et la on est samedi soir 18h21 c'est ce que je fais ... une pensée pour toi ....Mery
bises....
J'aime sentir ton regard bienveillant sur votre maison...Les feuilles qui bruissent et les nuages sont bien la preuve que tu regardes!
Coucou, un petit mot de ton fauteuil devant l'ordi, Manon (déguisée en pirate) vient de voir les quelques mots que je viens de noter et me dit de te dire bonjour de la part des "loulous"!!! Tous les quatre te font des milliers de bisous! Voilà Maxime qui arrive dans le salon, déguisé en pirate lui aussi, heureusement que je leur ai dit de ne pas rester devant la télé...ils pensent peut-être que je ne remarque pas le subterfuge, hé hé!
Voilà un petit moment de journée raconté, et promis, je ne les nourris pas que de chips (je dis ça car ils ne mangeraient que ça s'ils le pouvaient!!!) 
Ces moments me rappellent fort l'été ou j'avais passé plusieurs jours avec vous tous, tu sais, l'été ou j'ai eu un problèmes de pot d'échappement, des poux, et de grands moments de bonheur et qu'est-ce qu'on avait parlé! (n'oublions pas la fameuse glace praline craquant chocolat, oui j'en parle toujours, c'est une obsession.) 
J'ai un peu l'impression de te voler ces moments parfois, je te prête mes yeux si tu veux, et j'attends tes conseils! 
Il ne manque que toi, tu nous manques. Je reviens cette semaine pour te raconter le pique-nique! je t'embrasse, je t'aime.
Mery,
je suis là a t'écrire , j'aimerai tellement te parler , te dire , de vive voix ce que nos enfants ont fait y mettre le ton, les formes , les gestes, les anecdotes, les rires ..... et je n'ai que mon clavier ,.et l'écran .......personne devant moi .....
les enfants ( cp - ce1 )ont participé aux usepiades a Azay c'était bien même que je ne t'apprends rien ,c'est nous qui avons presque gagner toutes les courses de relais (nous sommes les meilleurs ,nous n'en avons jamais douté !!!!) ,sinon il y a eu la kermesse, les enfants sont montés sur la scène ,il fallait voir tes loulous ils étaient trop mignons , tu aurais été fière d'eux ....
les Ce1 a Chenonceau nous donnent un petit spectacle samedi matin (avec poème et visite du jardin) leur jardin !!! je te raconterai ,mais peut-être que là ou tu es tu vois ce jardin et , je ne t'apprends rien ....
mille bisous.... ....
Bonjour, je déambule un peu aujourd'hui dans votre salon, je décide donc de me poser devant l'ordi et de t'écrire ce à quoi je pense depuis plusieurs jours:
tu es en chaque chose et dans toute référence... Je m'explique, tout me ramène à toi, alors évidemment c'est triste, ou dur, ou drôle, 
mais aujourd'hui je vais te raconter ce qui me fait rire ou sourire...
Je suis tombée il y a peu de temps sur une rediff' de "La chèvre", (film incontournable!) avec nos deux acolytes Depardieu et Pierre Richard, et je savais exactement quand tu aurais ri, car on rit toujours au même moment devant ce film, comme "Le shériff est en prison" (qui reste un mystère tout de même pour Ludo qui a fait l'effort surhumain de le regarder avec moi, avec nous, car je ne te sens pas loin dans ces moments là!) en tout cas, pendant" La chèvre", j'ai chanté avec toi la musique du méchant, je cite:" tou tu tuuuu, tou tu tuuuuu"...
Alors dans des moments comme ça, je repense à ce qui était devenu une expression, un réflexe, par exemple quand maman nous disait tiens, mets ça là!"....
et oui, Ben-hur, en cœur, toutes les deux, reprenant le dialogue: "ton regard est celui de Messala!" (je ne sais même pas comment ça s'écrit!)
Je te promets de continuer sur la lancée, je regarderai "les malheurs d'Alfred", et "Le distrait", avec tout plein de supers souvenirs...
Oh il n'y a pas que les films, bien sûr, mais toutes ces petites choses ont aussi fait de notre lien un très beau lien, qui reste, qui ne changera pas, et auquel on tient toutes les deux, tu fais partie de ma vie, intégralement, et pour tout le temps, avec plaisir, et comme avant.
Voilà, je garde encore d'autres anecdotes pour les nombreuses autres fois ou je t'écrirai, et alors là je me tâte, est-ce que je ne regarderais pas un peu la chaîne 55? (celle qui fait du bien parce que c'est nase et qu'on peut critiquer...), je t'aime, à bientôt, prends soin de toi.
Une belle journée s'annonce
Et je t'ai entendue ce matin
Tu as raison, çà va me faire du bien...
Alors je vais suivre ton conseil, prendre des tours et griller du pneu dans la campagne, me remplir les oreilles du son du flat 6 de ta petite auto jaune
J'ai trop besoin de passer te voir
J'arriverai pas tard...
Mery,
le temps passe et il n'y a pas un jour ou on ne pense pas a toi en voyant tes enfants a l'école .
Comme promis les blablas !!!!!!
les enfants ont fait des sorties ,les CP sont allés aux journées équilibres avant les vacances , c'était chouette ; les C E 1 eux sont allés à Tours au théâtre et dans le vieux Tours super ! et en prime Maxime m'a donné un cours sur les engins des chantiers ! enfin je ne t'apprends rien ! c'est en lui 
j'ai eu la chance de faire un stage dans la classe des petits c'était magique .......
Bientôt la brocante et tu ne seras pas là..........l'année dernière nous avons passé une partie de la brocante ensemble ,nous nous sommes assises dans l'après-midi a la porte de la salle en même temps et en même temps nous avons dit "ouah ça fait du bien de s'asseoir " et là, nous nous sommes mises a rire ,un p'tit fou-rire alors qu'il n'y avait rien de drôle ! mais un moment magique ,un moment a nous .....
merci Mery ....
Méry ,
Cela fait tellement longtemps que tu es partie que le vide laissé est un véritable gouffre et que le temps me parait hyper long et pesant .Il n’y a pas une demi journée ou je ne pense pas à toi, tes p’tits et Tony .Parfois je me sens aussi inutile auprès des tiens tellement le vide est grand de ton absence physique, ne plus de savoir à leurs cotés.
Je me dis qu’il faut aller de l’avant , et que de la haut tu leur donneras la force d’y arriver , de ne jamais désespérer comme tu l as fait face à ta maladie .
Voilà j’avais envie de te faire ces quelques lignes, pour te dire aussi que jamais je ne t oublierai !!
Biz
Ma Mery !

Pensées particulières pour toi
En ce vendredi
Je ne te laisse pas le choix
Et te souhaite ton anni........

Venir t'embrasser
Très fort te serrer
Un petit moment passer
Pour avec toi trinquer
Nous émerveiller
Etre simplement gaies
Ou parfois offusquées
Devant certains faits...

Ca va tellement me manquer...
Manque déjà bien installé !

Quelques paroles
Vers toi vont s'envoler
Simple symbole
De l'Amour et de l'Amitié :

Les grands amours sont en détresse
Quand l'un s'en va et l'autre reste 
Les grands amours n'ont plus d'adresse
Lorsque l'un part et l'autre reste...

Ils n'oublieront pas leurs promesses
Ils s'écriront aux mêmes adresses
Les grands amours se reconnaissent 
Lorsque l'un part et l'autre reste...

Chanson interprétée par Charlotte en plus !


Je t'embrasse fort, Fort, FOrt, FORt, FORT............
Bon je sais , on est pas trop anniversaire!
Sauf pour les enfants, parce que pour eux c'est important! (les cadeaux surtout!)
Tu vois, toutes ces photos que je me repasse, et bien cette année, c'est net: tu rajeunis!
A l'approche de ces jours fériés d'un autre temps, j'aurais voulu qu' aujourd'hui le monde s'arrete pour toi
Çà aurait été une bien meilleure raison de coincer la bulle!
Je te ramène des fleurs, tu sais ou je te les laisse;
Puis surtout, je t'ai mis un petit paquet, avec mon cœur dedans...
Je t'envoie les mille bisous de tous tes loulous
cet après-midi, Maxime a invité Valentin et jouent tous les deux " STAR WARS" sur la Wii avec les yeux admiratifs de Jules qui participe
dans les OUAI ! GAGNE ! 
Manon dessine entre deux bulles de bande dessinée ( les Marsupilami ) 
Jeanne s'amuse à emboîter des petits pavés en plastique
et toi, tu nous regardes, tu es un rayon de soleil qui illumine toute la maison 
tes petits amours te lancent des milliers de baisers 
tu es si chère à mon coeur, je pense à toi à chaque instant
ma douce et tendre enfant je t'aime
Pourquoi encore tout ce gris , ces pleurs éparpillés, ces nuits à tout recréer, pour changer le présent?
A quand le temps où ton souvenir m'apaisera?
Il doit y avoir du beau demain, la tourmente doit s'estomper et me laisser t'aimer sereinement ,c'est nécessaire .
Depuis trois mois je te vois, je te rêve, je ne veux pas te quitter, pas encore:
Je veux encore tes certitudes, tes contres courants, tes secrets. C'était si simple ,avant, quand tu étais là, j'étais ton amie et c'était bon.
Tu m'as habitué à toi, à tes couleurs, à ton relief : Si déroutante , si singulière j'aime tout : Tes contradictions, tes agacements , ta mauvaise fois aussi, si si c'est vrais . Sais tu combien j'ai pu être folle de rage quand tu faisais faux bon à nos rendez vous ? Ces petites soirées qui tombaient à l'eau pour cause de grosse flèm ? Je sais Mery qu'on se voyait tout le temps, mais le soir, avec nos chéris c'était différent: nous quatre a partager du bonheur ... Et puis là, tu me quittes comme ça ,violemment , sans retour; Tu m'as promis qu'on se rattraperait, qu'on partirait toutes les deux avec la Porsche à Angers ,comme ça "parce qu'on le vaut bien" tu me faisais rire, beaucoup et souvent. Tu es si présente partout ...
L'abîme d'aujourd'hui se rempliera de beaux souvenirs ,il le faut.
Je fais encore partie des personnes qui s'isolent, une plume à la main pour t'écrire, loins des regards, je pleurs sur du papier, c'est plus intime qu'un clavier, il en résulte un petit cahier, que je te ramènerais du bout du monde. Je vais lui donner des couleurs, et de la joie, pour qu'il te plaise. Pour qu'il soit digne de Tony, de tes parents, de tes enfants.
Tu vois je ne triche pas ,je suis triste, c'est ton anniversaire, je t'aime toujours si fort.
C'est une date assez terrible aujourd'hui, tu nous manques tellement, il faut que tu saches, il faut que tu sois sûre que chaque jour nous pensons à toi, tout le temps!
J'attends avec impatience qu'internet soit rétablit dans notre nouvelle maison pour pouvoir t'écrire plus souvent (c'est toujours pour nous les problèmes d'internet!), je t'aime très fort, et j'espère que tu approuves la façon dont nous nous occupons des loulous... prends soin de toi, je t'envoie des millions de baisers! (baveux). (et des tout doux.)
Mery
Les semaines passent, le temps s'étire inexorablement et tu vas penser que je t'oublie...un peu à cause de ce boulot qui m'envahit parfois. Je vais suivre les conseils que tu essaies de donner à Tony quand ça fait plusieurs mois qu'il ne trouve même plus un moment pour aller essayer un de ses bijoux de l'asphalte. Alors faute d'Alpine, je vais reprendre mon Katoche qui n'a pas vu l'ombre d'un chemin depuis 6 mois et je vais m'évader dans les paysages magnifiques de cette île. Et puis il me reste des centaines de sentiers lozériens que je veux partager avec Tony mais aussi nos petits motards en herbe...Je te raconterai tout ça...
Il y a tant de sentiments, de sourires et de chaleur qui me lient à toi chaque jour.
A trés bientôt, j'attends de tes nouvelles.
Ma Mery,
C'est le désert ce matin
J'aimerai tellement t'appeler
Parler de tout, parler de rien
Tellement de choses à te confier...

Je suis allée voir les enfants samedi soir, quel bien cela me fait à chaque fois même si ce n'est pas sans me rappeler tout ce qu'on partageait et j'avoue que mon coeur se serre, se serre... ce que Manon a du ressentir lorsque je regardais tes photos et tes petits trésors de bijoux, elle est venue se blottir contre moi en posant sa tête sur mon épaule, et ce sans dire le moindre mot, ce n'était évidemment pas nécessaire, petite puce !

Tu me manques tant, si souvent et irrémédiablement !

Des baisers s'envolent doucement
Ils se regroupent tranquillement
Pour affronter ce mercredi froid
Et arriver posément jusqu'à toi !
Méry,
Je n'avais pas encore réussit à t' écrire pourtant je vais régulièrement sur ton blog,
Merci à Tony, pour cette idée merveilleuse, cela nous permet de nous sentir plus près de toi.
Je ne t'es pas beaucoup connu, trop peu, un week-end prolongé de mai m'a permis d'apprécier 
ton charisme, ta beauté et cet instinct maternelle exceptionnelle qui te rendait encore plus bellle.
Un peu plus de deux ans que j'ai perdu mon amour, comme toi il respirait la gentillesse, il aimait la vie, 
je suis sur que vos étoiles vont se rencontrer et que vous passerez de bons moments à parler de nous tous.
Pourquoi la vie nous enlève t-elle ce que l'on a de plus cher? je n'ai pas de réponse .
La vie après la vie c'est pour nous vivant la continuité par tout ce que l'on a donné autour de soi alors 
Méry tu continues et tu continueras à vivre longtemps car personne ne peut t'oublier tu as donné tant 
d'amour, d'amitié, de gentillesse.
Continue à veiller sur tout ceux qui t'aime et particulièrement sur tes petits Loulous et ton Tony.

Petit poème pour toi qui les aime tant : 
"Les plus beaux vers sont ceux qu'on n'écrira jamais,
Fleurs de rêve dont l'âme a respiré l'arôme,
Lueurs d'un infini, sourires d'un fantôme,
Voix des plaines que l'on entend sur les sommets.
l'intraduisible espace est hanté de poèmes,
Mystérieux exil, eden, jardin sacré
Où le péché de l'art n'a jamais pénétré,
Mais que tu pourras voir quelque jour, si tu m'aimes.
Il est très tard, mais c'est juste un "bonne nuit".
Les étoiles brillent au dessus des nuages, c'est toi qui les fait scintiller.
Toutes ces étoiles viennent de tes yeux, d'où leur générosité...
Dors bien...
Un petit coucou du soir, après des futilités, (bon j'avoue, après la nouvelle star, mais bon, je suis sûre que ne suis pas la seule), malgré toute cette ribambelle de chanteurs aux voix plus ou moins inégales, je pense à Jules, Jeanne, Maxime et Manon, ils ont tous leur truc à eux, c'est fou, Maxime à part son odeur de croissant chaud (comme tu disais souvent)...(et c'est vrai!!!) Il a un regard! Et ses façons d'être dans la lune, sans parler de son sourire, Jeanne qui a des yeux de biche, les cils les plus longs de la terre! Le sourire dévastateur de Jules (toujours très viril le Jules!) et Manon, le mystère personnifié, et ce métissage parfait! (Mais comment vous avez fait?????? C'est quoi le secret pour avoir des enfants comme ça???)
OUah!!! A chaque fois que je les vois, je me dis: ouaaah!
Prends soin de toi, je t'aime.
Tant de remords
Cherchent le sens
De cette mort.
Ne reste que l’odeur 
Du bois d’encens.
Retrouver dans vos cœurs 
Le plus beau, le plus fort
C’est un réconfort.
Je me suis réveillé ce matin
Les draps remplis de ton parfum
Tu t'étires, tu me souris..."bonjour..."
Trop belle, même au réveil!
Alors ce matin j'ouvre les yeux encore
Je te sens pas loin
Je te rends ton sourire
Je serre ton oreiller
Et j'imagine...

Ma Mery,

Je suis déséquilibrée
Tu n'es plus là
Vais je y arriver ?
Il le faudra...

Les jours se suivent
Ne se ressemblent pas
Parfois la forme esquive
Ce fond triste en moi

Est ce toi qui m'envoie ce rayon de soleil ?
Peut être pour me réconforter
Et j'ose cela espérer...

Petit mot du matin
Qui a surgi soudain

Pour te dire à nouveau combien je t'aime et combien tu me manques

Petit hommage pour toi, et pour ceux qui reconnaîtront, héhé...

On a dark desert highway, cool wind in my hair
warm smell of colitas rising up through the air
up ahead in the distance, i saw a shimmering light
my head grew heavy and my sight grew dim
I had to stop for the night
there she stood in the door way
i heard the mission bell
and I was thinking to myself,
"this could be heaven or this could be hell"
then she lit up a candle and she showed me the way
there were voices down the corridor,
I thought I heard them say...
..........
Tu la connais par coeur j'en suis sûre... Et nous on l'écoute avec plein de choses dans le coeur, même si on ne connait pas les paroles parfaitement.
A bientôt!
Bonsoir, c'est moi, juste un petit mot, ce soir j'ai eu comme une révélation: je ne sais pas exactement qui tu côtoies là où tu es, mais je pense que tu fais la fête et que tu partages beaucoup de bons moments avec plein de monde, et ce soir, donc, je te vois avec fred Chichin, en train de refaire les bons morceaux des "Ritas", et de danser, avec entrain... Lui aussi est parti vite, c'est peut-être la raison pour laquelle je vous vois bien ensemble, à partager, à papoter, à échanger... Je me souviens bien, qu'à l'annonce de sa mort, tu as été touchée par son départ prématuré (il faut dire que les ritas, c'est cultissime et que tu te sentais concernée...)... Enfin voilà, tout me ramène à toi, et même si ce morceau ne t'évoque pas un de tes préférés, quand je pense à toi et à tony, je pense aux "amants"... 
je t'aime.
Ma petite louloute d'amour
je viens juste d'avoir le courage d'aller sur ton blog
Ouh que c'est dur; c'est con mais je pleure comme un môme depuis deux mois tous les jours je pense à toi et je n'arrive pas à comprendre.
Faut il chercher à comprendre, faut il essayer de chercher, je ne sais pas, je ne sais plus, mais je comprends rien.
Je voulais te faire parvenir ces 2 photos car c'est aussi l'image de nos folies de nos soirées.
rappelle toi ma Méry ce jour là à notre arrivée, il y avait déjà deux vaches et un gros boucher j'étais vexé comme un pou (ça se vexe un pou)
On était tous parti de Saint pierre à la soirée encore déguisée du Fifi, il nous en a fait faire celui là.
Voila c'est un petit clin d'œil que je voulais te faire
Je pense que je vais continuer à t'écrire car cela me rapproche de toi
tu me manques toujours autant et je sais pas si je te l'avais déjà dit mais ton Tony est formidable je comprends mieux pourquoi tu le chouchoutes autant
Je t'aime ma princesse

      

Un rayon de soleil improbable dans un ciel obscur qui me caresse la joue, une deuxième étoile qui brille à coté de celle de papa dans mon ciel, une présence ... Mille et un signes aussi peu rationels qu'ils sont rassurants. Alors quand au détour d'une page j'ai lu ces quelques mots ....
"C'était comme un signe 
Qu'elle avait laissé avant de partir 
Des petits cailloux blancs 
Sur un banc de pierre usé
Cinq petits cailloux blancs 
Dans l'hiver
Sur un banc de pierre
Pour que je sache 
Qu'ils étaient pour moi
Qu'il fallait que je les prenne
Et referme ma main dessus" 
(Jean Rivet Le soleil meurt dans un brin d'herbe)
comment ne pas penser qu'ils étaient sûrement un signe de toi pour Tony et tes petits loulous.
L'important est invisible
A bientôt à travers d'autres poèmes
Il y a des jours ou le soleil brille, ou le moral est de paire (plus ou moins), et des jours plus durs.
Tu me manques, tu nous manques à tous... En fait, à l'heure qu'il est, j'ai envie de t'écrire un tas de choses, un tas de conneries, ça fait un moment que j'écris, j'efface, j'écris, pour trouver les bons mots, au final, ils le sont tous, bons... le plus gros du message en fait, c'est que je voudrais juste faire un vœu, (si génie il y a), et te faire revenir, tout court, rien de plus. (il faudrait juste que je mettre la main sur ce génie... on attendra Indiana Jones 5 pour le dénicher...mais j'y compte.)
Dors bien, je pense à toi très fort, tu me manques.
Tu sais que tu as le plus beau prénom du monde?
Méry 
Ce week-end j’ai vu ta petite voire grande tribu ! Content de les avoir conviés à partager un moment de notre existence mais une tristesse immense m’envahissait de ne t’avoir à nos cotés. L’après midi nous avons commencé par rencontrer Jules , Manon et Maxime , le but de cette après midi était d’initier Maxime au pilotage du kart , il s’est super bien débrouillé .Aurai t il en lui une partie de la cartographie du papa ?
Manon, Jules et Tony étaient la en tant que spectateurs et je suis certain que toi aussi Méry tu partageais avec nous ce moment de bonheur.
Dans le milieu de l’après midi votre pilote a eut d’autres témoins de son savoir faire, arrière grand parent, grand parents, il y avait vraiment beaucoup de monde pour témoigner de cet événement.
Méry , voilà une petite brève du dernier week-end ou comme souvent tu es présente par les pensées et comme je te l’ai dit un peu plus haut j’espère que tu as pu partager ces instants de joie .
Amitiés
Ma chère Méry 
Je découvre à l’instant ton blog … Je pense souvent à toi depuis la triste nouvelle, et avant aussi et je regrette avoir laisser passer le temps ! 
Je me souviens notre dernière rencontre ,tu étais alors tout juste enceinte ,et venait d’apprendre qu’il s’agissait de jumeaux ! 
Je te revois encore tellement rayonnante, belle …. Je garderai en moi ces images 
Je te remercie encore pour les bons moments passés au magasin, tes bons mots, ta delicatesse, ta force, ta générosité.
Tu es une Belle Personne ,une belle âme et je pense à tes enfants ,ton mari ,ta famille .
Les mots me manquent …. C’est tellement injuste ! 
Je t’embrasse bien fort et te garde dans mon cœur
Bonjour Méry
On doit me prendre pour un fou avec ma tête en l'air mais je ne peux m' empêcher de te regarder, de te sourire....L'autre soir je t'ai vu scintiller au travers de mes jumelles en retour de vol de nuit. Le spectacle était étonnant, féerique et d'une douceur apaisante. La lune était en train de se lever. Ta présence est constante. Ca fait du bien de t' entendre...Ca fait du bien de te sentir si prés...
le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin,
je te cherche par delà l'attente
par delà moi-même
et je ne sais plus tant je t'aime
laquelle de nous deux est absente.
Il est très tard, avant d'aller dormir, mes dernières pensées sont pour toi, tu seras aussi dans mes rêves, comme toutes les nuits...
Pas de référence cinématographique cette fois , (quoique, le dernier Astérix est vraiment mauvais)...(Delon dans le rôle de César, c'est une bonne idée, mais c'est vraiment la seule.) 
Nous avons beaucoup parlé de toi ce soir, et longtemps, et en même temps que j'écris, je souris car je pense à tes rires et à ce que tu pourrais penser des dernières actualités (sarko-carla, les oscars, le Kosovo indépendant...)Tu es présente à chaque instant, j'espère que tu dors paisiblement à ce moment précis, tranquillement, berçant ton homme et tes enfants...
Je pense à toi, toujours, et je radote (une vraie petite vieille!) je crois t'entendre, tellement souvent...
salut ma Méry,
Pas eu le temps de te revoir, de te parler, de t'embrasser...
Je repasse en boucle dans ma tête tous les moments partagés avec toi et tous ne furent que de chouettes moments:
à commencer par notre rencontre(un peu particulière, on s'en reparlait de temps en temps et ça nous faisait sourire)
votre fête de mariage à st pierre des corps et un chouchou dont je suis tombée folle amoureuse (merci mille fois),
les soirées à Civray toujours arrosées de bonnes bulles ,
les jours de l'an inoubliables à danser jusqu'au bout de la nuit,
les moments à discuter d'histoires de filles pendant que les 2 frangins faisaient de l'ordi,
les dîners de famille ,tes grossesses, vos 4 loulous(je te dis aujourd'hui comme très souvent qu'ils sont magnifiques et adorables)
nos larmes de bonheur pour l'annonce de ma grossesse:Olivia n'aura pas eu la chance de te connaître beaucoup, mais elle entendra très souvent parler de toi;elle a une fée qui porte ton nom et elle l'adore.
Le soir je regarde le ciel quand il est étoilé et j'imagine que tu es une étoile qui brille tout près de celle de papa, je me laisse à penser que vous allez vous croiser et que vous partagerez certainement de bons moments.
Tu me manques, je t'embrasse très fort.
Mery,
je me rappelle la première fois ou je t'ai envoyé un message je t'écrivais "sois indulgente je ne maîtrise pas très bien l'électronique ",et tu m"avais répondu "moi non plus ,mais ce n'est pas grave ,au pire si nous n'arrivons pas a communiquer par le biais de l'ordinateur ,on se voit tous les matins devant le bus !!!
nous avions appelé nos correspondance "paparazzi" c'était un accord pour te donner des nouvelles de nos loulous a l'école alors en voila ,
avant les vacances ;les petits étaient au cirque c'était magique ,ils étaient tous en admiration devant les clowns, devant les chevaux ,devant les éléphants ,ce fut un moment merveilleux ,les grands eux étaient au cross ,toute l'école était de sortie ,ils ont super bien couru et ils cherchaient tous a savoir qui avait finit le premier !!
voila quelques nouvelles ,c'est bien de pouvoir te les écrire mais j'aurais tellement aimé pouvoir te les raconter de vive voix ......
tu nous manques Mery 
Méry,
Tu avais encore tant à leur donner
Tu avais encore tellement à leur apporter
Moi, comme les autres, je n'arrive pas à accepter
De voir que ceux qui s'aiment puissent être ainsi séparés
Les brumes et les brouillards parfois parviennent à se dissiper
Pour laisser la place au soleil, qu'il recommence à briller
Tu restes lovée dans les cœurs de tes loulous adorés
Et ne cesses de murmurer des mots doux à ton mari tant Aimé
Pas une journée n'a passé sans que j'aille jeté un oeil (même furtif) sur ton blog.
Quelle bonne idée ce blog, ça me permet en toute discrétion d'aller prendre des nouvelles!
Aujourd'hui je suis pas très en forme, alors je me suis dit : tiens si je t'écrivais, ça irait certainement mieux après.
Je ne veux pas être long, juste un coucou car je sais que tu as beaucoup de travail la haut à prendre soin de toute la famille.
Je pense bien à toi.
Tony et les enfants, on se voit bientôt!
Bien affectueusement.
Mery,
Bien qu'il n'aie besoin de rien pour s'envoler j'aime créer à mon imaginaire un univers comme on donne une âme à sa maison pour que sa famille et ses amis se sentent bien. 
Assise confortablement dans un vieux fauteuil au cuir usé une infusion odorant agréablement l'atmosphère par la fenêtre je vois la mer, sur les vitres les gouttes de pluie dessinent des arabesques, dans la cheminée le feu crépite et m'enveloppe d'une douce chaleur 
Ou assise sur un beau nuage blanc dans un ciel d'un bleu azur le soleil me caressant la joue 
Enfin la nuit dans un ciel constellé je m'installe sur la branche d'une étoile...
Qu'importe le flacon pourvu qu'on aie l'ivresse
De toutes mes lectures je ne peux te faire part (quoique) mais quand je note quelques perles surtout des perles de poésie je voudrais te les faire partager .
pour que depuis ton étoile qui rit tu ne cesses de te nourrir de mots car avec les mots, avec les mots...
"Ma colline est un visage, mon rêve une sirène. Dans la maison de corail, je sais lire les signes posés par les marées. Le sable prend mes mains et s'égare. Les étoiles parfois me parlent d'une nuit qui n'existe pas. Les fleurs chez moi sont transparentes et savent écouter, comme la pierre bleue, les chants secrets du silence." 
Christian Da Silva Pour que le soir te prenne par la main.
A un prochain rendez-vous par monts et par mots...
Ma Mery,

Vide immense depuis ce matin
Que j'ai envie d'exprimer
Donc point je ne retiens
Ce besoin spontané

Quoi dire de plus
Si ce n'est encore une fois
Que c'est injuste
Que je n'y crois toujours pas...

En ce vendredi soir
La soirée des Cesars
Que nous aimions regardé
Pour ensuite en parler

Pour nous l''année dernière
Soirée extraordinaire !

Une Valérie Lemercier
Qui a vraiment assuré
Pendant toute la soirée
Et ce zouk en "entrée" !

Et Mélanie Laurent
Meilleur espoir féminin
Ton juste et touchant
Amoureuse de son Julien
(bouleversante dans "Je vais bien, ne t'en fais pas" que tu m'as fait découvrir... encore une fois)

Qu'en sera-t-il cette année ?
De cette belle soirée
Par Antoine de Caunes présentée
Et par Jean Rochefort (que tut adores) présidée

Je t'en parlerai...

Baisersssssssssss ensoleillés
Qui vers toi vont s'envoler
Et venir bousculer
Ce soleil ensommeillé
Méry,
Il y a tout juste un mois, je pouvais encore pour quelques minutes
te serrer contre moi, me réchauffer de ta chaleur fébrile, respirer ton souffle vacillant
Pour rien au monde je n'aurais manqué ce dernier rendez vous qui a vite revêtu un parfum d'éternité...
...moins une seconde, souviens-toi, celle que l'on prendrait pour une dernière fois se regarder.
On se l'était dit, et on y croyait...
Eternité moins une, on avait juste besoin d'etre prêts l'un de l'autre, de s'effleurer, de juste en profiter
Aujourd'hui j'ai trop mal, pas envie de me battre , besoin de laisser aller
Jusqu'à l'heure à laquelle encore une fois j'aurai l'impression de te laisser m'échapper

Puis je me repasserai le film de quelques un de ces moments qui n'appartiennent qu'à nous, et dont t'étais si fière
Je te prendrai dans ma tête , je t'y ai réservé des petites places confortables, pour que t'aies toujours envie de rester
Ce sera beaucoup plus facile pour continuer à t'écouter siffloter!
Je t'aurai ainsi partout dans la tête, et pour longtemps dans le ventre aussi

Je t'adresse 1000 caresses de tes loulous pour toujours continuer à te réchauffer.
Je t'enverrai les miennes ce soir, quand on sera plus tranquilles...
Je t'aime
Ma Mery,
Je n'avais pas réussi à t'écrire depuis ce mardi gras
C'est douloureux et par moment je ne le gère pas
Cette semaine plus particulièrement
Le manque grandissant
Ce manque déstabilisant
Insaisissable et si puissant
Pleurer me soulage mais ne suffit pas
A oter cette rage que tu ne sois plus là
Toujours difficile de réaliser
Encore plus difficile de l'accepter...
Je pense très souvent
A Tony et aux enfants
A qui tu apportais tellement
Naturellement, évidemment !
Je t'accompagne en cette journée de février
Très froide, vivifiante et ensoleillée
Journée comme tu les aimes
Un peu fraiche tout de même !
Léo vient d'arriver
Boire son petit café
Nous allons bien sûr papoter
Et entre autre de toi parler
Plein de baisers ma Mery
Je suis juste venue te dire bonsoir...Méry, ma Belle
Quel plaisir de te reconnaître, de te retrouver dans les mots de ceux qui t'ont connu
Et aimé et qui t'aiment encore et toujours...

Pas une journée sans avoir une pensée pour toi
Je vois Maxime, Manon, Jules et Jeanne
Et je te retrouve dans leurs yeux...
Soirée tranquille, évidemment tourmentée (mais je te promets, j'irai mieux.) Je m'aventure ce soir sur cette messagerie magique qui nous relie directement à toi (je ne crois pas avoir assez remercié Tony d'avoir eu cette brillante idée que de créer ton blog, qui reste pour moi un mystère de technologie...) pour faire quelques commentaires concernant des films que tu m'as conseillés récemment. "Love actually", un vrai moment de bonheur, c'est léger, et le rôle du rockeur déjanté est absolument exceptionnel! Mais qu'est-ce que c'est que ce mec?!
"A love song for bobby Long", assez chouette, et j'admets, que, en effet, Scarlett Johansson est vraiment bonne actrice et assez sensuelle par dessus le marché. (Mais ça me fait quand même un peu mal de le dire.)
Voilà pour les commentaires cinématographiques, la suite bientôt...
Je tenais à te dire aussi que j'applique (du mieux que je peux) de nouveaux "principes" dont tu es l'inspiratrice, tu me disais souvent, "il faut pas s'engueuler ", "sois cool", (tu es bien consciente de mon caractère) Merci pour ces petits conseils bienveillants pour la vie de tous les jours. J'ai décidé de ne plus faire la guerre (faut quand même pas abuser de ma patience tu penses bien) mais voilà, je sais aujourd'hui ce qui est important. Je pense très fort à toi et parfois je crois t'entendre.
A bientôt, je t'aime.
Mery
Dans la lumière diaphane d'une après-midi de janvier 
tu as rejoins les anges. 
Depuis ton étoile qui rit ton aura rayonne à jamais. 
Rien ne console car rien ne remplace. 
Ton absence est abyssale proportionnelle à la grandeur de ton amour. 
Et c'est cet amour qui va permettre aux tiens 
d'entendre ton rire se joindre à eux quand ils rient
d'entendre ta voix leur murmurer je t'aime quand ils s'endorment
de voir ta beauté quand ils imaginent ta présence
de sentir ta chaleur les réchauffer quand ils ont froid
de sentir ta douceur les envelopper quand ils ont peur
de sentir tes gestes de tendresse les caresser quand ils se sentent seuls
tu n'es plus là mais ton amour les nourrira insatiablement
Dans la douleur ils auront également toujours un refuge rassurant et indéfectible: l'imaginaire
Merci tu sais pourquoi 
Méry
Nous ne te connaissions pas beaucoup mais tout ce que nous savons de toi, c'est ce que tu as donné aux tiens, à ton mari, à tes enfants, à tes parents, ta beauté, ta gentillesse, ta joie de vivre.
"Bien-aimés de Dieu, ceux qui partent en pleine jeunesse." ils seront toujours vivants dans le cœur des tiens.
Nous sentons devant ta photo combien tu as pu être aimée et avec toute notre amitié, nous t'envoyons nos meilleures pensées ainsi qu'à tout ceux que tu aimes, 
même si tu est au delà du physique tu planes au dessus d'eux - tu les vois, tu leur apportes ton amour, ta sollicitude ton aide. 
Que l'air , les beaux nuages, les oiseaux du ciel , le parfum du printemps à venir fassent une ronde autour de toi et chantent ta présence
Bonjour Mery.
Vous ne me connaissez pas beaucoup, je suis une maman d'école , mon fils et dans la classe de Maxime.
Je me suis permie d'aller sur votre blog qui m'a touché.
Mon fils a étais très peiné de la perte de la maman de maxime.
Je trouve injuste se qui Vient de vous arriver , on n' enlève pas une maman a ses enfants.
Je me souviens quand je vous voyais a l'école vous aviez toujours le sourire.
nous vous embrassons affectueusement.
Etait-ce toi, Méry, qui ce soir avais barbouillé le ciel de ces couleurs de feu ?
Je garde au fond de mon cœur la douceur de ces soirs d'été, quand, avec les Loulous, nous nous asseyions tout en haut de l'escalier, sur la terrasse, pour contempler les couchers de soleil...
Ce soir l'embrasement du ciel n'en finissait pas de s'éteindre...

Merci à toi ma Méry... tu me manques.

1000 litres d'Amour et plus
1000 kg de surprises et plus
Des centaines de cuillères à soupe de tendresse
Et beaucoup de pincées de bonne humeur

Non facultatif:
Servi dans une bulle d'Amour
Mon mari chéri et ses fruits préférés:
Maxime, Manon, Jules et Jeanne

Méry (La Pomme d'Amour)
Il y a des mots qui font vivre, et ce sont des mots d'Amour:
"Cà va Maman?"
"Je t'aime fort Maman!"
Le mot 'courage' et le mot 'petite soeur', le mot 'papa', ajoutons-y 'Méry'.
Méry est partie, et ses mots nous font vivre
Grâce à elle, nous nous connaissons mieux
Aimons-nous, elle en est heureuse.

Je t'aime Méry...
Et toujours ses mots qui font vivre:
"Je sais Maman, moi aussi Maman..."
Nos rencontres: fête, baptème, mariage.
mais tu es là dans mon univers au travers de deux êtres que j'aime tendrement
-Nadou qui avait tjrs quelque à me dire sur vos rencontres ou conversations téléphoniques.
Tes nouvelles chaussures.
Le rhume des enfants.
Les premiers pas de Jules et Jeanne.
Tes longues reflexions sur la reprise ou non du travail.
Tes coups de blues.
-Son mari, il t'a déjà tout dit et nous comptons sur lui pour te dire bonjour là haut dans les nuages.
Pour et par cette amitié je t'embrasse affectueusement.
Méry,
J’ai l’impression que cela fait une éternité que tu es partie et pourtant il n’y que deux semaines. Cette traversée du désert ne commence qu’à peine et déjà je suis en mal de te savoir ailleurs, loin des tiens qui t’aiment tant !
En fait ce matin comme beaucoup d’autres je suis triste de voir Tony sur sa branche et ne pas te savoir de l’autre coté pour vous donner cette équilibre du couple merveilleux que vous formiez, Toi et Tony. 
Je reviens sur cette traversée du désert ou il n’y a ni repère, in ombre, ni direction et pourtant il faut en choisir une. 
Je ferai le maximum pour aider tes ptits loups et Tony à traverser ce désert , leurs montrer ou sont les oasis , les aires de repos ou ils pourront se réjouir d’avoir de leur merveilleuse maman , je voudrai aussi que tu leurs donnes ta force , ton courage qui fut si grand.
Lors d’un précédent message je précisai que ton souvenir me sera éternel, saches que je n’ai pas besoin de fermer les yeux pour me souvenir de l’agréable moment passé en ta compagnie avec Tony lors de ma visite à l’hôpital, tu es magnifiquement belle.
Amitié
Me voilà moins triste
Bonjour Mery
La porte de votre existence à peine entre ouverte, le destin ,maudit destin, la refermait aussitôt brutalement et injustement.
Nous vous avons raccompagnée avant même de vous avoir accompagnée, nous laissant profondément frustés et tristes.
Et pourtant, avec Maryse, Estelle , Marc et Ludo, au hasard de conversations et de photos regardées, l'envie de nous rapprocher de vous était devenue une évidence.
Alors là où vous reposez, veillez bien sur votre petite famille, sur vos quatre petits bouts.
Sachez que votre absence ne se changera jamais en oubli, juste en un souvenir inachevé....
Nous vous embrassons affectueusement.
Coucou ma Mery,
Petit clin d'oeil "ironique" en ce mardi gras. Les crêpes : l'un des seuls points culinaires que nous ne partagions pas. Tu admettais mais avais du mal à comprendre comment on pouvait se régaler en les mangeant, je parle des sucrées bien sûr car tu appréciais les salés, et surtout celles de Tony. J'apprécie toujours ces petites crêpes saupoudrées légèrement de sucre, elles vont finir par rejoindre le riz au lait et la tarte aux mirabelles qui me font carrément craquer !
En parlant de se régaler, c'est ce que j'ai fait hier soir en découvrant Arizona Dream : légèreté, folie... Les 5 personnages principaux tiennent leur rôle, surtout Johnny Depp déjà très craquant, Faye Dunaway resplendissante et Lili Taylor (que je viens de découvrir) effrayante mais juste dans son rôle.
Je suis allée à la Fnac dernièrement et me suis fait quelques petits plaisirs comme les "Kill Bill" que j'avais adorés lorsque vous me les aviez prêtés (Uma Thurman singulière mais si belle), La Vie des Autres que je n'ai pas encore regardé. J'ai acheté "Peindre ou faire l'amour" pensant passer un agréable moment : pas du tout ! Même si je n'ai rien à redire concernant Daniel Auteuil et Sabine Azéma, l'histoire pour moi est plutôt malsaine et sans intérêt. Le couple Amira Casar et Sergi Lopez : une A. Casar naturellement jolie mais effacée et négligée dans ce rôle, un Sergi Lopez insupportable et mou, il t'aurait énervée comme il avait le don de le faire à chaque fois que tu le voyais avec son accent et son physique, quoique dernièrement tu m'as dit avoir vu un film avec lui et tu l'avais trouvé touchant et assez bon acteur mais je ne sais plus ce que c'est...
Plein de bisous ma Mery et à + tard
Bien rares ont été les jours durant ces six dernières années où je ne t'ai pas entendu ,où je ne t'ai pas vu. On se retrouve chez toi, chez moi, aller va pour le supermarché dans un premier temps mais ensembles. Du thé, bien obligé, la machine à café de Tony est un mystère pour toi. Des petits bouts de vie, de petits riens, dans l'intimité, si complices au milieu de nos enfants si bruyants, si joyeux. Je ferais ce que tu m'as dit la dernière fois, avec tout mon cœur, mais la barre est bien haute pour moi, ne pas aimer "Amélie Poulain" , c'est OK, adorer Dany Briant ça passe ,mais Guy Marchant ! sex. appeal, je dois méditer encore quelques années ...Aujourd'hui je voulais qu'on discute sérieusement de Carla et de Nicolas, si ça continu Glamour n'aura plus lieux d'être. Il faut que tu m'accessoirises quelques nouvelles tenues aussi. Un Vouvray, un bien brut, un bien fruité, c'est déjà presque l'heure, encore un moment, on revient très vite pour eux ,pour lui, du mieux qu'on peut. Ton absence fait si mal.
Chère Mery,
Tu ne m’en voudras pas si je suis maladroit, mais je suis un garçon émotif.
En fait, je pourrais peut-être oser commencer par dire merci à toi, à Antony, à toute ta famille, car sans toi et sans eux, je serais sans doute resté caché derrière ma pudeur et mes doutes.
En fait, je dis merci à l’amour d’Antony pour toi, à celui de Roger et de Doriane pour vous deux. Cette énergie d’amour dont, en famille, vous rayonnez, est un cadeau que vous faites à tous ceux que vous approchez.
En fait, Mery les images que j’ai de toi, c’est au travers les joies et les émotions d’Antony dans lesquelles tu as toujours eu un rôle central. C’est une notion bien réductrice de toi. Mais je crois que la qualité de cette vision partielle donne une juste indication de ta richesse.
En fait, je n’ai en moi que de la colère car nous ne devrions pas avoir à nous parler par mail.
En fait, je voudrais dire à Antony qu’il y a des êtres d’exemption dont l’absence est toujours une présence qui nous guide. Cette énergie ne s’efface pas. Elle n’est pas une douleur. Elle est de nature divine et toi, Mery, tu es génératrice de cette énergie vitale. Antony, il est normal que tu sois perdu. Mais même lorsque la parole est perdue, l’amour nous permet de renaître avec l’aide de nos frères et de notre volonté de rester maître de notre destin.
En fait, mes pensées s’adressent aussi aux enfants : Mery sera toujours à vos côtés. Elle sera toujours amusée de vos bêtises et toujours en alerte par rapport à vos peines. C’est votre joie de vivre qui la gardera à vos côtés. C’est votre bonheur qui lui donnera toujours ce sourire que nous aimons regarder sur ses photos.
Mery, Antony et, vous les enfants, je vous embrasse car la vie à vos côtés m’a appris à mieux aimer.
Ma Mery,
Tu me manques tellement...
Je viens tout juste d'aller sur ton blog, tu m'en avais tellement parlé mais nous n'avions pas eu le temps d'aller voir ensemble ce que tu faisais et échangeais exactement. Pas eu le temps ou pas pris, comme ces films que nous devions regarder mais le temps passait toujours trop vite : dînette des loulous, notre petit apéro « tellement précieux » suivi de NOTRE dînette avec ce petit Co du Père Auguste que tu m'as fait connaître, et nos bavardages sur tout, sur rien, sur tellement de choses, et ça n'en finissait pas, incroyable nous disions nous 9 fois sur 10, le film ce sera pour la prochaine fois.
Cette initiation à la BD qui nous tenait à coeur : Silence est bien installé dans ma Léothèque, les petits Tintins (déjà 5 !) lui tiennent compagnie... Bel Ami n'est pas très loin.
Encore merci pour ces auteurs méconnus que j'ai redécouvert grâce à toi. Et Léo, que j'aurais tellement aimé que tu rencontres, s'en est bien chargé également et continue comme tu peux l'imaginer. Et Jess que je vais d'autant plus solliciter même si elle est loin maintenant.
Il me reste à découvrir « Qui a peur de Virginia Woolf ? » : il faisait partie de ces films que tu voulais me faire découvrir sur TON écran avec TON son et tu tenais à ce qu'on le regarde ensemble. Je le regarderai avec MON son sur Mon écran mais avec TOI.
Il m'est difficile de ne plus pouvoir t'appeler et te parler, je ne réalise pas encore je crois, c'est tellement injuste et douloureux pour nous tous qui t'aimons.
Nous nous sommes parlés pour la dernière fois un samedi, tu mas demandé pardon, j'en ai fait autant, pardon pour des raisons différentes mais je pense qu'il était aussi important pour toi comme pour moi de nous le dire pour la forme, car dans le fond il n'y avait aucun doute quant à l'intégrité et la sincérité de notre amitié.
Nous avons eu la chance de pouvoir nous écrire ce que nous ressentions vraiment par le biais de nos très rares échanges épistolaires, merci, merci et encore merci !
Je suis allée passer la soirée avec les enfants, Tony, ta petite maman, ta petite soeur, Greg, etc... mardi soir. J'ai été très touchée mais j'avais tellement peur, peur de ne pas te voir venir m'ouvrir la porte.
J'ai retrouvé les enfants, qu'est ce que c'était bon ! Leurs rires, leurs câlins, leurs frimousses. Nous avons passé une très bonne soirée à tes côtés : ce petit Ruinart (notre « péché mignon ») pour commencer, les plats réunionnais excellents de ta maman et le dessert préparé par Estelle : du bonheur !
Le lendemain, le soleil pointait le bout de son nez, je pensais à toi, ma main s'est dirigée vers le téléphone pour t'appeler comme je l'ai si souvent fait : je voulais te dire que j'avais passer une bonne soirée, qu'il faisait beau et je sais combien ce soleil était important pour toi, je voulais te remercier encore une fois d'être là et de nous permettre de partager et vivre notre amitié.
Je ne prends pas beaucoup soin de moi en ce moment et fait ces excès du soir que tu connais et qui t'ont toujours impressionnée... Je vais me ressaisir mais dois aussi accepter de laisser le temps au temps. 
J'ai tellement de chose à te raconter, à te faire découvrir... à partager avec toi !
A défaut de t'appeler et de papoter avec toi, je t'écrirai et te raconterai la suite de mon histoire... mes aventures avec Léo, mes histoires de coeur, ce téléphone qui va finir par me rendre folle et que les filles supportent de moins en moins, mes amis dont je t'ai souvent parlé, Calin qui continue ses mésaventures, etc...
Je pense très souvent à ce que tu ne cessais de me répéter lors de nos innombrables discussions : ON A LA VIE QU'ON SE FAIT ! Je te trouvais dure parfois... ça devait m'arranger. Et je me suis entendue le dire récemment, comme quoi...
Tu sais combien Maxime, Manon, Jeanne et Jules comptent pour moi et saches que je suis là pour eux (du moins je ferai de mon mieux). Je l'ai dit à Tony, à Estelle et j'espère qu'ils n'hésiteront pas à me solliciter. Il est vrai qu'en ce moment je n'ai pas trop de temps car je suis un peu « coincée » au bureau mais j'espère que cela va vite changer.
Je t'embrasse très fort ma Mery et t'enlace encore plus fort.
A plus tard.
Bonjour Méry, il fait très beau mais le moral lui n'est pas au beau fixe. Aujourd'hui, pour lutter contre la morosité et le contre-coup qui pointe son nez, je pense aux moments que j'ai passé chez vous à Saint pierre des Corps (je m'étais pointée avec plus d'une trentaine de piqûres de moustique par jambe, j'avais v..... dans un bus (grand moment), il y a eu votre superbe repas de fiançailles ou je me souviens que Philippe et moi avions pris en dessert une crème anglaise, seule et abandonnée, sans un gâteau, rien du tout, et sans pouvoir négocier la moindre miette avec le serveur! ça t'avait fait marrer ça! Il y a eu un amoureux à moi qu'il a fallu emmener d'urgence à l'hosto, c'est Laurent qui nous avait accompagné, et bien on n'a jamais su ce qu'il nous avait fait comme malaise!)
Je me souviens bien au delà de ce que je viens de raconter de l'ambiance qui flottait dans cette maison, et qui est toujours la même à Civray de Touraine, c'est un vrai bonheur de venir chez vous. J'adore. C'est un peu la maison du bonheur (en fond, la musique de la petite maison dans la prairie bien entendu.)
Tu laisses une belle empreinte dans votre maison, et une énorme dans mon ptit cœur...
( prochaine étape pour vaincre la tristesse: apprendre la chorégraphie de thriller, un vrai défi!) Je t'aime!
Bonjour princesse,
Il est si bon de te relire;
Un poème par ci, un mot doux par là...
Un trésor qu'au long de notre vie tu m'adressa
Et dont est extrait celui-là:

"Toi,
Trois petites lettres
Ont suffit à mettre
La lumière dorée
Dans mon âme esseulée
Désormais le soleil luit
Dans mon ciel de lit
Et mes songes de toi peuplés
D'étoiles sont illuminés.
Pour avoir su labourer, génie
Le bouquet tu as cueilli
Toi, artisan de cet être ravi:
                                        Moi"

Mille mercis pour celui-ci et tous les autres...
Aprés 3 semaines d'absence sur la fréquence on est revenu en Nouvelle Calédonie pour reprendre le rythme du travail. Ces vacances en Nouvelle Zélande ont été formidables, pays fantastique qui vaut le détour au même titre que l'Australie qui te passionne. Vingt jours ensoleillés se sont succédés sauf un. Une dépression tropicale a durant 24 heures déversé un déluge effrayant, nous obligeant à renoncer à notre but. Elle s'appelait Funa. C'était mardi 22 janvier. Je ne sais pas ce que signifie Funa en maori mais je crois qu'elle transportait un message, message que je viens juste de comprendre maintenant.
Je viens surtout de comprendre que de passer de 5 à 20000 km a non seulement renforcé nos liens, il les a rendu éternels. C'est sûrement la raison pour laquelle cette distance m'est douloureuse aujourd'hui.
J'ai eu Tony au téléphone, je ne le lâcherai pas d'une semelle, je te promets. 
Je n'ai aujourd'hui aucun regret: ni de dévorer égoïstement ton crumble aux pommes, ni de délirer comme un fou lors de nos soirées improvisées, ni de t'appeler "mamie" quand tu était trop peureuse, ni de te faire éclater de rire quand tu me voyais dans le jardin avec mon sale jogging, ni de te faire rugir quand je pissais dans le jardin ou que je vantais les atouts de l'homme par rapport à la femme, ni d'avoir été le témoin de la vie d'une femme et maman extraordinaire...
Mon métier me fait toucher le ciel tous les jours, ça me permettra de continuer à venir te voir aussi souvent que je le souhaite.
Bisous ma Mery
Bonjour Méry,
Ce matin, Jules comme à son habitude a sonné le réveil dans la chambre où les 4 enfants avaient pris d'assaut les lits. Expliquer que papa dort ne modère pas leur ardeur et même les dessins animés ne parviennent pas à faire baisser d'un ton leurs discussions. C'est l'heure du petit déjeuner avec jus d'orange (beaucoup) et petits pains au nutella. Jules bat Jeanne 5 à 2
Grosses bises à toi
Méry,
Je viens d’apprendre par Pascal que vous n’étiez plus parmi nous… Il ne voulait pas me le dire mais sa voix et ses hésitations l’ont trahi…
Lorsqu’il m’a parlé de votre maladie, en octobre dernier, j’ai tout de suite été touchée… Peut-être parce que mon combat contre cet « Alien » (c’est ainsi que je le nomme !) avait commencé depuis déjà quelques semaines…
Chaque fois qu’on se parlait au téléphone, je prenais des nouvelles de vous, et chaque fois, il me disait combien vous étiez combative, combien votre détermination était grande et à travers ses dires j’ai compris quelle femme admirable vous étiez !
Certaines personnes se demandent où nous puisons notre courage, mais vous et moi, chère Méry, savons que face à cet Alien, nos ressources de courage et de volonté sont inépuisables !
Bien sûr, il y a des moments de solitude intérieure et des moments de doute, mais très vite, portées par l’amour de nos enfants et de nos proches, nous reprenons les armes !
Votre départ m’attriste et me révolte… Je pense à Maxime, Manon, Jeanne et Jules, à leur immense chagrin et au grand vide qu’ils doivent ressentir… Je pense aussi à Tony, qui va devoir apprendre à vivre sans vous, combler ce vide incommensurable et continuer son chemin…
Je ne sais pas où vous êtes, mais ce dont je suis sûre, c’est que vous veillerez sur eux, de votre force maternelle et de votre amour infini…
Et je vous fais une promesse, Méry, celle de ne jamais baisser les bras devant la maladie et de continuer le combat contre cet Alien, au nom de votre courage et au nom de toutes celles qu’il a déjà emportées…
Je vous salue Méry, pleine de grâce…
Tu nous as laissé avec avec beaucoup d'interrogations. je passe beaucoup de temps à essayer d'y répondre, il y en a d'ordre existentiel (philosophe que je suis, on y croit)mais aujourd'hui, je te fais part d'un dilemme qui a récemment fait polémique entre nous, à savoir quelle est la meilleure façon de revoir (pour la 100ème fois sans doute) "le shérif est en prison"(film culte): en V.O. ou V.F.? Dilemme qui n'est pas sans rappeler celui du capitaine Haddock: la couverture sur ou sous la barbe?
Voilà quelques bêtises qui te font rire, j'espère, de là où tu nous vois...
Autres petites choses, je comprends ta délectation à regarder Dr House, aussi odieux que complexe, comme promis, je regarderai tout, et comme promis, je m'attaque bientôt à "V pour Vendetta", avec ta oh! combien sublime et protégée Nathalie Portman... Voilà ma soeur, merci pour toutes ces discussions que l'on a pu avoir sur tout et n'importe quoi, je t'aime très fort.
Salut Méry,
Tes obsèques étaient à ton image : Magnifiques ! Tu étais partout, l'amour était partout.... Tes musiques, ta famille..... Tony... respect pour Tony, il a été .... , il est ... Que tu dois être fière.... Pour ma part, j'ai pris le rôle de la pleureuse et là aussi, pas une fausse note !!! J'ai pleurée , je pleure.... Ca fait réfléchir tout ça... Tu riais quand je disais "J'suis en malice".... pfff si tu savais ma pauv' Méry, là j'ai dépassé le stade de la malice depuis longtemps ! Je ne sais pas comment ils disent les "djeuns" dans ces cas là... et toi ? j'me renseignerai !
A pluche Méry, bises
Ma chérie,
Encore, je me suis éveillé au beau milieu de la nuit, à te chercher à mon côté
Encore, je croyais sortir d'un mauvais rêve, et ne dormirais plus, attendant le matin
J'étais bien mieux à l'hôpital, à prendre soin de ton sommeil
On a même su voler de doux moments d'intimité, à l'insu du personnel hospitalier
Tu manques...
Bonjour Mery,
Je m’appelle Brigitte, Nous ne nous sommes jamais rencontrées mais je connais votre mari car nous travaillons dans la même
Entreprise et c’est quelqu’un de formidable et je suis triste pour lui et pour vos p’tits loups 
Mais je suis sûre que vous continuerez a veiller sur votre petite tribu car lorsque je regarde votre album
Je vois plein d’amour et ça, jamais personne ne pourra le prendre
Moi, il y a 9 ans, j’ai perdu ma maman qui m'a donné plein d’amour et encore aujourd’hui je la sens près
De moi et je sais que ce sera toujours comme ça c’est ce qui me permet d’avancer « Son Amour »
Et je suis sûre que vos quatre p’tits loups ressentiront tout au long de leur vie cet AMOUR de leur MAMAN
Reposez en paix MERY dans le paradis blanc comme le disait « Michel Berger »
A bientôt 
C'est le premier mail que je t'envoie et je le sais déjà pas très gai.
Ne m'en veux pas, toi qui a toujours été la joie de vivre, mais pour éloigner cette souffrance
et me plonger enfin dans de doux souvenirs avec plaisir, j'ai besoin de tout lacher. Pour ce qui est des larmes,
je n'en ai parfois plus, alors je tente les mots pour faire sortir la douleur.

Une semaine ce soir que tu es partie, je le sais depuis jeudi, et jusqu'à ce week-end, j'ai pleuré pour les tiens,
j'imaginais si intensément leur souffrance, celle de tes enfants, celle de Tony, celle de ta famille, alors j'ai pleuré pour eux.
Puis ce lundi 28 janvier est arrivé et depuis je pleure pour moi, en égoïste, je réalise enfin que t'es partie, petit à petit que
j'ai perdu mon Amie, que plus jamais je ne te reverrai, ni t'entendrai, te prendrai dans mes bras.
Plus jamais je ne te verrai danser, faire la cuisine, rire, préparer une table de rois pour tes invités, parler de tes loulous et de ta famille avec cette fierté qui faisait plaisir, tellement elle t'allait bien. Méry la classe ! Méry la belle, Méry la grande, Méry la battante...

Combien la musique était bien choisie en ce triste lundi, une Star à sa façon, incroyable comment ces mots te collaient à la peau.
Et les textes si simples, si justes. Tout a été dit, tout ce que je ressentais, tout ce que je ressens encore : le souvenir de tout ce que tu étais dit par Estelle, la souffrance profonde exprimée par ton Papa puis ce que doit être l'avenir pour Tony, pour tes loulous, pour tes proches, pour nous tous...

Je n'ai pas compris la gravité de la situation lorsque tu nous a appelé cet automne, comment n'ai-je pas pensé à venir te voir chez toi, je m'en veux. Il a fallu que tu partes à l'hôpital pour que je me bouge ! Tu parles d'une Amie. Après 3 ans sans te voir (la vie passe très vite par moment, il me semble incroyable qu'on est laissé passer autant de temps sans se voir, les circonstances certes, mais ...), je débarque ce 2 janvier dans ta chambre d'hopital comme une fleur, pour venir prendre ma claque. Méry la belle, toujours, mais Méry si faible...

Je me revois reprendre l'autoroute les yeux tournés vers les fenêtres de l'hopital, en criant dans ma voiture, "Méry tiens le coup ! Je reviens en février"... Mais l'être humain est ainsi complexe, qu'il peut être persuadé d'une chose et croire à son contraire : j'avais compris que tu étais trop faible, mais je croyais au miracle !

De même ce triste lundi, j'étais tellement heureuse de revoir tous nos Amis réunis alors que nous étions tous si tristes, encore le paradoxe humain ! Mais là encore c'est toi qui nous a tous réunis. Vous avez été toi et Tony, le ciment de toutes ces amitiés, il ne tient qu'à nous de garder l'édifice bien haut. Combien cela m'a fait plaisir de retrouver Claire, Sylvie, Didier, Lionel, Anissa, Oscar, et bien sur Greg, Margot et Estelle. Lorsque j'étais venue te voir, tu m'avais dit : "quand tout çela sera fini, on fera une grande fête à la Vie", je ne sais si tu y croyais ou si tu voulais me le faire croire, mais voilà, c'est bien fini certes, et pas comme on le voulait au plus profond de nos coeurs, mais là où tu avais raison, c'est que cette fête on va la faire, parce qu'on y est tous décidé. Bon il faut nous laisser un peu de temps si tu veux bien parce que les premiers pas seront pas très joyeux mais, ça prendra, pour nous, pour Toi !

Pour toi ma Méry que j'aime si fort,
Bonsoir Mery,
Je m'appelle Anita, mon mari Arnaud travaille avec Tony. Peut être as tu entendu parler de nous ? On se connait peu, juste croisée à une soirée mais je me souviens bien de toi;
Voilà il ya un peu plus d'un mois notre petit poussin Clément s'est envolé vers d'autres cieux et je viens te demander un grand service. Je sais que tu étais une maman poule comme moi alors je te demande de veiller sur lui en attendant que je le rejoigne un jour. Je suis sûre que vous allez vous retrouver la haut....
Je te le confie 
Je sais que je peux compter sur toi alors un grand merci ça me rassure de savoir que tu vas le prendre sous ton aile.
A plus tard
Qu’ils sont beaux tes enfants Mery !!!! Vous avez bien travaillé avec Tony ! De vraies petites perles, j’ai vraiment été contente de les rencontrer ils sont la joie et le bonheur incarnés, je sais que tu les regardes et que tu es fière d’eux.
Je pense très fort à toi
A bientôt, je t’écrirai de temps en temps.
Je voulais également te transmettre cette pensée que je trouve magnifique et en laquelle je crois, que l'on résume ainsi:
"Cette séparation n'est que physique, elle est à vos côtés en permanence, elle veille sur vous."
Tous mes pensées convergent vers vous 
Affectueusement
Méry,
Tu étais grande,
Tu étais belle,
Timide et réservée,
Tout un ensemble qui faisait ton charme
Maman attentionnée et soucieuse de l’éducation de tes enfants,
On ne pouvait que t’aimer.

On a pu tous ensemble profiter de tellement de moments de folies, de nos danses effrénées, de soirées sans fin, de bonne bouffes, de concours de plats, de soirées sans poisson, d'après midi frites mayonnaise, de petit déjeuner aux fromages (qui sentent si fort et que tu aimes tant), de partie de nuit et même de moment fort sous le cerisier de Saint Pierre...

Me dire que je ne te verrai plus que dans mes pensées me fait mal; 
Heureusement si je fais appel à mes souvenirs avec toi ce ne sont que des bons souvenirs ; tu es une femme formidable et je te l'ai déjà dit plus d'une fois ; ton passage trop bref a fait l'effet d'une étoile filante ; ton dynamisme, ta gentillesse, ta beauté physique et ta beauté d'âme seront pour moi inoubliables ; il m'est de toute façon impossible de t'oublier... 

Ta gentillesse, ton envie de bien faire pour les autres, ton entrain, nos moments partagés sont inoubliables,
J'ai le cœur serré et tu nous manque déjà tellement,

Je garderai dans mon cœur ton image de femme forte, de mère extraordinaire. 
Je me dis qu'il faut vivre pleinement pour toi, et surtout, surtout, ne pas perdre de temps et profiter les uns des autres. 

Je me souviens de ton sourire, de la lumière que tu portes dans ton regard, de la grâce de tes gestes, de l'éclat de ton rire, de la présence dont chaque lieu se remplit quand tu entres quelque part, du plaisir que tu avais à être. Cette gentillesse, cette douceur qui t'accompagnent.

Où que soit ton âme maintenant, je sais que tu veilleras sur nous, avec cette bienveillance, avec cette attention, avec cette curiosité que tu portais à tous. Je me sens rempli de gratitude. Merci Méry, merci d'avoir été cette merveilleuse amie pour moi. Je suis fier de te connaître. 

Enthousiasme, générosité, joie de vivre et partage, c’est ce que je retiens de toi Mery.
J'ai été très heureux de te voir hier et de contrôler que tu confirmes ta maxime, "malade, un peu, mais pas moche". Tu étais resplendissante.

Au fond, tu ne voulais qu’une seule chose : être heureuse en vivant ta vie à fond.
Au fond, tu ne voulais qu’une seule chose : être heureuse en compagnie de tes amis.
Au fond, tu ne voulais qu’une seule chose : être heureuse en partageant le bonheur de tes proches.

Là où tu es, continue à veiller sur nous, en tout cas, moi, ça m’aidera à affronter la vie.

Pour les 4 poussins qui ont perdu leur mère poule, Qu'ils se souviennent ces petits, du tonus, du courage et de l'énormité de ton amour. Reste pour eux un modèle, un exemple qui les guidera sur les chemins de leur vie. 


Méry était entre autre une littéraire, elle aimait les mots, les écrits et la poésie. Elle était décidée à apprendre un poème par semaine:

Maryse est née très loin…
Sous d'autres "Mery-diens"
Et des Méry-dionales
Tu en avais le teint
Elle a quitté son île
Les odeurs de vanille
Et les habits légers
Elle a du les troquer
Pour de gros pulls en laine
"Mery-nos"angora.
Mais l'soleil dans ton cœur
C'est bien en métropole
Que t'as su le trouver
Méry, près de Tony



Méry je souhaite te dire
je t'aime
Ma princesse
Et tu nous manques.
juste quelques mots pour parler de Mery ...je n'ai pas pu les écrire plutôt ...
j' ai eu le bonheur de la rencontrer grâce a l'école et l'association 
c'était quelqu'un de très naturel et sociable et d' une grande gentillesse ,jamais un mot plus haut que l'autre ,toujours a l'écoute des autres ,.... 
nous nous sommes côtoyer le plus souvent devant le bus et les réunions ape ,et aussi lors des manifestations de l'école 
des moments de complicité et d'anecdotes nous en avons vécu quelques uns ....
je resterai fidele a notre accord de lui raconter les blablas de l'école (que nous avions surnommé lors de nos messages paparazzi!) et de là je rajouterai les anecdotes ....
tu vas me manquer ...
Méry,
Je n’ai pas cette facilité pour m’exprimer mais saches que j’aurais aimé te connaître, toi qui es tant tournée vers les autres.
Je sais que là où tu es, tu continues à veiller sur ceux que tu aimes, ils seront toujours ta priorité.
Une chose est sûre, c’est qu’un jour arrivera où nous pourrons faire connaissance et nous parlerons de nos enfants, de nos passions…
Affectueusement
Mery,
Je te connaissais peu , nous avions discuté lors d’un buffet d’un collègue en 2002 (20ans de mariage de JJ)
mais ce peu m’a laissé un souvenir fort mémorable, celui d’une personne rayonnante , fort sympathique, à l’écoute
des autres, une personne à qui le morceau ‘’she’s a rainbow’’ (entre autres) choisi pour ton grand voyage s’applique je
pense, parfaitement.
Une chose est certaine nous nous retrouverons tous dans ta nouvelle demeure sauf que chacun voyagera à des horaires différents.
A une prochaine

Salut Méry,
D'habitude je ne suis pas du matin (et tout le monde le sait !) mais aujourd'hui, va savoir pourquoi, je me suis levé bien avant que Chinon ne s'éveille.
Tu trouveras ci-joint ce qui m'a tenu éveillé ... je t'ai même donné des couleurs.
Grosses bises à toute la tribu

En tapant ton nom sur google, j'ai trouvé ta trace sur le blog d'une certaine Michette, excellente cuisinière nous apprend-t-elle. http://blog.ifrance.com/michelecuisine/post/259350-tartelette-a-la-mousse-dasperges-et-saumon-fume
En bonne épicurienne qui se respecte, ça ne pouvait pas mieux tomber...
J'ai commencé à lire ton blog...c'est tellement toi...
Bravo Tony. Bises
Bonsoir Méry
Nous avons passé la grande partie de la journée à te rendre hommage , cette journée m’a permis de te découvrir, te connaitre un peu mieux ,savoir qui tu étais au travers de témoignages et de photos que ton amoureux ( il se reconnaitra ) diffusées sur écran .
Aujourd’hui j’ai vu une famille réunie avec une telle force que tout sera fait pour que de la haut tu sois fier d’eux , ta maman ton papa sont des gens merveilleux et plein de courage , ton amoureux plein d’espoir de te revoir la haut veillerons sur les tiens pour que vos quatre enfants soient les plus heureux Voilà un petit mot à chaud, 
Biz
Ma chère Méry,
J'ai toujours en mémoire les journées passées ensemble, ponctuées de crises de fou-rire, à se raconter des anecdotes sur nos vies, nos voyages en Grande Bretagne ou en Ecosse et à partager les passions que nous avons en commun.
Quand je repense aux heures passées à s'échanger nos avis sur les films, les livres et à faire du shopping! Quels grands moments de plaisir!
Et puis, travailler avec toi dans une telle bonne humeur et un tel dynamisme, c'était vraiment formidable!
Ce sont tous ces détails qui font de toi une femme extraordinaire.
La vie que tu as choisie avec ta grande famille, ta belle maison décorée avec un goût, un raffinement et une originalité qui te ressemblent est exactement celle que j'imaginais pour toi.
Même si on ne se voit pas souvent, les petits et grands courriers que l'on s'envoie nous permettent de toujours garder contact.
Je me rappelle de cette longue lettre de l'an dernier que j'ai pris tant de plaisir à lire et relire tant elle était drôle, pleine de spontanéité et d'auto-dérision!
Et même si je ne suis malheureusement pas là au rendez-vous de lundi, je pense bien fort à toi et à ceux que tu aimes.
Je t'embrasse 
Méry,
Tout en discrétion, tu étais attentive à la vie de l'école et au bien-être de ta famille.
Intervenant toujours avec pertinence et gentillesse, tu savais porter un regard positif et juste sur le monde qui t'entourait.
Méry,
Olivier m'a tant parlé de toi. J'aurai tant voulu mieux te connaitre.
J'ai pu voir et rencontré la belle famille que tu as crée avec ton mari. 
Je ne t'ai connu qu'à travers des voix au téléphone et par Olivier et Tony. Et de cela j'ai pu sentir la femme incroyable que tu étais : cette force, ce dynamisme et cette générosité....
Tous ce qui t'entourent ne t'oublieront jamais car tu leurs as laissé et appris que la vie vaut le coup d'etre vécu, et que chaque instant est si précieux. 
Merci Méry et au revoir
Mery,
tu resteras pour moi la générosité et l'appétit de vivre personnifiés.
Je ne t'oublierai jamais.
Chère Méry, 
Cet après-midi, j'ai regardé la mer en pensant à toi. J'y ai vu des images. Notre première rencontre, il y a déjà si longtemps, autour d'un bon repas. Ta venue dans mon jardin pour fêter mon départ vers le sud et cette mer. 
J'ai regardé la mer en pensant à le dernière fois où nous nous sommes parlés, longuement au téléphone. Tu voulais voir la mer et espérait qu'on la regarderait un jour ensemble, lors d'un prochain été. 
J'ai regardé la mer, et j'ai trouvé la vie mystérieuse, terrible, aveugle, indifférente, et pourtant belle. Qu'avons-nous d'autre au final ? 
Cet après-midi j'ai regardé la mer et j'ai pris cette photo pour toi, Méry. 
Au revoir. Ton voyage se poursuit dans nos esprits. 

Coucou Mery,
Une collègue Adjointe, Confidente, Amie voilà ce que tu as toujours représenté pour moi.
Le contact est passé tout de suite car nous avions beaucoup de points communs, être des battantes avec beaucoup de respect et une certaine simplicité, des bons petits plats et savoir apprécier un bon verre de vin.
Tu m’as souvent parlé de ces bons moments avec ton mari Tony, vos enfants étaient sacrés mais ta vie de couple était tout aussi importante Je me souviens de tes passages enceinte au magasin et de ceux ou tu venais avec les quatre enfants et cette grande poussette, c’était une véritable expédition et cela te rendait encore plus belle et épanouit !
Tu m’avais donné de photos des enfants que j’avais accrochés dans mon bureau ; je n’ai pu les récupérer. Je demanderais à Tony de m’en redonner ci il n’y voit pas d’inconvénient.
Je me rappelle t’avoir dit que j’aimerai vivre autant de bonheur que toi ! Tu m’as répondu de ne pas désespérer qu’un jour cela viendrait pour moi aussi.
Je n’oublierai jamais cet appel téléphonique ou tu m’as annoncé ce pourri de cancer et tu m’as précisé que tu n’avais contacté que quelques personnes pour leur dire et en faisant partie de celles-ci, j’ai compris que je comptais beaucoup pour toi et vice-versa .Je pourrais continuer à te parler encore et encore mais je me réserve d’autres moments pour te les raconter, je t’avais promis de venir te voir mais le destin en a voulu autrement.
Je m’engage à t’écrire régulièrement dès que je pourrais, je serais présente lundi 28/01/2008.
Je t’embrasse très fort
Chère Méry,
On est dimanche après midi, le soleil se cache, j'écoute Norah Jones, Sunrise, une petite ballade toute paisible. Mes yeux se remplissent de larmes, mon coeur bat fort. Je me sens tellement triste. Je me souviens de ton sourire, de la lumière que tu portes dans ton regard, de la grâce de tes gestes, de l'éclat de ton rire, de la présence dont chaque lieu se remplit quand tu entres quelque part, du plaisir que tu avais à être. Cette gentillesse, cette douceur qui t'accompagnent. Comme tu vas me manquer. Depuis longtemps on se connaît. J'ai eu de la chance de te croiser. Je suis honoré d'être ton ami. Je souris. Tous ces moments passés ensemble, ces soirées à partager qui on devenait, nos quêtes, nos doutes, nos espoirs, nos rêves. Ils sont dans ma mémoire et je te pleure. Chère Méry, je suis heureux d'avoir accompagné tes pas, d'avoir témoigné à ton mariage... Mon Tony, comme je suis désolé, comme tu dois être triste, toi aussi... J'aimerai te prendre dans mes bras, mon ami, te serrer contre moi et prendre un peu de ta peine... Estelle, tes parents, tes enfants, nous tous, tes amis... Comme j'aimerai que tu nous honores encore une fois de ton sourire. Comme tu vas me manquer. Comme tu vas nous manquer à tous, ceux qui ont croisé ton chemin, comme ceux qui ne le croiseront jamais. Ton âme nous souriait. Mon coeur se remplit de joie quand je me souviens de toi, et mes yeux pleurent. Où que soit ton âme maintenant, je sais que tu veilleras sur nous, avec cette bienveillance, avec cette attention, avec cette curiosité que tu portais à tous. Je me sens rempli de gratitude. Merci Méry, merci d'avoir été cette merveilleuse amie pour moi. Je suis fier de te connaître. 
Bon voyage, douce amie.
En ces moments douloureux où le cercle familial vient de se rompre, nous avons une affectueuse pensée tout particulièrement pour les quatre enfants. Après ce choc, cette injustice, cette incohérence, s'installent le vide, le silence et l'absence. 
Pour les 4 poussins qui ont perdu leur mère poule, comment de pas se révolter, s'opposer à l'ordre établi, avoir la haine ? La vie leur demande beaucoup, leur demande d'être encore plus forts, d'être plus grands avant l'âge, comme la maladie a demandé beaucoup à Méry. Qu'ils se souviennent ces petits, du tonus, du courage et de l'énormité de son amour. Qu'elle reste pour eux un modèle, un exemple qui les guidera sur les chemins de leur vie. 
Mery, nous ne te connaissions pas trop, mais ton départ déclanche un malaise trop fort, comment une jeunesse comme toi, comment la maladie a pu te détruire si vite, toi si belle si présente, nous voulons dire à Tony et à tes enfants que cette injustice, nous ne la comprenons pas, nous ne l'acceptons pas.
Nous ne changerons pas par des mots le destin immuable qui est écrit pour chacun, mais ton mari et tes petitous avait encore besoin de toi et pour longtemps, que Dieu te prenne si tôt nous remplis de désarroi, et de tristesse.
Jean-Marc, Nadège, Léo et Angèle ne sont pas là, nous ne savons même pas s'ils sont informés de ce grand malheur mais par notre intermédiaire nous voulons vous dire que pour eux ce sera un drame.
Nous vous accompagnons tous dans cette misère de la vie et nous vous disons à toute la famille nos sincères pensées très douloureuses
Ma petite femme,
Merci pour tes recommandations, saches que j'en tiendrai compte, çà me rassure que tu continues de m'aider tout en n'étant pas à la maison.
Et puis tu as vu, on est bien entourés, çà durera le temps qu'il faudra, tu n'as pas à t'inquiéter.
Je suis content que tu aies quand même apprécié de voir tout le monde, on se verra mieux plus tard -juste toi et moi je veux dire -, sois patiente.
Comme tu dis: "on est quand même une belle famille et on ne passe pas inaperçu!".
Je sais combien tu as besoin de rentrer à la maison, pour nous deux et les enfants, pour retrouver notre fonctionnement.
J'ai moi aussi hâte de retrouver nos gestes du quotidien, ceux du soir en particulier...
Je rentrerai pas tard, j'ai besoin de te câliner et te dire encore une fois que tu es ce qui m'est arrivé de plus beau.
Je te transmets les 1000 bisous de tous tes loulous
Je t'aime
Chère Mery
C’est avec beaucoup de peine que j’écris ses quelques mots.
Notre présence sur terre est quelque chose d’étrange. Nous ne savons pas
toujours pourquoi nous sommes là, et nous sommes là pour une période
transitoire, nous le savons. Mais quand quelqu’un qui nous est cher
disparaît, cela nous touche, nous bouleverse.
Ta disparition nous a ébranlé, nous pensions t'avoir à nos cotés pour
longtemps. Nous te garderons parmi nous dans nos esprits pour
toujours.
Perché sur ma colline, je contemple le Ciel, comme tous les jours...
Plus que d'habitude, cette nuit est belle et étoilée...
De toutes il yen a une qui brille plus que les autres...
Elle semble vouloir nous faire un signe.
Petite Etoile, tu es loin, mais tu vois ceux qui t'aime...
Veille sur eux... Et quand tu as le temps cligne des yeux...
Nous t'embrassons Petite Etoile... 
Enthousiasme, générosité, joie de vivre et partage
Eh Mery, tu te souviens quand je venais vous voir, toi et Tony, dans votre maison de Saint Pierre Des Corps, avec ma grosse moto… T’étais toujours comme une gamine, à vouloir faire un tour sur mon gros bolide, grisée par la vitesse. Plus tard, dans l’Alpine de Tony c’était pareil. Au fond, tu ne voulais qu’une seule chose : être heureuse en vivant ta vie à fond.
Eh Mery, tu te souviens de nos nombreuses soirées festives avec les copains… Qu’est-ce que tu as pu te moquer de moi ! C’est vrai, ces soirées elles avaient toutes un point en commun : la main dans le bène à Yoyo dès qu’il était un peu tard. Au fond, tu ne voulais qu’une seule chose : être heureuse en compagnie de tes amis.
Eh Mery, tu te souviens qu’on avait tous intérêt, nous les copains, à te tenir au courant des grands moments de nos vies respectives. Pour la naissance de William je n’ai pas pu te joindre rapidement, j’ai juste laissé un email à Tony qui a oublié de t’informer… 2 semaines plus tard tu m’as grondé parce que je ne t’avais pas appelée !… « Mais non Mery, j’ai pas réussi à te joindre et j’ai envoyé un mail à Tony ! ». Au fond, tu ne voulais qu’une seule chose : être heureuse en partageant le bonheur de tes proches.
Enthousiasme, générosité, joie de vivre et partage, c’est ce que je retiens de toi Mery.
Là où tu es continue à veiller sur nous, en tout cas, moi, ça m’aidera à affronter la vie.
Méry voulait créer une rubrique dans le journal de l'Ecole sur les bons mots des enfants. Cette idée lui était venue car Manon lui avait dit un midi :"Le poisson c'est mon bifteack haché préféré!", ce qui avait beaucoup fait rire Méry.
Méry était entre autre une littéraire, elle aimait les mots, les écrits et la poèsie. Elle était décidée à apprendre un poème par semaine.


VOLE

Vole, vole petite aile
Ma douce, mon hirondelle
Va t'en loin, va t'en sereine
Qu'ici rien ne te retienne

Rejoins le ciel et l'éther
Laisse-nous, laisse la Terre
Quitte manteau de misère
Change d'univers

Vole vole petite soeur
Vole mon ange, ma douleur
Quitte ton corps et nous laisse
Qu'enfin ta souffrance cesse

Va rejoindre l'autre rive
Celle des fleurs et des rires
Celle que tu voulais tant
Ta vie d'enfant

Vole vole mon amour
Puisque le nôtre est trop lourd
Puisque rien ne te soulage
Vole à ton dernier voyage
Lâche tes heures épuisées
Vole, tu l'as pas volé
Deviens souffle, sois colombe
pour t'envoler

Vole vole petite flamme
Vole mon ange, mon âme
Quitte ta peau de misère
Va retrouver la lumière.
Très Chère Mery,
Nous devions passer quelques jours chez vous au printemps dernier. Et puis
nous nous sommes dit, nous verrons plus tard. Et voilà que tu n'es plus là.
Devant cette terrible injustice qui t'est faite, à toi, à Tony, aux enfants,
devant mon impuissance et l'évidence de notre fragilité à tous, comment
trouver un peu de paix?
Je garderai dans mon coeur ton image de femme forte, de mère extraordinaire.
Je me dis qu'il faut vivre pleinement pour toi, et surtout, surtout, ne pas
perdre de temps et profiter les uns des autres.
Je ne sais que dire
mes mots semblent tellement ridicules ou pleins d'inutile,
sinon que j'aurais préféré te dire ces mots en direct.
ta gentillesse, ton envie de bien faire pour les autres, ton entrain, nos moments partagés sont inoubliables,
J'ai le coeur serré et tu nous manque déjà tellement,
on t'aime très fort Méry,
Mery,
Tony me dit que je peux t'écrire ... mais en fait devant cet écran et ce clavier mes yeux se remplissent de larmes, mon estomac se serre et mon coeur se met à battre de plus en plus fort. 
Me dire que je ne te verrai plus que dans mes pensées me fait mal; 
Heureusement si je fais appel à mes souvenirs avec toi ce ne sont que des bons souvenirs ; tu es une femme formidable et je te l'ai déjà dit plus d'une fois ; ton passage trop bref a fait l'effet d'une étoile filante ; ton dynanisme, ta gentillesse, ta beauté physique et ta beauté d'âme seront pour moi inoubliables ; il m'est de toute façon impossible de t'oublier... Ces discussions autour d'un thé bien chaud et de gâteaux confectionnés avec amour par Manon et toi ; ces promenades au bord du Cher ; nos manifestations APE.... je me dis que si tu te retournes pour regarder les choses que tu as laissé en souvenir, laisse moi te dire que tu peux être fière : ce ne sont que des bonnes et grandes choses.
je vais devoir arrêter la mon mail mais te réécrirai très vite car j'ai encore plein de chose à te dire 
ton amie qui t'aime fort
Il y a maintenant presque 12 ans, Mery
tu m'as ouvert avec Tony la porte de votre maison, de votre c½ur et
de votre amitié.
Sans me connaitre tu m'as tout de
suite fait confiance et tu m'a fait rapidement sentir que j'étais
le bienvenu.
Sans un jugement mais en toute
simplicité et avec le naturel qui est le tien.

On a appris à se connaitre à
échanger et tout doucement à se découvrir et à
devenir des amis.
On en a fait ensemble, tout le monde a
eu droit à une à nos petites blagues à deux
sous.
Mais personne n'a jamais su que c'était
nous deux qui en étions les auteurs.
Leur avouerons nous un jour, je ne
pense pas je suis comme toi respectueux de nos secrets.

On a pu tous ensemble profiter de
tellement de moments de folies, de nos danses effrénées,
de soirées sans fin, de bonne bouffes, de concours de plats,
de soirées sans poisson, d'après midi frites mayonnaise,
de petit déjeuner aux fromages (qui sentent si fort et que tu
aimes tant), de partie de nuit et même de moment fort sous le cerisier
de Saint Pierre...

Au mois de juillet, Tony et toi Méry
m'avait fait la plus superbe surprise de ma vie , vous aviez tous peur
de ma réaction mais que c'était bon d'être
tous ensemble en toute simplicité sans chichi mais réuni
par amour et par amitié. On a pleuré bien sur tout les
deux, dés que tu es arrivée, mais ça c'est une
habitude pour nous deux je pense que l'on est fleur bleue.

Il y a quelques jours on a pu passer un
peu de temps ensemble tu m'as demandé de t' envoyer de
l'énergie tu m'as dit te battre et je sais que tu as fait le
maximum.
Maintenant que tu es partie c'est vide
c'est fade c'est triste.
On fera toujours notre possible pour
être présent auprès Ton Tony et de tes quatre
petits bouts de choux qui t'ont tant vibrer, tu peux compter sur
moi.

Méry je souhaite te dire

je t'aime

Ma princesse

Et tu me manques.
Méry,
Tu étais grande,
Tu étais belle,
Timide et réservée,
Tout un ensemble qui faisait ton charme
Maman attentionnée et soucieuse de l’éducation de tes enfants,
On ne pouvait que t’aimer.
Nous soutiendrons Anthony et vos quatre petits.
c’est promis Méry. 
Mery j ai un regret c est de ne pas t avoir connu plus tôt mais je peux t assurer que ton souvenir me sera éternel.
Je ne prends pas souvent la plume
Mais voulais t’écrire ce petit mot
Et j’en prends plus souvent coutume
Car j’adore jouer avec les mots

Un petit message d’amitié
Que j’ai envie de t’adresser
Et je tiens à te remercier
Pour tous nos moments partagés

Parfois des tristes et des très gais
Mais la vie est faite de tout
Tout comme l’amour va l’amitié
Et ce sont des moments bien à nous

Ce qui est fabuleux avec toi
C’est que je ne me pose pas de question
Tout coule de source, je reste « moi »
Quelle que soit la situation

Tu as eu du mal à t’exprimer
Dans notre relation d’amitié
Petit à petit, tu y es arrivée
Et cela m’a souvent touchée
Car toujours fait d’une façon furtive
A la fois attachante et expressive

Pas besoin de mots parfois
Tu le sais aussi bien que moi !

Saches Mery que sous ton toit
Avec tes petits chérubins
J’y viens toujours avec joie
Et surtout je m’y sens bien

Avec Manon la Belle
Jeanne toute Frêle
Jules le Charmeur
Et Maxime Cascadeur au grand cœur
Je partage des moments de bonheur
Bon voyage ma belle Mery au pays des Anges.