Le rempart contre l’oubli, sur
Internet
1914 >> 1918 >> 1945 >> 2011
CEUX QUI
SONT TOMBÉS À DORMANS
En savoir
plus sur eux
Ce document contient des précisions
supplémentaires sur certains soldats ou sur des régiments, trop
longues pour tenir sur nos tableaux.
Pour l’instant, elles sont juste
regroupées ici, afin d'affiner nos recherches, nos connaissances. Elles
sont peu structurées, mais nous tâchons de faire des mises
à jour progressivement, au fur et à mesure de nos
découvertes.
Pour certains soldats, des informations
supplémentaires pourraient être obtenues dans les archives
départementales, mais nous manquons de temps ...
Donc, merci d’être indulgent si vous voyez
des informations fragmentaires, voire erronées. Mieux,
n’hésitez pas à nous apporter vos connaissances.
Les modifications récentes sont
signalées par un M.
Dernière mise à jour effectuée le mercredi 21 décembre 2011.
Sommaire de
cette page |
|
Sous-lieutenant André
BOULLET page transférée ici, Commandant
Gustave De SURIAN, tombe 762 page transférée ici. Où est le sergent Stuart
Mitchell Stephen TYSON ? |
Maurice BEAUMONT et la tombe 1062 Kouadiou
et Kouassi BROU, tombe 264 CAUBET
François, CAUBET Jean et GAUBET François, tombe 1185 Laurent
BUSSIERE et la tombe 193 GUESSAN
KOASSI et N’GUESSAN Koffi, tombes ... N’DA Kouassi et DAKOUASSI, tombe 1087 Louis OLLIERO, Ossuaire
n° 1 de la nécropole (# Louis ALLIER) Zoungrano
TENGRAM (ou Zoungrana TENGRAN), 925 et 894. Les lieux de décès des 28è et 24è RI : Les Thomassets ou Try ? Les lieux
de décès de ceux du 25è RI : Nesles, Beuvardes,
Vézilly, ... Les lieux de décès de
ceux du 47è RI. Les lieux
de décès de ceux du 77è RI Les lieux
de décès de ceux du 150è RI : Bois du Roi, Orbais,
... |
Sur
quelques FRANÇAIS
Pages transférées
dans le tableau d’honneur Retour au sommaire |
Colonel WINKELHAUSEN
Développement à venir Colonel au 78ème IR, régiment d’infanterie allemand. Il tombe dans la nuit du 3 au 4 septembre 1914 à Try. Il sera transporté à Verneuil, au château et y sera inhumé. La mémoire orale indique que la tombe était encore là peu de temps avant la deuxième guerre mondiale. Qu’est-elle devenue ? |
Les
22 du carré britannique
11 identifiés, un partiellement (Griffiths, voir ci-dessous), 2 incorrectement (Melbourne, Turnberry) et 8 inconnus. Ils sont 20 en tombes individuelles dans le carré britannique (B01 à 20) et deux dans le carré français ( 291, 294). Informations fournies
sur CWGC :
Voici leurs affectations exactes, sans les abréviations
AITKEN J. 49th
Squadron RAF ANDERSON J. 14th
Northumberland Fusiliers AUSTER N.C.L 3rd
Batallion South Wales Borderers EASTWOOD Benjamin 8th
batallion Gloucestershire Regiment FLETCHER A.J.
14th
Northumberland Fusiliers FURSE Edmond William 88th
Brigade Royal Field Artillery GRIFFITH ? (voir
ci-dessous) HARRIS Charles Tutt 14th
Northumberland Fusiliers KNIGHT John Morley 1st Bon East
Yorkshire Regt LYON H.J
8th Leicestershire Regt MELBOURNE Sidney William 49th Squadron RAF PHIPSON H.G.S 27th
Squadron RAF TUFFIN J. Arnold 1st/1st
North Midland Heavy Battery / Royal Garrison Artillery |
Qui
est W. S. GRIFFITHS ?
Un de ces 22 soldats n’est pas recensé par les britanniques eux-mêmes comme étant enterrés à Dormans. Son identité exacte est incertaine. Si les initiales sont les bonnes, six sont indiqués sur des mémoriaux (qui sont parfois aussi des cimetières).
Ce n’est pas le
deuxième, puisqu’il est en Irak, Est-il parmi les cinq autres, dont nous ne connaissons pas le lieu de décès actuellement ? |
Où
est le sergent Stuart Mitchell Stephen TYSON
?
Pilote américain né le 12 mars 1898 à Milwaukee, état du Wisconsin, et domicilié à Princeton. Il fera des études à Oxford (Angleterre) et à Haverford (état de Pensylvannie). Incorporé à la Légion étrangère, selon la fiche Mdh, et détaché en subsistance à la 1ère escadrille de combat Spa 85. Tombé dans la plaine au sud de Bois-le-chêne le 19 juillet 1918. Croix de guerre. Sur notre liste manuscrite, qui date environ de 1920, il est identifié sous le numéro 231 et le site ci-dessous confirme ‘inhumé en France’. Pourtant, il n’est pas à la nécropole de Dormans, ni sur le registre Sdg. Beaucoup d’américains ont été regroupés dans des nécropoles, généralement en France. Peut-être est-ce son cas. Mais il n’est pas dans la liste de l’American Battle Monuments Commission ABMC. Informations en Anglais Born March 12, 1898, in Milwaukee,
Wisconsin. Son of Reverend Stuart L. and Katharine Rosengarten Tyson. Home, Princeton, New Jersey.
Educated school in Oxford, England, and Haverford School, Pennsylvania. Midvale Steel Company, 1915.
Joined American Field Service, October 14, 1916; attached Section One until
April 14, 1917. Enlisted French Aviation, May
15th. Trained Avord, Pau, and Plessis-Belleville. Breveted October 16, 1917. Attached Spad Escadrille 85,
December 19, 1917, Sergeant. Killed in action, July 19, 1918, near Dormans. Croix
de Guerre, with palm. Buried in France. With courage and a conviction
characteristic of so many of our American soldiers, Stuart Mitchell Tyson
gave his life to France and her Cause willingly, consciously, considering it
a privilege. It was his final protest against a world wrong --- it was his
glorious consecration to the simple faith that Right is Might in a
christianized world. Literally, and confidently, he "died to make men
free." Sergeant Tyson was born in
Milwaukee, Wisconsin, March 12, 1898. He was educated at a school in Oxford,
England, and at the Haverford School, Pennsylvania. In 1915 he entered the
Midvale Steel Company. A year later, he left for France as an ambulance
driver, serving with Section One along the Verdun front in the hard winter of
1916-17 when the French division, with which it served, was engaged in the
recovery of Vaux and Douaumont. At the end of six months, he enlisted in the
French Army as an aviator, and after the necessary period of training was
breveted, and sent to the front in December 1917, where he served with the
Esquadrille Spad 85 until July 19, 1918, the day of his death. He was killed
in action near Château-Thierry, while attacking eight German
monoplanes. In recognition of his heroism, he received the Croix de Guerre
with palm. - o O o - Autre source
: http://www.pbs.org/wgbh/nova/redbaron/americans.html It was the 19th of
July, and the Germans had begun their historic second retreat from the Marne.
Around 5:30 in the afternoon, Tyson was flying back and forth at 15,000 feet
between Dormans
and Château-Thierry, about 50 miles northeast of Paris. He was part of
a small patrol of Spads, providing protection for some photographic
two-seaters. Suddenly, the patrol noticed a group of eight, single-seat
German planes approaching, and they dove to the attack. The Germans, whose
mission was to defend German territory and who were forbidden to attack over
French soil, refused to engage and started heading back into their lines. As
the French leader of Tyson's patrol turned to continue his squadron's mission
of protection, Tyson made his fatal mistake. As Hall and Norman write, ...Tyson was seen to
detach himself from the patrol and head swiftly after the retreating Germans.
It was over in an instant. As the enemy turned at bay, he attacked them from
beneath, one against eight, both guns spitting fire and lead. Next moment,
caught in the concentrated fire of the enemy at point-blank range, the Spad
was seen to veer wildly, whirl downward in a vrille,
and burst into flames and explode while still 6,000 feet above the Earth. |
Ils ou elles ne sont pas tombées
à Dormans, mais leur histoire à un lien avec Dormans.
Mlle
Henriette BRESSOLES
Selon les sources, le nom est orthographié avec un ou deux ‘L’. Mademoiselle BRESSOLES s'était engagée à 18 ans comme infirmière militaire dans une ambulance chirurgicale volante. Par son comportement héroïque, elle mérita quatre citations, la médaille de Reconnaissance Française et sera même proposée pour la Légion d'Honneur. Le 16 juillet 1918, dans la région de Dormans, en pleine offensive allemande (la Friedensturm), elle porte secours, sous un violent tir de barrage, à un prêtre-soldat dont le bras et la jambe gauche viennent d'être arrachés par des éclats d'obus. Comme elle s'efforce de soulever de terre le grand blessé, elle ressent brusquement un craquement et une très vive douleur dans la colonne vertébrale. Rentré à l'ambulance, elle éprouve une grande peine se redresser. Malgré ses douleurs, elle refuse toute évacuation jusqu'au soir où un obus tomba à quelques mètres d'elle et la projette à terre. Henriette est retrouvée une heure après, évanouie, avec un éclat d'obus dans la jambe. Son état empire rapidement. On diagnostique la maladie de Pott. Elle devient totalement dépendante en 1919 au point que les saints sacrements lui sont administrés en 1920. Par chance, elle échappe à la mort. Toutefois, en 1922, elle est déclarée en invalidité totale... La foi fait des miracles, parfois. Elle décide d’aller à Lourdes en juillet 24. Et guérit miraculeusement ! Depuis 1954, l’église considère que Henriette BRESSOLES est un des cas de guérison miraculeuse. |
Félix BARBIER, tombe
969
Considéré résolu M. Voir ajout en fin de ce paragraphe 1. Les données : · Ce chapitre concerne les BARBIER tombés autour de Dormans, vers le 15 juillet 1918. · Sur Sdg, deux soldats ‘BARBIER’ ont des identifications assez proches l’une de l’autre :
·
Mdh en
indique cinq
On constate que l’identification est erronée sur Mdh et/ou Sdg : En effet, pour BARBIER Félix, le tryptique classe-recrutement-matricule est différent (et de façon moins discriminante, la date). entre celui de Sdg (n° 2) et celui de Mdh (n° 3). Parmi les 7 autres ‘BARBIER’
que nous avons relevés, nous en citons quatre (numérotés
‘4’ à ‘7’) dans le tableau ci-dessus, mais
pour information seulement. 2. Nos conclusions : Il y a lieu de penser que BARBIER n° 1 (celui inhumé à Dormans tombe 969) est BARBIER Félix : Date identique et Leuvrigny est souvent indiqué en lieu et place du Chêne-la-Reine. Et pour BARBIER n° 2 (celui inhumé au Prieuré en 1071), le soldat est peut-être tombé vers Leuvrigny, ou le Chêne-la-Reine vers le 15 ou 18 juillet, il est peut-être du 33è RIC, mais il ne s’appelle pas BARBIER Félix, car il n’est pas dans les 993 ‘BARBIER’ de Mdh que nous avons visualisés (sauf fiches médicales). Sa véritable identité sera connue quand nous aurons retrouvé le soldat ayant classe ‘1915’, recrutement ‘Mende’ et matricule ‘1578’. En attendant, nous le classons dans notre tableau à « Inconnu, ex-Barbier Félix » 3. Ajout du 2
février 2010 Les données ont changé sur
Sdg depuis notre recherche ! Le Barbier Félix du prieuré n'a plus le tryptique indiqué (classe ‘1915’, recrutement ‘Mende’ et matricule ‘1578’) et est maintenant identifié comme celui du 33è RIC, que nous avons considéré inhumé à Dormans. Le choix de Sdg nous paraît erroné mais il faudra recommencer la recherche pour le confirmer. En
attendant, jusqu'à preuve du contraire, nous considérons notre
hypothèse comme valide et continuons d'indiquer ce cas comme 'Résolu". Maurice BEAUMONT et la
tombe 1062
Non résolu Les données : Aujourd'hui, Sdg indique "Inconnu" pour cette tombe. D'anciens documents gardent l'indication ancienne d'un 'Beaumont Maurice' : Hypothèses : La sépulture pourrait donc avoir été celle provisoire de BEAUMON_ Jean Robert Maurice, la fiche Mdh ayant semble-t-il été modifiée (Ajout postérieur du prénom Maurice et suppression du 'T' du nom) ou de BEAUMONT Maurice, du 106è RI, originaire de Charly/M. Et depuis, peut-être que ce BEAUMON(T) a été identifié ailleurs. Il faudra contacter Sdg pour plus d'infos sur l'historique de cette tombe. Paul
BERANGER, tombe 686
Considéré résolu Seule
info de départ : Pour Sdg, il est tombé à La Ville-sous-Orbais, et inhumé à Dormans, tombe 686. 1. Si
l’écriture est correcte Il n’y a que 5 BÉRANGER Paul sur Mdh Trois ne peuvent correspondre, un est tombé au Bois-le-Roi, mais il est inhumé au prieuré de Binson. Reste Paul Valentin BÉRANGER, déclaré sur Mdh être tombé à Montceaux-les-Provins, près d’Esternay, C’est 25 km au sud, mais beaucoup de ses amis du 24ème RI sont passés par Dormans, et on sait qu’au moins 11 tués du 24è ont été remontés de Ville/Orbais entre le 6 et le 17 septembre. Quant à la Ville/Orbais que signale Sdg, le 24è RI était bien dans ces environs à ces dates. Très probable que Béranger a été blessé aux Thomassets le 4/9 (près de la Ville/Orbais), puis peut-être déplacé à Montceau, où il décède le 6, puis son corps regroupé avec ceux du 24è à Dormans. Autre particularité : ce Paul Valentin figure au MàM de Drucourt (27) et au MàM de Bernay (27). 2. Si ce
n’est pas l’écriture exacte Il y a une possibilité pour BRANGER Paul, tombé à Festigny, 8 km au Nord d’Orbais, en juillet 18, pour lequel on ne trouve pas de sépulture. L’hypothèse est toutefois assez approximative. Conclusion : Les doutes semblent suffisamment faibles pour que nous considérions que l’occupant de la tombe 686 est BERANGER Paul Valentin. Augustin
BERNARDIN M
Non résolu Nos informations de départ sont celles relevées sur notre liste manuscrite : BERNARDIN Augustin, tombé au bois "le chêne", en juillet 1918. Différentes hypothèses vérifiées sur MdH avec Augustin : Berna***, Bena*** .... Mais aucune correspondance trouvée. Si c’est bien BERNARDIN, mais prénom erroné, il y en a 107 sur MdH. · Après vérification (janvier 2010), il ne s'agit pas d'un des cinq BERNARDIN qui étaient sous fiches médicales, non consultables jusqu'en 2008. · Il y a 3 autres BERNARDIN, morts dans les environs : Henri, du 82è, tombé le 26/7 à Belval-(sous-Châtillon), et Jean-Alfred, du 84è(?), disparu en septembre 1914 à Châtillon-sur-Marne. Mais il semble peu probable que ce soit eux (lieu de décès ou date éloignés), et Jean Edgard Notre hypothèse est qu’il s’agit de BERNARDIN Jean Edgard, tombé à Dormans le 15/7, originaire de Gond-Pontouvre (Charente, 16), référencé par MdH et Sdg. L'hypothèse est confortée par le fait que plusieurs gars du 73è sont tombés au bois "le chêne", comme Augustin. Mais nous ne validons pas cette hypothèse car la probabilité n’est pas suffisante. En effet, il est très possible que deux Bernardin soient morts autour de Dormans en juillet (le nom est courant). BIRAMA
Dione, tombe 401
Considéré résolu Il fait partie de ceux considérés ‘disparus’ sous Mdh.
Pour Mdh : DIONNE (élément du nom de famille), né en 1893 Déclaré ‘disparu ‘ et ‘Inhumé à Mareuil-le-Port;
Pour Sdg : "Diou né" (comme prénom), recrutement de 1914 sur Sdg. Entre BIRAMA DIONNE, Diome et ‘Diou né’, nous retenons l’orthographe BIRAMA Dione, qui semble la plus plausible (autres fiches). BLANDIN,
tombe 1044 M
Non résolu L’exemple même du "cas difficile". La seule indication que nous avons via le site "Sépultures de Guerre" (Sdg) est le nom, et celui-ci est plutôt courant. Du coup, sur le site "Mémoire des hommes" (Mdh), 252 homonymes répondent à ce critère ! Nous sommes obligés de supposer qu'il n'y a pas d'erreur de transcription. Une erreur sur une seule lettre (Glandin, Brandin, Blaudin, ...) et les recherches ne porteront plus sur 252 mais sur 500 ou 1000 ou plus ?... Sur ces 252, nous avons pu accéder initialement à 217 fiches. Ajout février 2010 : o 7 étaient ‘à caractère médical’ (non consultables jusqu'en 2008, dorénavant vérifiées). o la recherche a été affinée sur l'initiale A à Z du prénom pour ne plus être limité à 200. Sur ces fiches, deux sont "fort possibles", Louis et Joseph, quatre autres "peu possibles", Auguste et Henri et Henri-Pierre : Les Blandin "peu possibles" : - Auguste, de la Légion, disparu le 30 mai 1918 au Breuil (Aisne). Il y a parfois confusion sur les différents lieux appelés « Le Breuil » (voir en bas de ce document, ici) et ce pourrait être le Breuil (51) à 2 km de Beaulne-en-Brie (02). Mais sans information supplémentaire, nous considérons que ce BLANDIN est tombé à Breuil, aujourd’hui Saconin-et-Breuil (02), donc hors de notre périmètre et il y est peu probable qu’il ait été amené à Dormans. - Henri, du 408ème RI, le 20 juillet 1918 au bois de Courton (confirmé a posteriori, il est
inhumé au Prieuré de Binson, donc retiré des
‘possibles’) - Henri Pierre Marie, du 1e RMT, le 31 mai 1918 à l'ambulance 223, dans la montagne de Reims. Emplacement
de l'ambulance à vérifier mais peu probable qu'il ait
été amené à Dormans. Ajout décembre 2011 : - Un Nmpf apparait comme possible : BLANDIN André, Né à Mareuil-le-Port en 1896. Mais, décédé de maladie en 1916 dans cette commune, il y fut très certainement inhumé. Les Blandin "fort possibles" : - Louis Marie Joseph, lieutenant du 2ème RI, disparu (2è fiche MdH) à Jaulgonne le 30 mai 1918. Originaire de Granville (50), jugement transcrit en mars 1921 à Paris 12è. - Joseph Pierre, 32ème RI, tombé le 6 septembre 1914, à Morin-le-petit, originaire de Saint-Pierre-des-Echaubrognes (79), supposé disparu (jugement en 1920). Beaucoup, en septembre 14, ont été rapatriés sur Dormans et celui-ci n’est pas sur Sdg. Il reste donc ces deux possibilités. Avec si peu d’informations, les recoupements avec d’autre sources (le site ‘Memorial Genweb’, Google, ...) ne nous ont pas apporté d’indication supplémentaire. Sans autre précision sur ce BLANDIN inhumé à Dormans, rien ne permet de pencher plus vers l’une ou l’autre de ces hypothèses, d'autant que, comme signalé en début, nous ne pouvons être sur de l'orthographe indiquée.
Kouadiou
et Kouassi BROU, tombe 264
Considéré résolu 2 fiches Mdh correspondent à ce soldat, très différentes, ... et très semblables !
En outre, Kouadio, Kouassi, sont des prénoms ivoiriens (voir Wikipédia) (et même Kouakou, déclaré comme lieu de naissance !). Basés sur les jours de la semaine, cela doit multiplier les homonymies. Toumadi existe bien en côte d’Ivoire, mais pas Kouakou. Kouadio : Décès constaté le 27/8. Kouassi : né en Côte d'Ivoire, mais acte décès, du 15/9, transmis au Sénégal Autres causes de confusion : Le 2nd matricule est quasiment semblable (461/462), mais pas le 1er Sdg est au 13/8 et Mdh au 15 (mais on voit la rature qui cache l’ancien 13/8) Le prénom sur l’ancien registre est faux (Konassé) À notre avis, c’est un seul et même soldat, avec erreur de date, liée à la découverte tardive de son corps CAUBET
François, CAUBET Jean ? (tombe 1185)
Non résolu ‘Sépultures de Guerre’ (Sdg) indique que CAUBET François, inhumé à Dormans, sépulture n° 1185, était du 122ème RI et tombé le 26 septembre (1è ligne du tableau ci-dessous). Or,
· Pour ‘Mémoire des Hommes’, il n'y a eu aucun ‘CAUBET F’ au 122ème RI. En outre, en 1914, ce régiment était en Lorraine et en Belgique, pas en Champagne. · MgW indique que le CAUBET François, 122è RI, tué le 26/9/14, est inhumé à la nécropole de Gerbeviller (54). · On trouve dans cette nécropole un G-AUBET François (2è ligne du tableau) Le soldat inhumé à Dormans dans la tombe 1185 ne serait donc pas CAUBET François. Alors, qui est-ce ?
Aucune certitude, simples hypothèses : 1. CAUBET Jean Marie Louis, le dernier de notre tableau, pourrait être celui inhumé à Dormans. En effet, le 4 septembre, le 24è RI passait de Verneuil à Ville/Orbais. 2. GAUBERT François Frédéric, décédé entre Romigny et Dormans le 18-9-1916. Laurent
BUSSIERE et la tombe 193
Considéré résolu Voir également l’article de « L’Écho du Mémorial », numéro 8. Laurent BUSSIERE était en double sur le manuscrit et indiqué, une seule fois, au registre de sépultures de Guerre. Or, le véritable Laurent BUSSIERE est ré-inhumé à Moulins (03) depuis 1922 après avoir été inhumé 4 ans dans un verger. Donc l’occupant de la tombe 193 est un inconnu. GUESSAN
KOASSI et N’GUESSAN Koffi, tombes ...
Considéré résolu Il s’agit bien de deux soldats différents. Les deux fiches Mdh sont trompeuses et semblent identifier le même homme, mais Sdg confirme la différence. GUESSAN KOASSI : 6è BTS, tombé à Cuisles. Matricule au corps : 51221, né en 1893 à Boui bouasihora. Trouvé et inhumé le 16 septembre 1918. Inhumé en définitive au prieuré de Binson. N’GUESSAN Koffi : 66è BTS, (pas 6è) et tombé à Troissy (comme nombre du 66è, et non à Cuisles). Matricule au corps: 53133, né en 1895 à Niambrun. N’est pas disparu, comme indiqué sur Mdh, mais inhumé à Dormans. Le
HOUEROU Émile, tombe 1048
Considéré résolu Trois homonymes sont tombés dans la Marne, tous les trois des côtes-du-Nord (22). Le premier, en 1914, vers les marais de Saint-Gond Les deux autres près de Dormans :
MAMADOU,
MAMADY
Non résolu du moins, partiellement Ce sont deux noms très répandus. Parmi tous les tirailleurs tombés autour de Dormans.17 portent ce premier nom, huit le 2ème. Vu la fréquence de ces deux noms de famille, les recoupements ont du être précis. En synthèse, Nous avons identifié la majeure partie de façon unique ( 20 sur 25), mais il reste cinq dont l’identification est compliquée. Et le restera probablement, vu le peu d’informations personnalisées. MAMADOU
Samba, tombe 1119
Considéré résolu Il faisait partie de ceux considérés ‘disparus’ sous Mdh. Pour Sdg, le nom de famille est "S-E-MBA", le recrutement Saint-Louis et il est tombé le 10/08. Mais le n° de recrutement est le même. Nous considérons que c’est le même MAMADOU, et qu’il n’est pas disparu N’DA Kouassi et
DAKOUASSI, tombe 1087
considéré résolu Les données : Sdg avait identifié, dans la sépulture 1087 le soldat DAKOUASSI, tirailleur sénégalais mais régiment non précisé, tombé à Jonquery. Devant ce peu d’information, nos hypothèses se limitent à probablement un soldat du 6è BTS, tombé vers Cuisles, vers le 15 juillet 1918. Et dans le cadre de nos recherches, nous avons préalablement relevé le nom du Soldat N’DA, prénom Kouassi, déclaré disparu.. La corrélation entre les deux sources d’informations nous parait forte et nous porte à penser qu’il s’agit du même homme. Cela n’est bien sûr qu’une hypothèse, mais suffisamment étayée pour que nous considérions le cas résolu. Louis OLLIERO, Ossuaire
n° 1 de la nécropole (# louis ALLIER)
résolu Sur les registres de l’ossuaire, un soldat était identifié Louis ALLIER jusqu’en janvier 2008 ! Mais aucun Louis ALLIER n’est tombé dans les environs de Dormans. Nous avons retrouvé sa véritable identité ! Faire le rapprochement avec Louis OLLIERO n’était pas gagné, mais voilà qui est fait ! Les informations sur « Sépulture de Guerre » sont dorénavant corrigées M. -o O o - Sur ce même ossuaire, d’autres noms étaient plus ou moins erronés, et hormis ce nom, les informations étaient bien minimes. Dorénavant, avec Louis OLLIERO, les 18 soldats de l’ossuaire 1 et celui de l’ossuaire 2 sont tous identifiés ! ‘TENGRAM
Zoungrano’ ou ‘TENGRAN Zoungrana’, 925 et 894
Considéré résolu Les données : Il y a deux tombes à Dormans (925 et 894) et deux noms très proches, TENGRAM Zoungrano’ et ‘TENGRAN Zoungrana’. Mais en approfondissant, on s’aperçoit que sur Mdh et Sdg, les informations s’entremêlent : Pour TENGRAM
Pour TENGRAN
Il n’y a aucun nom de famille Zoungrana ou Zoungrano dans MdH Le 15-07, le 6è BTS n’est pas à la Ville-sous-Orbais mais à Cuisles et à Anthenay (ces deux derniers lieux sont à 1 km l’un de l’autre, mais pas La Ville-sous-Orbais). Ce sont donc les lignes 2 (Mdh) et 3 (Sdg) qui correspondent à la tombe 894, soit
et il reste un inconnu en tombe 925, au nom peut-être proche (pas sûr), sans doute tombé à la Ville-sous-Orbais, peut-être le 15/07 (pas sûr), mais pas au 6è BTS
Remarque annexe : Ouahigouya existe, bien, au Burkina-faso (ex Haute-Volta), comme Ouagadougou ; Kaolack est au Sénégal. Pour finir d’être plus précis, nous supposons que TENGRAM, était originaire de la Haute-Volta (Ouagadougou ou Ouahigouya) mais du recrutement de Kaolack. SCIELLER,
tombes 1050 et 1121
Considéré résolu Un peu semblable à TENGRAM, puisqu’il y a deux tombes à ce nom.
MDH : pas d'autre SCIELLER, tombé dans ces environs, que celui inhumé en 1050. Nous avons bien sûr essayé de nombreuses orthographes voisines : Si ou sci, cie ou cei ou ce, lle ou llie ... Le gars qui est dans la tombe 1021 est peut-être tombé à Sainte-Gemme (qui est entre Champvoisy et le bois Meunière), mais ce n’est certainement pas un SCIELLER. Conclusion : C’est bien la tombe 1050 qui contient les restes de SCIELLER Claude Jean. Le nom sur la sépulture 1121 est probablement erroné, et peut-être même très différent de celui affiché. Pierre
SCOTTE, tombe 122
Comme de nombreux combattants du deuxième conflit, on possède très peu d’information sur ce soldat. Ce que l’on sait : Pilote d’un avion français Curtiss, venu de la base de Saint-Dizier. Crashé près de Troissy le 3 juin 1940 lors de l'Opération 'Paula' (voir l'Écho du Mémorial', n° 8) Il est inhumé à Dormans donc apparaît dans la base SdG. N’apparaît pas dans la base Aéronautique de ‘mémoire des hommes’ (car uniquement 14-18). |
Le
Breuil
/ Breuil
Il y a des confusions fréquentes car ces trois lieux ont été le théâtre de combats à plusieurs reprises au cours de la Première guerre. Seul ‘Le Breuil’, le deuxième ci-dessous, est vraiment dans notre périmètre : Breuil (51140) : Parfois appelé Breuil-sur-Vesle, dans le canton de Fismes (à 5 km à l'est) et 2 km à l’ouest de Jonchery-sur-Vesle. En outre, sur le site MemorialGenweb (Mgw), apparaît une confusion récurrente avec Jonchery-sur-Suippes, qui est près de Saint-Hilaire-le-Grand. Près de ce Breuil-ci, se trouve un autre lieu de combats, les Vantaux (parfois écrit ‘les Venteaux’). Le Breuil (51210) et le bois du Breuil : On est là dans le canton de Dormans (51), mais à 2 km de Beaulne-en-Brie, dans l’Aisne (canton de Condé-en-Brie, 02). Il y a donc parfois, dans les indications Mgw, une double confusion : le Breuil près de Dormans n’a pas de lien avec Jonchery-sur-Suippe ou -sur-Vesle. Breuil (02200), intégrée aujourd’hui à Saconin-et-Breuil dans le canton de Vic-sur-Aisne. Outre la proximité des lieux et l’homonymie, il y a une autre source de confusion entre ce Breuil-ci (02) et Le Breuil (canton de Dormans, 51) : près de ce dernier (et c’est dans l’Aisne, donc !), il existe une rivière Saconnay et un lieu dit Saconnet ! Bois
des Savarts
/ 53è RI
Plusieurs régiments y ont vu tomber leurs soldats. Est-ce dans ‘notre périmètre’ ? Ceci n’est pas encore très clair. Le soldat Le GUENNEC possède 2 fiches, une à 'Joseph' et une à 'Joseph Marie'. Par recoupement, le bois des Savarts est probablement celui entre Reuil et Tincourt (une des fiches), mais il est fait mention par ailleurs (fiches ‘DIENG N'gouye’ et peut-être LeVEEL) d'une ferme des Savarts vers Leuvrigny... et le 16 juillet, d’autres du 53è RI tombent vers Oeuilly Leuvrigny (environ 3 km). En outre, un lieu-dit « les savarts » existe au Sud de Saint-Martin-d’Ablois Les lieux de
décès des 28è et 24è RI : Try ou Les
Thomassets ?
Sources : Mdh principalement Deux régiments (24 et 28è), deux dates (3 et 4 septembre) deux lieux (Try/Verneuil et Les thomassets). Pour ces deux régiments, le nombre de soldats tombés et le lieu réel de leur décès sont encore incertains aujourd’hui. Pour les deux camps confondus, c’est donc au minimum 460 combattants qui sont tombés ici. Nous avons identifié actuellement 62 français et un allemand (au 15 avril 2008). Au moins trois erreurs sont avérées sur Mdh : CHEVALLIER, déclaré à Champfleury, tandis que GRIPON et SALANSON sont déclarés à Verneuil. Il est fort probable que de nombreux autres ont également été déclarés sur des lieux de combats différents (La Neuville, Loivre, notamment ?). Et nombre de blessés sont ensuite allés mourir aux alentours : Margny, Sézanne, la Ville-sous-Orbais, Montmirail ... Enfin, certains soldats du 24è sont annoncés parfois au 224è RI (ou l’inverse). Mais on comprendra aisément qu’en ces périodes troublées, il ne fut pas facile de mettre à jour en temps réel les changements d’affectation. Voici quelques précisions nominatives sur les 14 combattants inscrits sur le monument commémoratif des Thomassets :
Deux soldats, cités
sur le monument aux morts des Thomasets, ne sont pas tombés aux
environs des Thomassets ni de Dormans. Ils sont en fait originaires des Thomassets
(probablement de la famille de M. FAVRET, fermier des Thomassets et maire de
la Ville-sous-Orbais,)
Les lieux de
décès de ceux du 25è RI : Nesles, Beuvardes,
Vézilly, ...
Nesle, ou Nesles ? Il y a parfois confusion sur les fiches : - Nesle-le-Repons, (pas de S à ‘Nesle’) est à 5 km au sud-est de Dormans. - Nesles aussi appelée "Nesles-en-Dôle" et anciennement "Nesles-en-Tardenois", sur la commune de Seringes-et-Nesles (02130) canton de Fère-en-Tardenois. (02), à 5 km au nord-ouest du bois Meunière, soit 15 km au nord de Dormans, ce qui est hors de notre périmètre de quelques kilomètres.
Remarque : Il existe aussi Nesle-la-Reposte, à 10 km au sud d’Esternay et Nesles-la-Montagne, canton de Château/Th. (02) mais ils n’apparaissent pas dans nos relevés Quel périmètre conserver ? Nous avons identifié sur Mdh, du 29/5 au 2/6, neuf soldats du 25ème RI tombés à Nesles et 4 à Beuvardes. Il seraient donc hors de notre périmètre ou du moins, çà la limite. Mais à la même date, d'autres du 25ème RI sont indiqués sur Vandières, Verneuil. Et pour compliquer, certains sont tombés à Nesles pour Mdh et à Verneuil pour Sdg. Les pages du JMO confirment ces multiples déplacements. Donc, nous conservons dans notre liste les soldats trouvés sur Nesles et Beuvardes, ne serait-ce que pour une mémoire la plus complète possible. Les
lieux de décès de ceux du 47è RI. M.
Le 47è est passé autour de Dormans à fin mai / début juin et sur juillet août. Plus de cent soldats de ce régiment ont été inhumés à Dormans, ou sont vérifiés comme tombés à Dormans. Pour 13 autres, décédés entre le 16 et 25 août 18, le lieu de combat est plus difficile à déterminer car les blessés ont été envoyés dans des ambulances éloignées (la plupart à l’A16/1 de Sézanne). Sans état nominatif des pertes, impossible pour le moment de savoir lesquels parmi eux furent blessés vers Dormans. Ils font pour l’heure partie de ceux comptabilisés comme ‘Probablement tombé sur Dormans’. Certains seront probablement hors de notre périmètre mais les lister ici sert à retracer le parcours hospitalier de ceux du 47è. Synthèse du JMO : -
Avril : Jusqu’au 28 mai, le régiment est dans la Meuse - 29 Mai
- 26 juin 1918 Combats sur un large périmètre autour de Dormans (à préciser). Puis repos. - 15
Juillet - 2 août 18 Le 47è est à nouveau disséminé. Combats sur Olizy, Port-à Binson, la Chapelle-Monthodon ou Orbais. Ceux décédés à Mareuil-en-Brie ont été inhumés à Dormans avec ceux qui les avaient précédé en mai juin. Quelque soit le régiment, ceux décédés à Sézanne furent généralement inhumés sur place. - 2
août -15 août 18 D'une manière générale, le 47è va de Unchair à Aougny. Des combats ont lieu plus au nord (La Vesle...). - fin
août 18 Le 47è est quasiment au repos, cantonnement autour de Verneuil, Passy-Grigny, ... Les lieux de
décès ou de blessures de ceux du 77è RI M.
Paragraphe corrigé le 11 janvier
2010 à l’aide du JMO. 97 soldats identifiés à ce jour dont 39 sont inhumés à Dormans. La plupart des blessés, lors de ces combats autour de Dormans furent transportés vers des ambulances aux alentours : Montmirail, Sézanne, Mesgrigny, Chichey ... Il est donc difficile de savoir sur quels combats ils sont tombés car le 77è a "tourné" autour de Dormans pendant plus de 2 semaines. Voici approximativement son parcours : Du 16 au 19 juillet : Comblizy, ferme des Pozard, des Piots, Sainte-Croix, le clos Milon ; Sur cette période, voir notre tableau d'honneur, concernant Fernand TANNAY. 20/21 : Troissy, Dormans, Vassieux ; 22 : Courthiézy ; 23 : Sauvigny, Vincelles ; 24-25 : Trélou, Chassins ; 26 : Dormans ; 27-29 : Champvoisy, Bois de Gèvres ; 30/31 : Bois meunière, Villers-Agron ; 1 et 2/8 : Goussancourt, Villers-Agron. Un état des pertes est
annexé au JMO en date du 3 août mais non disponible en ligne. 4 août : Le régiment quitte les lieux pour les environs de Verdun; pas d'autres combats avant le 19 août. Les lieux de
décès de ceux du 147è RI
À compléter :
Les
lieux de décès de ceux du 150è RI : Bois du Roi,
Orbais, ...
Les données sont contradictoires pour ce régiment (Le Breuil, Orbais-l'Abbaye, Ville en Tardenois, Bois du Roi ?) pour la période du 15 au 18 juillet 1918 (à vérifier dans les JMO dorénavant accessibles en ligne). Informations sûres : Quatre soldats du 150è décèdent à cette période à Orbais, lesquels sont d'ailleurs inhumés à Dormans. Probable que le 150è était dispersé et que certains d'entre eux seront hors périmètre. TETON Ferdinand reste dans la liste en attendant d’avoir plus d’informations. Seront également concernés (liste provisoire) : BRUNET Louis (Cuchery), OLLIN Ernest François (Décédé à Chichey), LEBOUCHER Robert (Belval/Ch.), MOINE Gaston Louis (Sézanne), BRUNAUD François Jean (bois du Roi). |
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