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Revue de presse

Le renouveau des canaux

La mise à grand gabarit de la liaison fluviale Bray-Nogent continue

Cet aménagement permettra de relier sans rupture de charge Nogent-sur-Seine au bassin parisien et au-delà, aux grands ports maritimes du Havre et de Rouen (et, via le futur canal Seine-Nord Europe, aux grands ports maritimes de l'Europe du nord). Il comprend principalement la reprise du chenal de navigation entre l'écluse de la Grande Bosse et Villiers-sur-Seine,  la construction d'une nouvelle écluse à Jaulnes et la construction d'un canal à grand gabarit  (sur les actuels casiers SEDA) parallèle au canal de Beaulieu.
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canal du Nivernais.

Le tourisme fluvial tend à se stabiliser, au moins sur le canal du Nivernais. « En 2010, nous avions eu 1.187 passages à l'écluse des Jeux, à Clamecy ; cette année, à fin août, il y en a eu 1.524. Comme septembre semble avoir été bon,
on s'achemine vers un chiffre identique à l'an dernier », estime Jean-Marc Voyot, assistant technique au Syndicat mixte du canal.
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Canal du Midi

Entretien et rénovation médiocres, platanes malades, disparition de la batellerie commerciale au profit du développement touristique exclusif… Le diagnostic que dressent les associations occitanes Pais Nostre et Lo Camin novèl sur l'état du Canal du Midi n'est franchement pas jojo. Hier, lors d'une conférence de presse organisée à Trèbes, ils ont émis le souhait d'états généraux du Canal du Midi - mais ont omis d'y inviter le gestionnaire délégué, les Voies navigables de France (VNF).
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L'écluse de Bouchain 

L'écluse de Bouchain en chômage à partir de mercredi
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l'écluse du Pont Malin

Gros travaux à l'écluse du Pont Malin qui va être équipée de nouvelles portes
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En cours, le dragage de la Sambre par les Voies navigables

Mercredi, la péniche et l'engin étaient à proximité de l'écluse d'Hautmont, derrière l'abbaye. Avant cela, le va-et-vient des péniches avait lieu du côté de Berlaimont (notre édition de samedi). Les péniches venaient s'amarrer sur les quais, près de l'entreprise Desvres, pour déverser une partie des sédiments « récoltés » dans le cadre du curage de la Sambre.
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Port de Saint Quentin

La communauté d'agglomération devait récupérer la concession du port. Revirement de dernière minute. La gestion est assurée par Voies navigables de France.
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Des bateaux angevins au Festival de Loire à Orléans

Dans une dizaine de jours le Festival de Loire accueillera sur les quais d'Orléans plus de 220 bateaux naviguant sur les fleuves d'Europe et leurs 600 mariniers. Avec plus de 600 000 visiteurs, ce festival constitue le plus grand rassemblement européen de la marine fluviale avec 200 spectacles gratuits et plus de 400 animations. 
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Un prototype de bateau fluvial à hydrogène

Les carburants écologiques ne sont pas seulement intéressants pour les voitures: l'Université de Birmingham fait naviguer depuis trois ans déjà un bateau fluvial propulsé par une pile à combustible.
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Une seule prise de courant sur les berges castelles

TRISTE constat. Les plaisanciers qui font une halte à Château-Thierry ne s'éternisent pas plus d'une journée.
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Une écluse atypique

Le métier d'éclusier a considérablement évolué. Terminé l'époque où ces professionnels vivaient sur place et passaient leur temps dehors, en amont et en aval de l'écluse, pour ouvrir et fermer les portes.
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Charlotte et Christian, la vie est un long fleuve tranquille

À 67 ans, Charlotte et Christian sont toujours en vadrouille. Une semaine par-ci, un mois par-là, ce couple de retraités suisses ne pose jamais ses valises. Et pour cause, ils n'en ont pas ! Il y a sept ans, c'est dans une péniche qu'ils ont décidé d'emménager. Rencontre, le temps d'une escale, à Lille.
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Naufrage d'une péniche de plaisance sur la Marne

CUMIERES (Marne). Il n'est pas encore 14 heures, hier, lorsqu'une péniche de plaisance arrive depuis Damery en direction d'Epernay. A hauteur de la première écluse de Cumières, le pilote, d'après l'enquête de police, fait une erreur au moment de l'aiguillage et se retrouve sur un bras mort de la Marne, non navigable. 
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La rando du dimanche

Voici une sortie plaisante de 10 km qui réserve de bons moments. ... Les plaisirs sont tellement variés que vous aurez envie, un jour ou l'autre, de repiquer au plat.
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Halte fluviale : Tout est OK au quai

«OH ! non, je n'ai pas de bateau et ce n'est pas plus mal quand on sait comment j'ai dirigé ma barque dans un parc d'attraction ! » Édith Demerlier n'a peut-être rien d'une Maud Fontenoy avec des rames, mais elle est hors pair pour l'accueil des plaisanciers à la halte fluviale de Chauny. Et ce sont les plaisanciers qui en parlent le mieux. « Nous avons eu un accueil très chaleureux », racontait dernièrement Danielle Vanneyre, de Bordeaux, en escale pour une nuit avec son mari Jean-Marie sur le Jopika, quai Gayant.
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Castelnaudary. Canal du Midi : alerte aux eauxpolluées

Défigurer le canal du Midi en abattant les platanes atteints d'un mal incurable est l'arbre qui cache un autre fléau : la pollution des eaux causée par le tourisme plaisancier.
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Sur le canal de Roubaix 

Ils sont arrivés tous les trois en même temps, mercredi en milieu d'après-midi. Difficile de
dire qui du lot était le trentième plaisancier à emprunter ce canal de Roubaix qui,
décidément, devient une destination touristique à la mode, deux mois et demi seulement
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Au coeur de la Lys pour contempler la vallée

Qu'à cela ne tienne, le bateau ne tangue pas. Ne chavire pas non plus, malgré une belle petite frayeur en cours de
route - une péniche qui a lancé un propulseur et qui a provoqué de sacré remous dont notre bateau a eu du mal à
s'en remettre.
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Sécheresse du canal de la Marne à la Saône

15 Mai 2011 Les conséquences de la sécheresse engendrent des mesures d'économies d'eau sur le canal fluvial de la Marne à la Saône. Voie Navigable de France pourrait décider de regrouper les plaisanciers pour les passages dans les écluses.

Canal de la Sambre à l'Oise - Du nouveau !

Le rapport de Monsieur VERDEAU est enfin sorti...
L'association qui s'est crée ce jour à Iron s'appellera Canal SET (Canal Sambre Eau Thiérache), son but, la mise en valeur du Canal de la Sambre, de ses bassins adjacents et pour le retour de l'eau vive.
Si vous voulez les rejoindre, car cette association est ouverte à tous, vous pouvez contacter Francine Kimpe en téléphonant au : 03 23 60 45 16
Le rapport cliquez Ici

Le Blog des bateaux électriques

Bateaux électriques et bateaux solaires quels sont les avantages? Silence, propreté, respect de l'environnement immédiat, confort, monocoque, catamaran, trimaran, etc.. Réflexion pour le transport de passagers, le transport fluvial et maritime ou pour des embarcations privées.

La rigole du Noirieu à sec

REMAUCOURT/ESSIGNY-LE-PETIT La rigole Noirieu ne fait pas rire VNF
Elle s'est vidée de son eau suite à un effondrement d'une partie de sa berge dans la nuit de mercredi à jeudi. Un plan de travaux d'urgence a été mis en place par Voies navigables de France pour éviter que le canal Saint Quentin ne soit plus alimenté.
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Avec l'ouverture de la place nautique, la Confluence de Lyon s'ouvre au public

Gérard Collomb, le maire de Lyon, a inauguré vendredi 25 juin le quai Antoine Riboud dans le quartier de Lyon Confluence, sonnant l'ouverture de la place nautique et de la promenade de Saône au public. C'est désormais le plus grand des espaces publics de la presqu'île qui s'offre aux Lyonnais.
Source le moniteur.fr

Des haltes fluviales attrayantes

Entre Besançon et Montbéliardais, les plaisanciers profitent d'un paysage magique mais aussi de haltes portuaires de mieux en mieux agencées. C'est le cas de la halte fluviale de Deluz, près de Besançon, ouverte depuis juillet 2009. Ici l'aménagement d'un bassin d'accostage a permis de créer une halte dans le lit du canal Freycinet, ce qui en fait un site protégé des crues.
Elle permet l'accueil d'une trentaine de bateaux de plaisance en courte, moyenne et longue durée, tout au long de l'année. Cette halte comprend : pontons d'amarrage, bornes de distribution d'eau et d'électricité, station de récupération des eaux usées, rampe de mise à l'eau et tables de pique-nique. Le port de Baume-les-Dames est également très prisé confortant l'attrait touristique de la petite ville.
Deux autres haltes, celles de L'Isle-sur-le-Doubs et de Clerval (sur le Doubs) renforcent l'offre pour les plaisanciers.
Source Alsace.fr

SAINT-QUENTIN Pour le canal, un flot de festivités

Aujourd'hui commencent les animations consacrées au bicentenaire du canal. Le programme est chargé. Ces 200 ans sont l'occasion de rappeler l'histoire et la vie d'un lieu souvent plongé dans la banalité du quotidien.
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Le port de Dinan a été sauvé in extremis 

À une vingtaine de personnes, on a pu sauver trois bateaux. L'eau montait à une vitesse impressionnante.
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Le renouveau des canaux

Après la région Bourgogne très active dans la remise en état de ses voies navigables, voici un bilan des ambitions de la Loire Atlantique.

Le conseil général de Loire-Atlantique veut ré-ouvrir à la navigation l'intégralité du canal de Nantes à Brest
Date de publication : mercredi 24 février 2010


Retrouver le « canal oublié ». Depuis qu'en 2008 il est devenu propriétaire et gestionnaire des voies fluviales de Loire-Atlantique, le Conseil général développe de grandes ambitions pour la section du canal de Nantes à Brest dont il a la responsabilité (73 km) : après le réaménagement multi-usages du chemin de halage et la réhabilitation de plusieurs ponts et écluses, le Conseil général vise maintenant la réouverture complète du canal à la navigation fluviale.

Pour y parvenir, il doit entièrement draguer et dégager de la végétation envahissante une section de 6 km, située entre Fégréac et St-Nicolas-de-Redon, et fermée à la navigation depuis 30 ans. Ces travaux vont être assurés par la nouvelle barge fluviale « Isac », dernier investissement en date du Conseil général (284 000 €). Mise en service en cette fin février, elle va désormais intervenir sans relâche afin de permettre la réouverture de ce « Petit canal » d'ici à l'été prochain. Voies navigables de Loire-Atlantique : objectif mise en valeur Le Canal de Nantes à Brest, ses étangs et rigoles, l'Erdre et la Sèvre navigables : le Conseil général est propriétaire et gestionnaire depuis 2008 de 120 km de voies navigables, avec un objectif : préserver l'existant, mettre en valeur le potentiel, pour faire davantage connaître et vivre ce patrimoine. Propriétaire du domaine public fluvial, le Conseil général remplit aujourd'hui un rôle de régulation, de coordination et de conseil sur les voies navigables. Il est en ce sens le principal garant des cohérences hydraulique, domaniale et de navigation.Le Conseil général considère les voies navigables constituent un patrimoine historique de très grande valeur, ouvert aux activités de loisirs et qui contribue à la qualité de vie en Loire-Atlantique. Pour cette raison, il a mis en place et développe un schéma des voies navigables 2008-2012 couvrant l'ensemble des activités liées au domaine public fluvial : entretien, exploitation, valorisation, environnement, sport, tourisme… Ce schéma formalise des axes opérationnels concrets et réalistes, et un plan de 30 actions –les unes déjà ancrées dans les pratiques, les autres nouvelles ou à développer - pour un développement des voies d'eau départementales. Il repose autour de trois axes :
1. Préserver le patrimoine en sauvegardant les ouvrages historiques et en protégeant l'environnement.Le patrimoine naturel du domaine public fluvial - floristique et arboré, piscicole et faunistique - est dorénavant géré en accord avec les orientations de développement durable. L'acquisition de la barge « Isac » s'inscrit pleinement dans cette démarche, en ce qu'elle favorise l'intervention par voie fluviale afin de préserver les abords de la voie d'eau
2. Développer l'offre de loisirs en aménageant le canal de Nantes à Brest et en valorisant les abords des voies d'eau.Concernant le Canal de Nantes à Brest, le Conseil général vise à en faciliter l'usage par les plaisanciers en développant des ports fluviaux et par les randonneurs en améliorant l'accès au domaine public fluvial.Parmi les principales nouveautés de ce schéma figurent notamment :
l'aménagement multi-usages des chemins de halage et de contre-halage sur 100 km (déjà réalisé) ;
la réhabilitation de l'écluse de la digue à Saint-Nicolas-de-Redon, afin de rouvrir à la navigation le « Petit canal » (en cours) ;la réhabilitation de quatre maisons éclusières inhabitées (premiers travaux prévus en 2010).
3. Faire vivre et connaître les voies d'eau en développant l'animation, la concertation, ainsi qu'en favorisant la promotion et l'information du public.Pour échanger, améliorer l'information de tous et permettre le développement des diverses activités présentes sur et autour des voies d'eau, la concertation est à l'ordre du jour.L'animation est encouragée, autour de manifestations locales comme l'opération « Moi aussi j'agis » qui a vu de nombreux bénévoles effectuer des travaux de valorisation des abords du canal.
La barge multiservices « Isac » mise en service C'est en 2007 que le Conseil général de Loire-Atlantique a décidé d'engager la construction d'une nouvelle barge multiservices pour les travaux d'exploitation et d'entretien de ses voies navigables départementales.
Une deuxième barge, pour couvrir 120 km de voies navigablesAuparavant, la barge « Erdre », construite en 1985 et modernisée en 2008, était le seul bâtiment du Conseil général à assurer l'entretien du canal de Nantes à Brest, de l'Erdre et de la Sèvre. Or cette barge devait effectuer de long trajets (plus de 100 km entre Redon et Vertou) et être partagée entre deux zones de travail au nord et au sud de la Loire. De plus, cette unité de petite dimension (12 m de longueur et 4 m de largeur) ne dispose pas de capacité de stockage.Le Conseil général, désireux de valoriser son patrimoine fluvial départemental et en particulier d'améliorer la qualité de service sur le canal, a donc décidé de lancer l'acquisition d'un nouveau bâtiment. Alors que l'ouverture du chemin de halage et de contre-halage aux randonneurs a rendues plus difficiles les interventions par voie « terrestre », la barge permettra de les assurer par voie fluviale. Ce nouvel outil de travail permet donc aux agents du Conseil général (service Infrastructures maritimes et Voies navigables) d'accroître l'efficacité de leurs interventions sur chacun des secteurs des voies départementales, en doublant les opérations d'entretien :
La barge « Erdre » sera dorénavant utilisée prioritairement par le centre d'intervention de Saint-Félix, car elle est adaptée à la majorité des interventions légères réalisées sur l'Erdre ou la Sèvre : balisage, petits travaux d'élagage...
La barge « Isac », sera quant à elle plus spécifiquement affectée sur la section du Canal de Nantes à Brest située entre Erdre et Vilaine, laquelle emprunte pour partie le lit d'un cours d'eau naturel qui a été « canalisé », l'Isac. C'est la raison pour laquelle ce nom a été choisi pour baptiser la barge. Elle pourra néanmoins être utilisée ponctuellement sur l'Erdre et sur la Sèvre, en cas de besoin spécifique.
Des caractéristiques adaptées au canal Cette nouvelle barge, plus grande (15 m) et plus large (4,40 m) permettra donc aux équipes du Conseil général d'effectuer des opérations d'entretien par voie d'eau. Les fonctionnalités principales dévolues à cette nouvelle unité sont les suivantes :
une plate-forme de travail stable et des possibilités de stockage, afin d'embarquer et débarquer en toute sécurité du matériel, mais aussi tous types de matériau en vue du désencombrement des voies d'eau (corps morts, curage…) ;
un bras manipulateur maniable et puissant, permettant de transporter matériel et matériaux, de réaliser des travaux d'élagage et abattage d'arbres aux abords de la voie d'eau, des travaux de protection de berges et des opérations ponctuelles de dragage… ;
des dimensions et une manoeuvrabilité adaptées au gabarit des ouvrages du canal et de l'Erdre (tunnel, écluses, ponts). La conception de la coque en aluminium associée à un propulseur hydraulique en font un bateau très maniable. L'équipage, composé de deux agents minimum, pourra ainsi faire face à toutes les situations de travail.
Une conception localeLe Conseil général s'est appuyé sur le Centre d'Études Techniques Maritimes et Fluviales (CETMEF) pour élaborer le cahier des charges de la barge précisant ses dimensions et ses caractéristiques techniques (moteur, grue…). Au terme d'un appel d'offres, il a attribué le marché de construction au chantier Alu Marine (Couëron), pour un montant de 284 852,17 €HT.Le premier chantier confié à la barge « Isac » consistera au dégagement de la section de 6 km de canal entre l'écluse des Bellions et l'écluse de la Digue.
La réouverture du canal entre Fégréac et St-Nicolas-de-Redon Le Canal de Nantes à Brest compte une section de 6 km (17e bief) située entre l'écluse des Bellions à Fégréac et l'écluse de la Digue à Saint-Nicolas-de-Redon, parfois appelée « Petit canal ». Cette section est fermée à la navigation depuis la construction du barrage d'Arzal au début des années 70 : le remplacement du pont-levis à balancier par un ouvrage fixe à l'époque, puis récemment la construction d'un mur et d'un batardeau pour protéger des crues de la Vilaine, ont durablement condamné toute navigation fluviale. Le parcours des plaisanciers devait donc s'interrompre plus en amont, à l'écluse des Bellions, où ils se voyaient contraints d'emprunter la Vilaine. En décembre 2007, les conseillers généraux de Loire-Atlantique ont approuvé un programme de réouverture du « Petit canal » et de rénovation de l'écluse de la Digue. Sa réalisation va permettre de restaurer la navigabilité de cette section qui était progressivement envahie par la végétation, et ainsi d'offrir aux embarcations un circuit en boucle d'une douzaine de kilomètres, entre Vilaine et Canal : de quoi redynamiser le tourisme fluvial de courte durée au départ de Redon et Saint-Nicolas de Redon. A ce jour, l'ensemble des travaux s'élève à environ 1 millions d'euros TTC, entièrement à la charge du Conseil général de Loire-Atlantique, et se décompose en trois opérations.
1. La réhabilitation de l'écluse de la DigueLes premiers travaux, achevés à la fin de l'année 2008, ont consisté à remplacer les portes et à réparer les maçonneries de l'écluse, pour un montant de 200 000 €HT (Le Du Industrie / Bâtiments Modernes Béton / Conseil général - Service Infrastructures maritimes et Voies navigables).La deuxième phase de travaux consiste au remplacement des ouvrages de franchissement sur l'écluse, permettant de rétablir un tirant d'air suffisant pour le gabarit réglementaire de navigation tout en assurant la desserte du quartier Digue aval. Le programme de travaux prévoit :
la construction d'un pont mobile (tablier métallique articulé manoeuvré par des vérins hydrauliques),
la réalisation d'une nouvelle passerelle piétonne plus large,
la rénovation du local recevant les équipements techniques et un espace d'accueil pour l'agent éclusier.
L'année 2009 a été consacrée à l'étude des solutions techniques devant être mises en œuvre (bureau d'études Terrell Ouest). Le marché de rénovation des ouvrages de franchissement vient d'être attribué et les travaux, prévus pour une durée de 4 mois, vont s'engager prochainement afin d'être achevés pour l'été 2010, pour un montant de 315 000 €HT (aux quels s'ajoutent 40 000 €HT pour la maîtrise d'oeuvre).
2. Le dragage de la section Fégréac –Saint-Nicolas-de-RedonLes nombreuses années de stagnation depuis la fermeture de cette section ont favorisé l'envasement du bief et la prolifération des plantes aquatiques envahissantes. Une campagne de dragage des 6 km de voie d'eau concernés a été menée tout au long de l'année 2009 pour un coût global de 300 000 €H.T. (entreprise HLB Environnement).Afin de dégager la partie « aérienne » de la navigation, le Conseil général va maintenant engager des travaux d'élagage d'arbres. Dans la mesure où une large partie du de cette section est inaccessible par voie terrestre, c'est précisément la nouvelle barge « Isac » qui va s'en charger : le bois coupé sera donc évacué par voie fluviale.
3. La valorisation paysagère en lien avec le tissu d'associations localesParallèlement à ces travaux essentiels pour la navigation, une démarche partenariale de valorisation paysagère est menée sur cette section du canal. Elle vise à mettre en valeur les interactions possibles entre le canal - la navigation, les bateaux - et les chemins de halage et de contre-halage - aujourd'hui devenus indépendants de la proximité de l'eau et utilisés surtout par les vélos et les piétons. Des « fenêtres » sur le canal et des points de vue seront ainsi créés afin de mettre pleinement en valeur les aménagements réalisés.Dans la continuité d'une étude réalisée par les élèves du Centre de Promotion Sociale Agricole (CPSA) de Combourg, dans le cadre du cycle de formation BTS « aménagements paysagers », une action bénévole a été initiée les 9 octobre et 28 novembre dernier dans le cadre de l'opération « Moi aussi j'agis » avec le concours de la ville de Saint-Nicolas de Redon et de l'association des Amis du Transformateur : rassemblant près de 30 personnes, cette action a consisté en une ouverture paysagère du chemin de contrehalage vers le canal, en mettant en perspective un ouvrage recouvert par la végétation, le siphon de l'Orgeraie. Cette opération s'achèvera les 26 et 27 février prochain par le dégagement de quelques ouvertures complémentaires à destination des pêcheurs.Le Conseil général prévoit donc la réouverture à la navigation de cette section à l'été 2010.

Un plaisancier anglais pris dans les glaces à Chauny

Entre Londres et Malaga, son escale à la halte fluviale de Chauny durera plus longtemps que prévu. David
Lindsay a de quoi… mettre de la glace dans son whisky !
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On repêche des voitures, des corps et des armes dans la Seine

La Seine. Un bras de tranquillité au milieu des klaxons, voitures et bouches de métro. On n'entre à la brigade fluviale que si l'on aime le fleuve. A la fois flics, pompiers et bateliers, les policiers de la Seine remplissent surtout des missions de sécurisation, d'inspection et de contrôle des voies navigables. 
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La Fluv' déborde de son territoire habituel

Les policiers de la Seine peuvent désormais naviguer sur la Marne, l'Oise, l'Essonne et leurs affluents. Depuis le 14 septembre dernier, date d'entrée en vigueur du décret instaurant le Grand Paris de la sécurité, le champ d'action de la brigade fluviale est passé de 110 km de voies navigables à 592 km.
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SAINT QUENTIN Pêche au Vieux port menacée 

Ce n'est malheureusement pas nouveau. Dans plusieurs courriers successifs adressés à Jean Dufour, président des Pêcheurs saint-quentinois et à Bernard Chantrelle, chef de subdivision par intérim des V.N.F., Alain Gosselet, président du Club nautique de Haute-Picardie, a exprimé son vif mécontentement relatif au comportement de certains pêcheurs au moulinet peu scrupuleux (parmi lesquels des carpistes). Ces derniers balancent en effet les plombs de leur ligne au lancer (de 80 à 100 g) sur les bateaux de plaisanciers amarrés au Vieux port, occasionnant ainsi des dégâts.
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Une sorte de résidence secondaire

Sur les bords du canal latéral de la Loire, à Saint-Thibault, le port retrouve peu à peu son rythme de croisière en même temps que le réveil du tourisme fluvial?
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Etat d'urgence pour la Sambre

Les élus de l'Aisne, de Sambre-Avesnois et de Belgique concernés par le devenir de la Sambre se sont réunis hier à Hautmont en « états généraux ». Unique préoccupation : le pont-canal de Vadencourt, dans l'Aisne.
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De Cambrai à la Belgique en bateau

De Cambrai à la Belgique en bateau, un rallye touristique sur les canaux
Le premier rallye touristicofluvial jamais organisé dans le Nord démarrera samedi de Cambrai. Il permettra aux plaisanciers engagés de se rendre tranquillement et ludiquement, en une semaine, à Thieu, non loin de Mons (Belgique), pour participer à une concentration internationale de bateaux de plaisance.
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Le tourisme fluvial garde le moral

Si la crise frappe de nombreux secteurs, le tourisme fluvial tient le cap. La saison est plus que bien partie.
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Le canal du Nord « au chômage »

Son dernier entretien date d'avril 2003. Six ans après, le canal du Nord va une nouvelle fois fermer ses écluses aux bateaux durant un mois, à partir d'aujourd'hui. Il sera mis à sec pour accueillir grues et engins de chantier. Les petits gabarits seront dirigés vers le canal de Saint-Quentin et l'Escaut.
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Collision

Une péniche de plus de 200 tonnes entre en collision avec une Clio, hier à Marquette
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Les travaux du port fluvial de Besançon

Les quais ont été posés, les escaliers et les rampes réalisés. Les travaux du port fluvial de Besançon entament leur dernière ligne droite. Ouverture prévue en mai.
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Il faut sauver les bateaux-lavoirs

Les deux bateaux-lavoirs sont en très mauvais état. Le Saint-Julien a coulé ce week-end. Une course contre la montre est lancée pour le sauver des eaux. Les deux bateaux-lavoirs amarrés à Laval, le Saint-Julien et le Saint-Yves sont en danger.
« Ce sont des pièces exceptionnelles, témoigne Xavier Villebrun, directeur du patrimoine de la ville. Ces bateaux sont les deux derniers d'Europe. » Ils ont été inscrits aux monuments historiques en 1994.
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HALLUIN La vie sur les pontons

Le port de plaisance d'Halluin, c'est comme un village serré autour de ses pontons. Tout le monde se connaît, mariniers,
plaisanciers, entre ceux qui vivent à bord par plaisir ou par contrainte. Comme Jean-Claude, retraité vivant sur son bateau
pour des raisons financières.
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CHAUNY« Tout a été arraché » au Clipper Café

Alain Brodin ne décolère pas. Propriétaire de la discothèque le « Clipper Café »,située entre Chauny et Viry-Noureuil, il a été victime d'un acte de vandalisme la semaine dernière : « quelqu'un a désamarré la péniche, ôtant les chaînes, les tendeurs de chaînes et les manilles.
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Opération de contrôle des péniches 

Opération de contrôle des péniches à l'écluse du canal de dérivation de la Scarpe
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BARREAU FLUVIAL BÉTHUNE-MERVILLE

Hier, les maires de Merville et de Béthune, « villes-portes » du barreau fluvial, se sont retrouvés dans la cité des Caous.Apôtres d'un « coeur de région » abritant, en sus de leurs villes, Aire-surla-Lys, Hazebrouck et Saint-Omer, Jacques Parent et Stéphane Saint-André réclament un désenclavement du territoire. Ils en appellent à l'État.
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VADENCOURT Pont-canal : les VNF dans le collimateur

Voilà trois ans que le trafic fluvial sur le canal de la Sambre à l'Oise est interrompu pour des raisons de sécurité sur le pont. Elus du Nord, de Belgique et de Thiérache de l'Aisne tentent de trouver une solution amiable pour convaincre les
Voies navigables de France (VNF) d'investir dans la rénovation du site. Ils demandent une réponse au plus vite. Vendredi, une première réunion d'élus de la Grande Thiérache a permis de décider des solutions légitimes envisageables mais aussi d'autres plus radicales. Les élus n'ont pas caché leur ras-le-bol face à tout un système qui semble les ignorer.
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Une voie fluviale entre Bâle et Chavornay

Dans un communiqué, l'Association suisse pour la navigation intérieure (ASNAV) prend position vendredi sur le rapport présenté deux jours plus tôt par l'Office fédéral des transport (OFT) et consacré à la navigation. Elle estime qu'il faut faire plus que simplement se féliciter de la croissance du trafic sur le Rhin.
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Port de Basseau

La Charente (le plus joli ruisseau de France, selon François Ier) a pris ses aises, depuis dimanche après-midi, en recouvrant de ses flots vagabonds la chaussée de l'impasse de l'Écluse au port de Basseau, à Fléac.
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Formations à la navigation intérieure l'ADERC et l'IUT 

Dans le cadre du développement de l'enseignement supérieur sur l'agglomération du Grand Chalon, l'ADERC - Agence pour le
Développement Economique de la Région de Chalon-sur-Saône - et l'IUT – Institut Universitaire de Technologie - se sont rendu à Huy en Belgique pour initier une future collaboration franco-belge sur des formations liées à la navigation fluviale. L'Ecole Polytechnique de Huy jouit, en effet, d'une réputation européenne pour la qualité de son enseignement. La reconnaissance des permis et des certificats qu'elle délivre est essentielle pour pouvoir naviguer sur tout le réseau des voies navigables en Europe
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La dernière croisadedu marinier de Pont-à-Bar

Yvon Tunick, 83 ans, a été marinier pendant un demi-siècle. Retraité à Pont-à-Bar, se désole de voir le canal des Ardennes déserté par les péniches. Un plaidoyer musclé.
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La Brigade Fluviale de police de Paris

La Brigade Fluviale est créée en 1900, suite à l'initiative du préfet de police de l'époque, Louis Lépine, à l'occasion d'une grande exposition dans la région parisienne. Louis Lépine est le principal promoteur du service de surveillance spécial, chargé de veiller sur le long de la Seine. Ce service fonctionne en parallèle avec celui qui s'occupe de la navigation. La mission de la Brigade Fluviale consiste à renforcer la sécurité des utilisateurs de la Seine et de ses environs.
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Études lancées pour la seconde écluse

Le projet de seconde écluse au barrage d'Arzal est en bonne voie. Les travaux pourraient démarrer en 2011, à la suite du concours d'ingénierie qui vient d'être lancé.
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Tourisme fluvial : le charme des canaux français

La France est sillonnée de voies navigables. Jadis utilisées pour le transport marchand, beaucoup sont désormais réservées au tourisme fluvial. Une manière paisible et originale d'aller à la rencontre des trésors de la France profonde.
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Mareuil-sur-Ay / DégelLa coque de la péniche de nouveau percée

Hier, une dizaine de sapeurs-pompiers sont de nouveau intervenus sur la péniche «D'argile et d'eau », amarrée sur le canal de la Marne à Mareuil-sur-Aÿ.
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Un nouveau quartier à créer à partir de zéro, sur l'Escaut

Votre maison individuelle, écologique, donnant sur un port de plaisance ? En plein centre-ville ? Cela ressemble encore à de la science-fiction. Mais la mairie y travaille. Et le projet poursuit son cours, malgré la difficulté des temps.
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Malgré le gel, on navigue dans la région

Une eau à 1 °C sous une couche de glace de plusieurs centimètres. Les canaux souffrent du froid. Premières victimes : les bateliers dont les péniches doivent briser la glace pour avancer. Sur le canal du Nord, la navigation, délicate mais possible, s'arrête aux portes de la Picardie. 
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Circulation difficile sur certaines voies d'eau wallonnes

La circulation était particulièrement difficile jeudi sur les voies d'eau wallonnes, révèle le River Information Services (RIS) transmis aux bateliers. Plusieurs cours d'eau sont inaccessibles. Mais, selon la direction des Voies Navigables, aucune demande de passage n'a été faite et aucun bâtelier n'est donc pénalisé par la situation.
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Un certificat unique pour les voies navigables de l'Union européenne

Dès 2009, les bateaux couverts par le nouveau certificat de sécurité européen seront autorisés à naviguer sur toutes les rivières de l'Union, y compris le Rhin.
En vertu de la nouvelle réglementation communautaire, ce certificat unique est délivré sur la base des prescriptions techniques des bateaux de navigation intérieure. La mise en oeuvre de ces règles communes constitue un grand progrès pour la sécurité du transport fluvial en Europe.
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Le canal bien soigné en hiver

Il parcourt la Loire-Atlantique sur 73 km. Voie fluviale particulièrement touristique aux beaux jours, le canal de Nantes à Brest est fermé à la navigation jusqu'en mars. Du coup, son propriétaire, le conseil général, profite de l'hiver pour réaliser...
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Embouteillages de bateaux à Longueil-Annel

La cité des bateliers serait-elle victime de sa réputation ? Depuis quelque temps, Longueil-Annel est confronté au stationnement prolongé de certains bateaux-logements qui s'amarrent sur les berges et squattent des mois, voire des années, le quai.
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Des bateaux sur le petit canal en 2010

Le « petit canal » sera resté fermé à la navigation durant près de 40 ans. Au printemps 2010, cette section du canal de Nantes à Brest, comprise entre l'écluse des Bellions, à Fégréac, et l'écluse de la digue,à Saint-Nicolas-de-Redon (soit 6,5 km) pourra de nouveau bercer péniches et autres bateaux fluviaux.
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ANIZY-LE-CHÂTEAU Un nouveau pont sur le canal de l'Oise à l'Aisne

Le nouvel ouvrage de couleur rouge est constitué de deux poutres latérales métalliques que relient des entretoises. Il est long de plus de 32 m et large de 8 m (dont des trottoirs de 1 m). Un hourdis en béton est ajouté à l'ossature métallique.
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MÉRY-SUR-SEINE

Canal de la Haute-Seine : les travaux de l'écluse sont terminés.
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SAINT-QUENTIN

Port de plaisance : la mairie en prend la gestion à partir de 2011.

En 2011, après plusieurs décennies, la chambre de commerce et d'industrie (CCI) de l'Aisne ne renouvellera pas sa demande de concession auprès des voies navigables de France (VNF) pour la gestion du port de Saint-Quentin. Dans le prolongement de l'aménagement du Quai Gayant. C'est alors, la cité des Pastels qui se chargerait de prendre le relais. Si aucun projet précis n'est encore arrêté, le but est de développer l'activité de plaisance mais aussi de rendre les lieux plus accessibles aux Saint-Quentinois.
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Blue Links

Blue Links est un programme de travaux pour la remise en navigation des canaux de la liaison Deûle – Escaut, qui comprend la Marque canalisée, le canal de Roubaix, en région Nord de la France, et le canal de l'Espierre dans le Hainaut et les Flandres occidentales en Belgique. Le canal réhabilité offrira de nouvelles possibilités de développement d'activités de tourisme et de loisir, étroitement liées au renouvellement urbain sur un territoire étendu.
Ce programme de rénovation de grande envergure, dont les travaux seront bientôt achevés, a été rendu possible par la participation et la mobilisation de l'Europe et de différents corps des états belge et français. 
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Paris métropole,un nouveau port européen ?

Des grands corridors fluviaux comme le futur canal Seine-Nord Europe aux voies au gabarit plus modeste comme le canal de l'Ourcq, les canaux contribuent au rééquilibrage des transports, à l'intégration de la métropole parisienne dans un vaste ensemble européen et au développement du tourisme fluvial.
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Croisières à l'horizon 2009

Lancé en 2005, le projet de remise en navigation de la liaison entre la Deûle et l'Escaut avance. Plus de 90 % du programme a été réalisé. La réouverture est prévue pour l'été 2009.
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Du côté des bords de Scarpe

À Sainte-Catherine et à Saint-Nicolas, au nord de la Scarpe, le maillage en liaisons douces s'étoffe lui aussi. Deux tronçons sont en cours de finition. Petite visite, en attendant de nouveaux développements de la trame verte et bleue, vers Wailly et Agny.
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Castelsarrasin. Ils passeront l'hiver sur l'eau

La période la plus froide de l'année est l'occasion pour certains animaux d'hiverner. Moins naturaliste comme constat, mais bel et bien réel: les bateaux en font autant. «Cette période commence au mois d'octobre pour se terminer vers le mois d'août», explique Maïté Ranet, responsable du port castelsarrasinois. Attachés aux plots de l'embarcadaire de la ville, ils
resteront sur le canal jusqu'au mois d'avril qui sonnera l'heure, pour la majorité d'entre eux, de faire leurs adieux à la ville et de prendre le large vers de nouveaux horizons.
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Le trafic fluvial de marchandises relancé sur la Loire

LA société Fluvial Feeder Loire, filiale de Marfret (Marseille) et partenaire du port autonome de Nantes Saint-Nazaire s'apprête à mettre en service une liaison fluviale bihebdomadaire de 70 à 80 EVP (équivalents vingt-pieds) entre Montoirde-
Bretagne et Cheviré, aux portes de Nantes, dés la mi-décembre. Navigable au XIXe, la Loire va ainsi renouer avec le passé fluvial qu'elle a connu à l'époque où Flaubert écrivait L'Education sentimentale à bord d'un steamer ligérien.
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Rendre les canaux aux habitants

Autre axe de développement : le tourisme fluvial. Le comité régional du tourisme (CRT) travaille avec Voies navigables de France et la fédération touristique du Hainaut. Une rencontre s'est tenue hier à Wambrechies, en présence de Bernard Sandras, directeur du CRT.
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Blue Ring, le port de plaisance de demain

C'est une idée toute simple et qui pourrait peut-être modifier en profondeur l'image des ports de plaisance.
blue-ring-le-port-de-plais...pdf

Saint-Amand : un port fluvial tout neuf, mais pas de bateaux

Dans Dans les cartons du conseil régional dès 1995, le projet d'un port fluvial à Saint-Amand-les-Eaux s'est concrétisé, avec son ouverture, au début de l'été. Pourtant, aucun bateau n'y mouille. Le point sur cette aberration.les cartons du conseil régional dès 1995, le projet d'un port fluvial à Saint-Amand-les-Eaux s'est concrétisé, avec son ouverture, au début de l'été. Pourtant, aucun bateau n'y mouille. Le point sur cette aberration.
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Abbécourt l'écluse fait peau neuve

Lorsque je suis passé pour la première fois ici par l'écluse d'Abbécourt j'étais sur la péniche de mes parents et j'avais… 8 jours ». Mémoire vivante du canal de l'Oise à l'Aisne, Jacky Chartier, fils de mariniers, a été marinier avec son propre bateau 
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le canal du Midi de plus en plus prisé

Sur les quatre mois d'été, l'écluse de Trèbes a enregistré 5 166 passages de bateaux contre 4 930 l'an dernier avec un pic au mois d'août de 1 429.
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Patrimoine. Les maisons éclusières : des projets à peaufiner

Un appel a projet avait été lancé au mois de janvier par Voies navigable de France et le conseil général de Lot-et-Garonne. Il concernait la valorisation des maisons éclusières vacantes le long de la Voie verte du canal de Garonne inaugurée le 8 juillet 2007.
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La réfection de l'écluse du Grand Dam se poursuit

Samedi matin, une trentaine d'habitants, ainsi que les élus du village, ont participé à la visite sécurisée du chantier de l'écluse du Grand Dam, en cours de rénovation. Dans le cadre de l'opération nationale « Nettoyons la nature », la municipalité a tenu à sensibiliser la population sur les questions d'environnement. Samedi matin, elle organisait la visite guidée du chantier de l'écluse du Grand Dam qui fait actuellement l'objet de travaux de modernisation et d'automatisation.
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Il y a cent vingt ans, naissait l'ascenseur

Lors de la fête du parc, Chantal était encore là. Le dernier propriétaire de cette péniche aurait été Paulette Duval-Loriot. L'ascenseur à bateaux a été mis en service il y a cent vingt ans après les travaux menés par Edwin Clark, Écossais, et concepteur de ce type d'ouvrage, et M. Bertin, ingénieur aux VNF.
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Capitaine dans la navigation fluviale, une nouvelleformation à Strasbourg

Une formation unique en France de "capitaine de bateau dans la navigation fluviale" a été lancée officiellement à Strasbourg, a-t-on appris vendredi auprès de la Région Alsace.
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Chantal démolie, le Saint-Quirin est désormais seul àl'ascenseur à bateaux

Il y a deux ans, avec Voies navigables de France, il avait été décidé la mise en sécurité du site de
l'ascenseur à bateaux. « On ne voulait pas d'un accident », justifie Serge Pouille, responsable des
services techniques de la ville d'Arques. La gestion est commune à la ville et à VNF.
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Un port de plaisance sur les terrains de la fonderie 

AMÉNAGER un port de plaisance sur les terrains pollués des anciennes fonderies de Vieille Montagne, sur les rives de l'Oise, à Creil. C'est le dernier grand projet du maire, Jean-Claude Villemain.
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Des « mastodontes » qui ne respectent pas la vitesse

Un plaisancier, témoin de l'accident survenu dans la nuit de samedi à dimanche, dénonce la vitesse excessive « de certains mastodontes ».
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Trois accidents mortels sur la Seine en vingt ans

Les accidents de bateau sur la Seine, à Paris, où le naufrage samedi soir d'une vedette de plaisance a fait deux morts, restent exceptionnels. Cinq millions de touristes français et étrangers empruntent chaque année les bateaux de promenade. .
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AGC Glaverbel Boussois, l'entreprise qui avait les pieds dans l'eau

Construite en 1898, l'entreprise « Les glaces de Boussois » voit le jour sur les berges de la Sambre. La rivière, un choix stratégique pour les dirigeants de l'époque. Mais, s'il y a encore dix ans, la Sambre servait à acheminer les matières premières, les camions ont aujourd'hui remplacé les péniches.
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Cahors. Navigation : le piège de l'écluse de Coty

La navigation sur le Lot n'est pas un long fleuve tranquille. L'exercice recèle des difficultés au franchissement des écluses et des pièges comme ce courant qui attire comme un aimant les bateaux à l'approche du moulin de Coty.
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La Deûle victime d'une mini pollution

On ne connaît pas encore la nature du produit qui flottait en quantité importante, lundi, sur la Deûle.
Toujours est-il que des moyens de pompage et de protection du port de plaisance ont dû être mis en
place.
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Port de plaisance de REDON

Pendant l'été, le port de plaisance de Redon, « c'est comme un camping. On acquitte un
droit de stationnement par nuitée », commence Florence Mayet, de la Chambre du
commerce et d'industrie, qui gère les deux ports.
Cette année, le bilan de la saison est un peu mitigé même si la fréquentation du port de
plaisance a tendance à s'accroître depuis une dizaine d'années.
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PORALU MARINE participe au développement de la plaisance fluviale de la ville de Paris

Un projet d'aménagement, lancé par la Mairie de Paris, vise à promouvoir les canaux municipaux parisiens et à développer la pratique de la plaisance.
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Croisières douceur sur le canal de Berry

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Orléans : la batellerie se remet à flot sur les quais de la Loire

Après un siècle d'oubli, la rive droite du fleuve, réaménagée en promenade, pourrait redevenir un pôle d'attraction du coeur de ville.
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Un paquebot dans le jardin

La réplique du Majesty of the Seas, 33,50 mètres de long, a été construite en douze ans par François Zanella.
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Le port fluvial d'Hautmont, un projet qui devrait voir le jour d'ici fin 2009

Deuxième volet de notre série d'été consacrée à la rivière Sambre. Nous faisons cette semaine une
halte à Hautmont où un port fluvial devrait voir le jour d'ici la fin 2009.
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La voie des eaux moins polluante que le bitume

En 2006, plus de 80 % du transport de marchandises était assuré en France par la filière routière. S'il n'existe pas pour l'heure de solution miracle à la problématique posée par le secteur des transports, on peut cependant en minimiser l'impact environnemental en privilégiant des alternatives moins émettrices.
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L'écluse d'Houplines-Armentières, la première construite sur la Lys française

L'écluse d'Houplines-Armentières fut la première construite sur la Lys française. Voici son histoire.
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L'autoroute fluviale est lancée

A l'heure du Grenelle de l'environnement et des moyens de transport alternatifs à la route, un projet fluvial important est sur le point d'aboutir. Les régions d'Ile-de-France, de Picardie et du Nord-Pas-de-Calais se sont entendues sur le canal Seine-Nord-Europe qui doit relier Paris au Benelux. Un chaînon longtemps manquant qui pourrait devenir une autoroute fluviale.
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l'écluse d'Houplines-Armentières

La navigabilité de la Lys, depuis son confluent avec l'Escaut jusqu'à Armentières, remonte à des temps très reculés. Mais, par la suite, pour assurer cette navigation, il fut nécessaire de réaliser des aménagements et de nombreux ouvrages d'art permettant aux embarcations de passer entre des plans d'eau de niveau différent. Les écluses remplissent ce rôle, permettant aux bateaux de franchir sans difficulté et sans peine une différence de niveau à la montée comme à la descente des rivières.
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Lille veut retrouver ses canaux et favoriser le tourisme fluvial

arcourir Lille en bateau au fil des canaux sera peut-être bientôt possible. La maire, Martine Aubry (PS), défend pour son deuxième mandat un projet de remise en eau de la ville. Signe de cette politique, le nouveau parc Euratechnologie, sur les rives de la Haute-Deûle, devrait être inauguré en novembre en navettes fluviales. "Les bateaux à fond plat sont déjà achetés !" s'enthousiasme le premier adjoint de Mme Aubry, Pierre de Saintignon. Six minutes suffiront à rallier le site de Lomme depuis le pont de la Citadelle, à proximité du centre-ville.
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Fêtes nautiques sur la Meuse

C'est à l'occasion de la séance du Collège communal de ce jeudi 8 mai que l'échevin de la Jeunesse et des Sports, Fouad Chamas a présenté les « Fêtes nautiques sur la Meuse »
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Bateaux-logements - Conflans, dans les remous de la plaisance                  

La pression monte sur les quais de Conflans-Sainte-Honorine. Bateaux de loisirs et grands navires marchands convoitent le port occupé par les bateaux-logements de familles démunies. Les familles qui vivent à quai sous la protection du bateau-chapelle Je Sers, s'inquiètent de l'oreille tendue par la municipalité aux sirènes du commerce sur l'eau.
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Eautoroutedu Nord

Transport. Percer un canal de 54 mètres de large pour relier la Seine aux voies navigables du nord de l'Europe : un projet pharaonique en six défis. Livraison prévue en 2014.
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Schéma directeur du tourisme fluvial en Wallonie

Fichier à télécharger de nombreuses information sur la navigation fluviale en Wallonie.
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Le mariage heureux de l'économie et de l'écologie 

Le Grenelle de l'environnement s'est prononcé pour une progression de 25 % du transport fluvial d'ici 2012. Quatre ans seulement pour rattraper un retard considérable pris dans l'aménagement des voies fluviales françaises laissées, durant trente ans, dans un coupable abandon.
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S'installer sur une péniche

Les propriétaires vantent volontiers la bonne affaire, même si les prix ont beaucoup augmenté ces dernières années. La vie sur l'eau ne séduit plus seulement des artistes en mal de vie de bohème mais également des cadres supérieurs amateurs de grands espaces. "La péniche, c'est beaucoup d'espace pour pas cher dans un
quartier viable",
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561 mini-marées noires dans les cours d'eaux en France entre 2004 et 2007

En moyenne, 140 mini-marées noires se produisent chaque année dans les cours d'eaux français et un tiers reste
d'origine inconnue.
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Le Port autonome de Liège 

Par ailleurs, la branche touristique du PAL, c'est-à-dire son « Port des Yachts » situé au coeur de la Cité ardente a également enregistré d'excellents résultats avec 47 % d'augmentation de nuitées en 2007, par rapport à 2006 même si le nombre de personnes ayant transité par le port est en diminution su à la baisse de fréquentation des navires des croisières fluviales suite à la réfection mécanique d'un des deux navires qui devait assurer les rotations au départ des Pays-Bas.
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Des biefs à sec à cause des travaux

Les canards avaient pied. Le premier bief du canal de Roubaix, à Wasquehal, offrait hier son fond vaseux au regard des pêcheurs qui s'alarmaient de la faiblesse du niveau, due aux travaux.
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Tester le bateau hôtel solaire

C'est d'abord un hôtel, qui peut accueillir jusqu'à 12 passagers (+ 3 membres de l'équipage). Mais, particularité encore trop
rare..........
Le site le soleil d'oc est un site ami de la capitainerie.fluviale  vous trouverez un lien dans la rubrique:  liens/liens vers sites internet.
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Un port Fluvial pour le canton d'Agde

Dans le cadre de cette campagne pour les élections cantonales, je souhaite proposer un projet pour le canton qui entre pleinement dans la
mission du conseil général.
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Une seconde écluse pour le barrage d'Arzalen 2009

L'installation d'une seconde écluse sur le barrage d'Arzal est en bonne voie. Le projet
technique et la consultation devraient être bouclés en 2008 pour une mise en chantier en 2009.
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Les bateaux bloqués au port jusqu'en... 2009

Les usagers du port sont bloqués au Mans. Ils pourront repartir dès que les
travaux sur deux barrages auront commencé. Quand ? Mystère.
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Intempéries les rivières débordent

Depuis ce week-end, les intempéries ont gorgé d'eau les terres de Bretagne provoquant difficultés de circulation, champs inondés et
même l'évacuation de trois personnes en Ille-et-Vilaine.
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Le transport fluvial FRANÇAIS se connecte à l'Europe

Modernisation du réseau, développement des plates-formes portuaires, mesures incitatives... La table ronde « mobilité et transports » du Grenelle de l'Environnement a redécouvert les faveurs du fluvial et fait du secteur « une priorité absolue »dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre.
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Moissac. Canal: le grand chantier de colmatage

C'est hier matin que les premiers coups de pelle ont été donnés dans les entrailles du canal latéral à la Garonne. Comme nous vous l'avions signifié dans une précédente édition, les Voies navigables de France (VNF) profitent de la période de chômage du canal pour procéder à un vaste chantier de colmatage des berges.
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Un Français s'apprête à révolutionner la navigation et la propulsion marine et fluviale

Et si, tout simplement, les moteurs et le gasoil des navires d'aujourd'hui étaient débarqués ? Pour autant, il serait désormais techniquement possible d'atteindre, quelque soit le tonnage du bateau, une haute vitesse et ce, sans recourir à la voile ou à l'énergie solaire.
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Première partie du navire qui a coulédans l'Escaut sortie des eaux

La première partie de la péniche Anta qui a coulé dans l'Escaut a été sortie des eaux vendredi matin.
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Pollution au PCB dans la Somme

Pollution au PCB dans la Somme
France Info - 18 décembre 2007 - 07:57

La vente de poisson est interdite, la consommation de poisson déconseillée, à cause de la pollution de la Somme par des PCB de type dioxine.

"La commercialisation de l'ensemble des espèces pêchées dans ces cours d'eau est dorénavant interdite" et "il est par ailleurs déconseillé de consommer ces poissons, et en particulier les anguilles et autres poissons de fond", a prévenu hier la préfecture de Picardie.


"Les différentes analyses conduites mettent en évidence la présence dans ces cours d'eau de PCB de type dioxine", selon le communiqué.

"Ces polluants proviendraient essentiellement de l'activité industrielle implantée le long de ces cours d'eau. La direction régionale de l'industrie, de la recherche et de l'environnement (DRIRE) est chargée de poursuivre des recherches sur ces sites afin d'identifier l'existence de rejets actuels ou passés qui pourraient être à l'origine de la pollution", a précisé la préfecture.

Les cours d'eau concernés sont la rivière Somme, de Saint-Quentin à l'écluse de Saint-Valery-sur-Somme, l'Omignon, les Trois Doms, l'Avre depuis Roye jusqu'à sa confluence avec la Somme, l'Ancre depuis Albert jusqu'à sa confluence avec la Somme.

La dégradation des eaux de la mer Noire

La pollution au pétrole et au soufre de la mer Noire et de la mer d'Azov, produite récemment par plusieurs navires commerciaux qui ont sombré à la suite d'une tempête, affectera la mer Noire au moins dix ans.
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Bateau se brise sur l'Escaut: navigation perturbée

Un navire transportant du charbon s'est brisé en deux dans la nuit de dimanche à lundi, sur l'Escaut, à hauteur de Zele. Le
trafic fluvial a été interrompu suite à cet accident et connaîtra encore des perturbations pendant plusieurs jours.
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Le port de Denain est-il une priorité pour le transport fluvial valenciennois ?

Lors des assises du Grenelle de l'environnement, le développement du transport fluvial a été présenté comme une priorité du
gouvernement. Jean-Claude Lerique, infatigable militant de l'économie denaisienne, veut aujourd'hui rappeler à tous les acteurs de
la vie économique valenciennoise les atouts du port de Denain.
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Salon Nautique

Le monde de la plaisance et des loisirs nautiques fera salon à partir du vendredi 30 novembre prochain.
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Pollution d'origine inconnue sur le canal de Mons

Une nappe polluante d'origine inconnue a été détectée dimanche après-midi sur le canal de Nimy-Blaton-Péronnes, entre l'écluse et le pont de Ghlin, à hauteur de la malterie, indiquent les pompiers de Mons. La pollution, éparse, s'étendrait sur environ 800 mètres. Le tronçon a finalement été fermé à la navigation fluviale vers 19 heures 30.
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Lit, mineur, lit majeur, lit voyageur...

Le tracé d'écoulement des rivières et des fleuves a évolué ou a été modifié au cours du temps, sous l'influence de facteurs naturels (tectoniques,climatiques, dynamiques fluviales, écologiques, etc.) et de facteurs anthropiques. Les thèmes suivants pourront en particulier être abordés : -modifications de tracés : les types de modifications (forçage, déviation, chenalisation, etc.), les causes directes (anthropiques) ou indirectes (fluctuations climatiques, hydromorphie des sols, etc.), la chronologie, leur importance ; - impact des modifications sur les sociétés riveraines et leur environnement (parcellaires modifiés, nouveaux aménagements de territoires, risques liés à la rivière, infrastructures fluviales en milieu urbain, etc.) ; - perceptions et représentations de ces modifications par les sociétés locales.
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Approfondissement du chenal de Rouen, les Verts réagissent.

Lundi prochain commencera la concertation sur le creusement du chenal de Rouen afin de permettre à la nouvelle génération
de navires (céréaliers, pétroliers, vraquiers) de remonter la Seine jusqu'à Rouen.
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Le canal de Nantes à Brest doit-il devenir une "rivière naturelle" ?

Une première manifestation le 11 novembre, une seconde prévue le 24 novembre à l'écluse de Pont-Triffen, à Cléden-Poher (Finistère) : les défenseurs du canal de Nantes à Brest refusent qu'il soit rendu à l'état de rivière dans sa partie finistérienne, qui représente 80 kilomètres d'eau navigable. Les écluses et déversoirs seraient alors détruits, et les chemins de halage risqueraient de disparaître.
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Qui veut la peau du canal ?

"J's'rai content quand tu s'ras mort vieux canal..." C'est le mauvais refrain que l'on entend en ce moment sur les
ondes... du canal de Nantes à Brest. Commencé en 1811, l'aménagement de la rivière en canal fut assuré par des
prisonniers de guerre espagnols, des bagnards, et des ouvriers sous-payés. La construction du canal s'est faite à
moindre coût. Mais aujourd'hui, ce sont des millions d'euros qui seront nécessaires.
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Embouteillage sur la Seine

Trop vétuste, l'écluse est tombée en panne. Elle bloque la circulation de centaines de péniches depuis mercredi.
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Environnement. Les canaux menacés ?

La Région va-t-elle devenir propriétaire des canaux bretons, comme elle en a manifesté l'intention ? Pas sûr, à en juger par la colère du
président Le Drian qui vient d'apprendre que les voies d'eau faisaient l'objet d'une procédure de modification de statut, dont la conséquence serait la destruction des canaux.
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A la recherche du mascaret perdu

Voyage poétique dans le pays normand, à Quillebeuf, Caudebec-en-Caux… sur les traces du mascaret.
Cette vague déferlante et meurtrière, qui remontait la Seine parfois jusqu'à Rouen, disparut en 1963,
avec l'aménagement de l'estuaire.
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Le canal Seine-Nord et l'A 24 plus ou moins acceptés

L'Arrageois est concerné par les deux projets structurants que sont le canal Seine-Nord et l'autoroute A24. Leurs justifications, et leurs
impacts sur l'environnement ne les placent pas à un niveau égal dans le coeur des habitants.
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Les tunnels de Saint Quentin

A cause du manque de personnel la subdivision Saint Quentin du service de la seine se voit obligé de terminer à partir du 19 février l'utilisation pendant les week-ends des tunnels de Riqueval et de Tronquoy.
La solution est simple laissé passer les plaisances en libre la capitainerie
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La France modernise ses fleuves pour ne plus naviguer à vue

La France veut doper son transport fluvial. Dans les discussions préparatoires au Grenelle de l'environnement, les pouvoirs publics ont annoncé qu'ils comptaient accroître d'un quart ce trafic d'ici à cinq ans et le doubler d'ici à dix ans.
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Le transport fluvial se modernise en déployant les technologies de l'information et des communications

Afin d'accroître de façon significative la sécurité, l'efficacité et la compétitivité des transports par voie navigable, l'Union européenne encourage le déploiement des technologies de l'information et des communications (TIC).
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Seine-Nord va plus vite que l'A24

Le canal plus rapide que l'autoroute ? Pour la vitesse pure des marchandises transportées non... mais pour les étapes techniques avant le lancement du chantier, sans doute. Dans le match entre la voie d'eau et le bitume, la préférence des décideurs semble désormais aller vers la première option.
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Une vedette coule dans l'écluse

Article envoyé par Michel port de plaisance de Chartrettes.
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Les barrages de l'Oise à l'heure du grand gabarit

L'OISE est en train de tourner une page. D'ici trois ans, les sept barrages qui permettent à la rivière d'être navigable entre Compiègne et son confluent avec la Seine - à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) -
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BANGLADESH: L'érosion fluviale perturbe l'économie

Un fleuve qui se trouvait à plus de 50 mètres de l'école avant les crues annuelles de la dernière mousson, coule aujourd'hui contre le soubassement de l'édifice. « Il est très risqué de faire classe dans le bâtiment », a expliqué Nasirul Islam, le principal. 
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Journée du Patrimoine

Les 15 et 16 septembre prochains se dérouleront un peu partout en France les « Journées du Patrimoine », un évènement de plus en plus populaire auquel la Maison du Tourisme d'Arques participe depuis plusieurs années. Pour cette édition 2007, l'association présidée par Jean-Jacques KUDLINSKI mettra à l'honneur les anciens commerces arquois par le biais d'une exposition mais aussi de promenades commentées dans le centre-ville
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Reprise du nettoyage sur le canal Charleroi-Bruxelles

ENVIRONNEMENT dim 26 août
Les opérations de nettoyage suspendues samedi soir ont reprise ce matin sur le canal Charleroi-Bruxelles.
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La découverte de la semaine :

Un navire du Ier ou IIème siècle gisant dans le Rhône à dix mètres de profondeur : c'est la découverte faite cette semaine à Arles. Le navire d'une trentaine de mètres de long, remarquablement conservé, a échappé par miracle aux hélices des péniches amarrées juste au-dessus de lui. Pour l'instant, le bateau reste sous l'eau, le coût  de sa remontée étant estimé à plus d'1,5 million d'euros. La présence de ce bateau près des quais du Rhône confirme l'hypothèse qu'Arles abritait en son sein un chantier naval.

Le changement climatique accélère l'érosion fluviale en Sibérie

Dans le cadre de l'année polaire internationale, de nombreuses recherches se concentrent sur les pôles et l'impact du changement climatique sur ces zones froides plus vulnérables. De récentes recherches axées sur les régions où le sol est gelé en permanence (pergélisol) comme en Sibérie démontrent qu'elles subissent de plein fouet le changement climatique et l'augmentation des températures dans ces régions.
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Système hydraulique à améliorer

Les crues sont contenues par une écluse et quatre canaux. Un ouvrage génial, mais sa dimension se révèle trop faible
entre les lacs de Bienne et de Neuchâtel
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Pèlerinage géant sur la Seine

Hier soir, à la tombée de la nuit, plus de 5 000 pèlerins, de tous les âges et de toutes les nationalités, ont défilé le long des quais de la Seine, derrière la grande statue d'argent de la Vierge portée par les chevaliers du Saint-Sépulcre.
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Intempéries en Allemagne : un noyé, le trafic fluvial paralysé

Un Allemand de 61 ans est mort noyé dans sa cave inondée en raison de pluies torrentielles à Arnsberg (ouest) tandis que, dans le sud-ouest du pays, la navigation sur le Rhin a été paralysée, a annoncé vendredi la police locale.
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Alerte aux pluies torrentielles en Suisse

Les autorités suisses ont placé jeudi le pays en état d'alerte, en raison des pluies torrentielles. Dans certaines régions, les pluies tombées en 24 heures correspondent presque à un dixième du total annuel des précipitations.
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Espèce disparue : le dauphin de Chine a tiré sa révérence

Il aurait pu devenir un animal emblématique de la Chine, figurer sur les fanions des prochains J-O. Au lieu de cela, le Dauphin de Chine, ou Baiji, nous a quittés. Victime de l'industrialisation, et dans l'indifférence générale.
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le réchauffement climatique accélère l'érosion fluviale

En Sibérie, les berges du fleuve Lena reculent de plus en plus lors des crues de débâcle printanière, menaçant les
installations urbaines et industrielles. Les îles s'érodent de 27 mètres par an en moyenne, rendant périlleuse la
navigation fluviale (l'axe de transport principal).
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AU FIL DE L'EAU. GASTRONOMIE À BORD DE L'OCCITANIA

Dans la salle qui peut accueillir 80 convives, des couples, mais aussi des groupes, dégustent le foie gras mi-cuit. On vient de passer le port Saint-Sauveur, autrefois haut lieu de la batellerie. A l'arrière, dans la
cuisine, les deux chefs s'activent autour des cassoulets, rougets, aiguillettes de canard…
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Un reportage de la BBC sur la résistance del'Escaut aux inondations

La chaîne britannique BBC a tourné en Belgique un reportage consacré à la résistance de l'Escaut aux
inondations, afin de déterminer comment le fleuve tenait bon en cas d'averses puissantes, alors qu'ailleurs dans
le pays les rivières sortaient de leur lit.
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La Wallonie, le Nord et l'Aisne au chevet de la Sambre canalisée

Les participants à la réunion qui s'est tenue mardi sur l'Eureka, de Jeumont à Maubeuge.
Rapport d'étape mardi, à Maubeuge, sur le bateau Eureka, dans le dossier de reconstruction du pont-canal de Vadencourt, dans l'Aisne
et, au-delà, sur le rôle espéré de la Sambre dans le tourisme fluvial.
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Avignon, étape-phare du tourisme fluvial

La navigation fluviale draine plus de 50 000 personnes par an
Le tourisme fluvial en France progresse chaque année, retrouvant ainsi son niveau d'avant le 11 septembre 2001. Et Avignon n'échappe pas à la tendance.
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LE FUTUR PORT DE ROTTERDAM SOUSCONDITIONS ENVIRONNEMENTALES

Pour garder sa position de leader européen en matière de trafic maritime et répondre à une augmentation constante des échanges, le port de Rotterdam n'a d'autre choix que de s'agrandir. Mais ce sera sans oublier les impacts écologiques, le respect de la bio diversité et de la qualité de vie.
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Un nouveau pont ferroviaire sur le canal d'Aire

Dans le cadre du doublement de la voie ferrée entre Béthune et Don Sainghin, Réseau Ferré de France (RFF) procède ce lundi 2 juillet
à la mise en place d'un nouveau pont ferroviaire qui enjambera le canal d'Aire au niveau d'Auchy-les-Mines.
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Un métro fluvial pour le Val-de-Marne

D'Austerlitz à Maisons-Alfort en 40 minutes par voie fluviale. Dès la mi-2008, ce sera possible grâce à la création d'une
navette sur la partie est de la Seine et sur la Marne.
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Bordeaux Fête le Fleuve

Pour la 5ème édition de BORDEAUX FÊTE LE FLEUVE, tous les épicuriens et les fans de bateaux sont invités à découvrir des escales nautiques
et festives sur les deux rives de la Garonne.
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La rumeur de tsunami qui fait des vagues sur la Seine

. Des péniches ont été évacuées, samedi soir, suite à une prétendue alerte à une vague
de 2 mètres consécutive à la rupture d'un barrage.
. Récit d'une psychose.
Amélie GAUTIER - le 19/06/2007 - 15h32
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Le réseau fluvial wallon accessible aux 2000 tonnes en 2020

Le transport fluvial a augmenté de
800.000 tonnes en 2006 en Wallonie,
pour atteindre un total de 44,5
millions de tonnes.
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Lyon-Confluence : extraction «des premières eaux» de la place nautique

La future place nautique du quartier de
la Confluence à Lyon a franchi une
nouvelle étape ce lundi. Le maire de la
Ville a récupéré les «premières eaux»
du grand bassin autour duquel va
s'organiser la vie du site qui se veut à la
fois aquatique, vert et attractif. Focus !
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Le canal se met à la plaisance

07/06/2007 - Francis Dudzinski - © Le Point
Il est connu sous l'appellation de canal de Roubaix - bien que celui-ci n'en constitue
qu'un simple tronçon - et irrigue le coeur de la métropole lilloise. En pleine
métamorphose, ce canal accueillera bientôt ses premiers bateaux de plaisance. Il y a
cinq ans, une telle perspective paraissait inimaginable.
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Le sort des bateaux-logements entre les mains des maires

A QUELQUES jours de la date butoir fixant le sort des bateaux-logements
installés en bordure de cours d'eau, les bateliers de la Marne et de la Seine
croisent les doigts.
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Les fabricants de matériaux soutiennent la journée pour l'Environnement

A l'occasion de la journée mondiale de l'Environnement, des dizaines de bateaux de transport fluvial de marchandises et de matériaux circuleront mardi sur la Seine, en affichant des banderoles délivrant le message «Sur la Seine, je transporte propre» .
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Nantes Estuaire 2007 . 2009 . 2011

Jusqu'au samedi 1er septembre 2007, la métropole Nantes Saint-Nazaire est la scène d'une biennale d'art contemporain. Avec des installations d'artistes pérennes ou éphémères, créées in situ, visibles par l'eau et des rives...
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Un bateau heurte une écluse : 22 blessés

NOUVELOBS.COM | 26.05.2007 | 16:34

Un bateau de croisière sur le Rhin a heurté une écluse. Vingt-deux touristes britanniques ont été légèrement blessés.

Un bateau de croisière qui transportait des touristes sur le Rhin a heurté samedi 26 mai une écluse à hauteur de Rhinau (Bas-Rhin), faisant 22 blessés légers, tous Britanniques, a-t-on appris auprès des pompiers. La Bella Riva, un bateau d'origine anglaise, effectuait une croisière vers Mulhouse. Selon la Compagnie fluviale du Rhin, les 22 blessés, évacués vers les hôpitaux de Sélestat et Hautepierre à Strasbourg, souffrent principalement de contusions et de chocs.
L'accident s'est produit vers 9h30 lorsque le navire, qui transportait 174 passagers et 34 membres d'équipage, a heurté la porte amont du petit sas de l'écluse de Gerstheim, située non loin de Rhinau. Les pompiers ont précisé qu'il n'y avait aucune voie d'eau dans la coque du navire.
Les blessés, dont l'un au moins souffre d'une fracture, ont été rapidement pris en charge par une cinquantaine de secouristes, tandis que plusieurs autocars évacuaient le restant des passagers en fin de matinée.
Les membres d'équipage sont pour leur part tous indemnes, selon les pompiers.

Alerte à la pollution aux hydrocarbures sur le Rhône

Publié le vendredi 25 mai 2007 à 05H06 Source La Provence.com

Une nappe d'hydrocarbure s'étirant sur plusieurs kilomètres à la surface du Rhône a semé un bel émoi hier matin. C'est en tout début de journée, peu après 6heures, que l'alerte à la pollution a été donnée. C'est le personnel d'un "poussoir" — une embarcation servant à faire évoluer les péniches — qui a donné l'alerte. La plaque "irisée" évaluée à 50 m² s'étirant sur 4 à 8km, selon la préfecture de Vaucluse, a été aperçue au niveau du barrage de Caderousse. La procédure d'alerte a aussitôt été activée par les employés de l'installation gérée par la Compagnie nationale du Rhône.

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Renforcer le transport par voies navigables : Aller de l'avant grâce à la coopération paneuropéenne

La plupart des transports de marchandises s'effectuent par rail et par route. Cependant, compte tenu de pressions environnementales et financières croissantes, l'attention se tourne à nouveau vers le transport fluvial.
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Ce que va concrètement changer le "Plan Rhône" ici

Ce que va concrètement changer le "Plan Rhône" ici

Publié le jeudi 22 mars 2007 à 05H05

Il a été signé officiellement hier après-midi à Lyon sur la base de 614 millions d'euros
La signature du plan-Rhône a eu lieu à Lyon.

La signature du plan-Rhône a eu lieu à Lyon.

  © CNR
Sous les ors de la République, en l'occurrence la Préfecture du Rhône à Lyon, l'interminable succession de discours a donné la mesure de l'événement hier : jamais en effet, et même Napoléon III qui endiguait le Rhône ne l'avait pas fait, on n'avait envisagé la gestion d'un fleuve depuis sa source jusqu'à son embouchure, et donc, sur ses deux rives. Il est pourtant bien là, l'événement, dans ce Plan Marshall de 614 millions d' (il y en aurait même 800 à terme), qui vont être investis sur le fleuve, par cinq régions (lire ci-contre), la Compagnie Nationale du Rhône (CNR) et surtout l'Etat.

Les chiffres donnent le tournis, sauf à se dire que, dans certains cas, la construction d'une digue peut coûter jusqu'à un million d'euros du kilomètre. Le Plan-Rhône signé hier ne consacrera pas tout, non plus, à la prévention des inondations, mais ce volet coûtera 182 millions d', seulement entre Beaucaire et la mer. Arles et son pays se taillent la part du lion, qui est aussi celle des souffrances traversées en décembre 2003. Ici, le Plan Rhône va changer les choses. Quoi concrètement ?
1) La sécurité
La mauvaise nouvelle annoncée hier, c'est que les travaux ne commenceront pas demain. La bonne nouvelle, c'est que l'Etat a mis immédiatement 18 millions d'euros sur la table pour l'année 2007, dans ce plan qui va s'étendre sur cinq ans. Reste à diligenter les études préalables: la plupart sont en cours malgré un différent qui oppose le Symadrem (syndicat d'aménagement des digues du Rhône et de la mer), à la région Languedoc. Mais en priorité, on verra naître, ici, la digue nord, celle de Tembec, et les premiers travaux des quais du Rhône. "C'est une avancée historique pour les habitants qui ont participé, aussi, à ce plan. En mettant sur la table 77 millions d'euros, soit la plus importante participation des régions, nous avons pris en compte leurs souffrances et leur désir de vivre, enfin, avec le fleuve" a souligné Michel Vauzelle.

2) Le tourisme
C'est le même principe. Et toujours des sommes énormes pour le soutenir : 95 millions (l'équivalent d'une année de budget d'Arles) seront investis. La Ville bénéficiera fatalement des retombées même si des investissements directs ne sont pas encore, au programme: le port de plaisance actuellement en projet, n'est pas encore retenu dans le dossier. Mais ça peut venir.

3) L'économie
C'est toute la philosophie du Plan-Rhône: se protéger certes, mais aussi, faire du fleuve non plus seulement une menace, mais une source de richesses. D'où un volet transport fluvial dans ce dossier, qui représente 218 millions d'. Et Arles là-dedans? La CNR y prévoit des investissements considérables - port fluvial et cale de halage --, mais dans une logique de développement, des aides viendront aussi au développement du trafic fluvial en général. Une aubaine pour le port et le pôle logistique de Saint-Martin de Crau.

4) La prévention
C'est un volet peu palpable, sauf en période de crue: dans le cadre du Plan, la CNR va créer une banque de données topographiques et hydrauliques. Ça paraît tout bête, mais on saura comment protéger équitablement tout le monde.

Article paru dans:
http://www. provence.com

Tourisme fluvial Nord pas de Calais

3 ports de plaisance, 12 bateaux et une flottille de barques au "top" de la qualité régionale Nord-Pas-de-Calais
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Panamà, le canal des géants

Le canal de Panamá commence cette année de gigantesques travaux d'élargissement pour accueillir dès 2015 des monstres de 300 mètres de long et leur faire franchir les 26 mètres de dénivelé entre le Pacifique et l'Atlantique.


Devinez. Il a rapproché les continents, facilité la communication entre les êtres. Il aurait pu être l'homme de l'année 2006. Né en France d'un père illustre, il est le second d'une famille exceptionnelle dont l'aîné a changé le destin de l'Egypte. Les Américains ne s'y sont pas trompés et ont très vite pris en charge la formation de ce cadet, veillant jusqu'en 1999 à son développement. Aujourd'hui, à 92 ans, il n'a pas pris une ride et a franchi en douceur la subtile frontière qui sépare la légende du mythe. L'homme en question n'est autre que le canal de Panamá et les Panaméens ont voté en 2006 dans leur quasi-totalité (80% des suffrages exprimés) pour son élargissement. Il ne s'agissait pas de dire oui à quelques coups de pelle sur les flancs du lit d'un serpent de 80 kilomètres, mais de donner le coup d'envoi à 5 milliards de dollars de travaux.



L'ouvrage consiste en un quatrième jeu d'écluses installé aux deux extrémités du canal. A Panamá Ciudad, sur les bords du Pacifique, et à Colon, sur les bords de l'Atlantique. Le canal compte déjà trois jeux d'écluses permettant chaque semaine à une centaine de bateaux de franchir les 26 mètres de dénivelé entre les deux océans ; pourquoi fallait-il en construire un quatrième ?


Parce que le canal, victime de son succès, doit désormais assurer le passage des post-Panamax, des bateaux tellement longs et larges qu'ils ne peuvent l'emprunter. Les écluses du canal, inaugurées en 1914, permettent le passage de bateaux dit Panamax, d'une longueur de 294,1 mètres, d'une largeur de 32,3 mètres qui peuvent transporter un maximum de 4 500 conteneurs et frôlent souvent le bord des écluses. Les post-Panamax, quant à eux, mesurent 366 mètres de long, 49 mètres de large et transportent jusqu'à 12 000 conteneurs.


Les travaux commencent cette année. Premier défi : déplacer 130 millions de mètres cubes de terre en surface et en draguer 40 millions. Si cela se passe bien, en 2010, au moment des travaux les plus pénibles, 7 000 personnes s'activeront jour et nuit sur les chantiers pour construire des chambres d'écluses de 427 mètres de long et 55 mètres de large nécessaires aux nouveaux monstres marins. Fin des travaux prévue en 2013, et utilisation des gigantesques écluses en 2015. Chaque ensemble d'écluses sera accompagné de trois bassins de réutilisation d'eau. Alimentés par gravité, ils permettront de réutiliser 60% de l'eau pendant chaque transit. Les nouvelles écluses consommeront donc 7% de moins d'eau que les actuelles.


A titre de comparaison, au début du XXe siècle, les Américains qui avaient repris les travaux d'excavation commencés par Ferdinand de Lesseps employaient 55 000 travailleurs. Faisaient exploser 30 millions de kilos de dynamite pour ouvrir le Corte Culebra (13,7 kilomètres de ligne droite). Autrement dit, 200 000 kilos de dynamite par semaine dans des puits de 100 mètres de profondeur. Il s'agissait de réduire la cordillère centrale qui traverse le pays, de 95 mètres à 26 mètres au-dessus du niveau de la mer. Titanesque. Aujourd'hui, il ne s'agit «que» d'élargir le canal, ce que les Américains avaient déjà commencé en 1939, avant d'être stoppés dans leur élan par la Seconde Guerre mondiale.


L'histoire de Panamá se confond avec celle du canal, au point qu'un étranger demandait, goguenard : «Le canal de Panamá ou le Panamá du canal ?» Pour comprendre, s'impose un petit retour en arrière. Auréolé de son succès dans le percement du canal de Suez, Ferdinand de Lesseps propose, en 1879, de percer l'isthme de Panamá, en créant un canal de 75 kilomètres sans écluse et dont la construction doit durer douze ans et coûter 600 millions de francs. Le Panamá fait alors partie de la Colombie.


Les travaux débutent en 1881. Mais l'isthme américain est traversé par une cordillère montagneuse très élevée. Des ouvriers chinois puis des Noirs de la Jamaïque, en plus des Français, sont censés en venir à bout mais 20 000 d'entre eux périssent, victimes de la fièvre jaune ou d'accidents de terrain. Creusé à moitié, le canal est déjà un gouffre financier. En 1887, il a englouti 1400 millions de francs. Le projet français n'aboutira jamais et Ferdinand de Lesseps s'éteint, sénile, en 1895. En 1904, les Américains rachètent les droits et propriétés du canal aux Français pour 40 millions de dollars. Le Panamá est indépendant depuis un an grâce aux Américains mais doit leur céder le canal en échange de 10 millions de dollars. Il sera inauguré le 3 août 1914. Le 15 août, le premier bateau franchit l'isthme. Le SS Ancon entre par l'Atlantique à 7 h 30 et ressort par le Pacifique à 16 h 30.


La dernière écluse refermée, on fait les comptes : entre 1880 et 1914, le percement de l'isthme aura employé 80 000 personnes et fait 30 000 morts français et américains. Les travaux coûteront au total 639 millions de dollars. Mais le canal est une réussite et les Américains, qui l'administrent depuis 1904, le rendent enfin aux Panaméens le 31 décembre 1999 après avoir signé, le 7 septembre 1977, les accords Torrijos-Carter à Washington.


Très fières de leur outil de travail, les équipes de la Autoridad del canal de Panamá (ACP) le gèrent avec soin. Les bénéfices sont immédiats : entre 1913 et fin 1999, les Américains n'avaient versé aux Panaméens que 1,878 milliard de dollars. Entre 2000 et 2005, l'ACP a versé au gouvernement 1,822 milliard de dollars. «Si seulement nos hommes politiques s'occupaient aussi consciencieusement des affaires du pays que nous de celles du canal», soupire un des employés de l'écluse de Miraflores.


153 662 dollars pour un passage !



Et force est de constater que pas un mètre du territoire du canal n'échappe aux règles de fonctionnement et de sécurité. 24 heures sur 24, des caméras surveillent les berges.


C'est donc assez sereine que la direction du canal répond à l'inévitable question : «Que se passerait-il si Ben Laden...?» «Indépendamment d'un règlement ultrastrict et de mesures de sécurité que je ne peux vous révéler, notre meilleure défense reste notre neutralité, explique l'architecte coordinateur du maître plan, Francisco Miguez. Le canal est ouvert à tout le monde sans discrimination et nous bénéficions d'un excellent réseau d'informations entre les grands ports du monde.»


Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Le canal n'a jamais été aussi sûr. Sur 14 000 passages en 2005, on a noté 12 accidents. Et, pour le moment, aucun attentat ni tentative d'attentat. Aux deux extrémités de l'isthme, des dizaines de bateaux attendent de le franchir. Vingt-trois ont réservé leur place, mais un 24e pourra passer. S'il remporte la place qui est mise aux enchères chaque jour à partir de 25 000 dollars. Le temps d'attente plus le temps de navigation dans le canal est passé de 32,9 heures en 1999 à 24,6 heures en 2005. Un progrès considérable, car un bateau immobilisé coûte, en moyenne, 10 000 dollars de l'heure ! Le temps de passage d'une écluse à trois niveaux est d'une heure (trois fois vingt minutes) pour un petit paquebot et d'une heure trente pour un gros. Quoi de plus impressionnant que de voir les Panamax monter ou descendre de 8 mètres en huit minutes, dans le plus grand silence. Les portes des écluses, qui pèsent chacune 600 tonnes, s'ouvrent et se ferment en deux minutes. Sur les bords des écluses, on voit la trace des bateaux qui s'y sont écorchés. Les bateaux s'y engagent au moteur, mais plusieurs locomotives de 55 tonnes les maintiennent au milieu de l'écluse grâce à des câbles et au coup d'oeil des machinistes.


De temps en temps, au coeur du silence qui entoure le passage des monstres d'acier, on entend le bruit d'un plongeon. C'est un marin qui fuit la pauvreté d'un bateau lépreux ou les diktats d'un régime totalitaire. Une commission du canal statuera sur son sort. Le spectacle est parfois plus inattendu encore : lorsque passe un sous-marin nucléaire américain. Le ciel gronde d'hélicoptères et les berges grouillent d'hommes en armes.


Pour accéder aux nouvelles écluses post-Panamax, il faudra réserver aussi. Là encore, rien ne sera payé sur place mais à l'avance, en fonction du poids du bateau. Le prix le plus élevé pour un passage a été payé le 23 mai 1997 par le Rhapsody of the Sea, un bateau de croisière : 153 662 dollars. Le prix le moins élevé a été acquitté le 14 août 1928 par Richard Halliburton qui avait décidé d'emprunter le canal à la nage : 0,38 dollar. Il ne pesait que 75 kilos.


Fort de sa légende, le canal ne pouvait échapper à sa modernisation. Pendant sept ans ingénieurs et architectes ont étudié le coût de l'élargissement et ses conséquences. Les Panaméens n'auront pas à régler la facture, ou subir des hausses d'impôt. Les 5 milliards de dollars de travaux seront payés par les bateaux qui continueront d'emprunter le canal. La construction du quatrième jeu d'écluses générera entre 35 000 et 40 000 emplois dont 6 000 à 7 500 seront directement liés aux travaux sur le terrain. Quant au PIB du Panamá, il atteindra, en 2025, 31,7 milliards de dollars, deux fois et demie le PIB de 2005 soit un taux de croissance annuel moyen de 5% pendant les vingt prochaines années.


Seule question sur laquelle s'interrogent toujours les plus grands experts internationaux : doit-on dire le canal de Panamá ou le Panamá du canal ?

Canal Seine-Nord Europe: ouverture de l'enquête publique

D'après un communiqué du 9 janvier, le ministre en charge des transports Dominique Perben a annoncé le lancement, le 15 janvier prochain, de l'enquête publique liée à la réalisation du canal Seine-Nord Europe. Elle concernera 68 communes et s'achèvera le 15 mars. Le décret d'utilité publique devrait être publié fin 2007, avant le lancement des travaux, prévu pour 2009. La mise en service devrait avoir lieu en 2013.

Ce canal doit relier, au niveau de Cambrai, le bassin de la Seine et de l'Oise aux canaux du nord de la France, permettant aux ports de Paris, du Havre et de Rouen une ouverture vers le réseau fluvial de l'Europe du Nord et de l'Est. L'augmentation attendue de la navigation fluviale permettrait d'éviter la circulation de 500.000 poids lourds par an dans le quart nord-ouest de l'Europe.

Le projet sera réalisé dans le cadre d'un partenariat public privé (PPP), et doit coûter 3,17 milliards d'euros, y compris la construction du canal, les bassins réservoirs, les plates-formes multimodales, et les quais et équipements de plaisance.

Trafic : Encore une année record pour Dunkerque

Avec 56.65 millions de tonnes traitées en 2006, Dunkerque signe un nouveau record de trafic, pour la cinquième année consécutive, avec une hausse générale de 6%. Pas moins de 7060 escales ont été enregistrées, battant le record de 1987 (7024 escales). Au sein de cette armada, s'est trouvé le SG Prosperty, un vraquier géant de 312 mètres de long et 50.56 mètres de large, le plus grand jamais accueilli au terminal charbonnier. Le quatrième port de France, leader sur l'importation des minerais, du charbon, du cuivre et des fruits en conteneurs, présente, en 2006, de bons résultats sur ses grandes spécialités. Ainsi, les minerais ressortent en hausse de 4% par rapport à 2005, à 13.6 millions de tonnes. Le charbon dépasse quant à lui, pour la première fois dans l'histoire de Dunkerque, le cap des 10 millions de tonnes (+15%). Face à une année 2005 exceptionnelle, les hydrocarbures sont, néanmoins, en recul de 7%, à 13.2 millions de tonnes. Si les petits vracs solides progressent de 3%, à 2.7 millions de tonnes, les marchandises diverses établissent un nouveau record, augmentant de 19% (14.6 millions de tonnes).

Le maritime fait des vagues

Le maritime fait des vagues

 
« Le fluvial aura un vrai rôle à jouer dans les années qui viennent. Il permettra de rapprocher les ports des zones de chalandise et l'Ile-de-France du coeur de l'Europe ».
Novembre 2006 : Geodis annonce le rachat de TNT Freight Management (TFM), spécialisé dans le transport aérien et maritime. Le numéro un français des prestataires logistiques peut désormais se considérer comme un acteur mondial de la commission de transport, agissant sur l'ensemble des modes de transport. Une offre globale devenue nécessaire pour prétendre piloter les flux des entreprises.

Tous les modes de transport ? Non. Il en est un qui n'était peut être pas très visible ni très clinquant et sur lequel les prestataires logistiques n'ont pas encore vraiment jeté leur dévolu : le fluvial. Or quelques jours après l'annonce de ce rachat de TFM, le ministre des Transports, Dominique Perben, décidait d'autoriser l'ouverture de l'enquête publique en vue du lancement du canal Seine Nord Europe reliant le bassin parisien au Nord de l'Europe.

« Ce n'est pas un simple tuyau mais un système de transport qui répond aux enjeux des prochaines
décennies », déclare François Bordry, président de Voies Navigables de France (VNF). Economique
puisqu'il est 35 % à 50 % moins  cher qu'un transport par la route, le fluvial est également écologique
mais aussi créateur d'emplois : 35 000 à 40 00 emplois liés à des activités de logistique seront créés en rapport avec ce canal d'ici 2050, expliquent les promoteurs du canal qui s'attendent au développement de plates-formes logistiques sur les zones traversées par le canal.

Un an après le lancement du pôle de compétitivité Seine Normandie et de Port 2000 au Havre, ce canal s'inscrit dans une réflexion globale de l'organisation d'un système maillé d'équipements de transport, allant de la Basse-Seine au Nord-Pas-de-Calais. Le maritime y a d'ailleurs ajouté son grain de sel en faisant remonter le mascaret des flux internationaux dans les fleuves nationaux : Le Port du Havre qui avait jusque là négligé le fluvial, a enfin reçu l'autorisation d'ouvrir une écluse à grand gabarit (135 m x 15,5 m) dans Port 2000.

Rappelons-nous que le trafic de conteneur y est en hausse de 20 à 40 % depuis deux ans ! Le fluvial aura donc un vrai rôle à jouer dans les années qui viennent. Il permettra de rapprocher les ports des zones de chalandise et l'Ile-de-France du coeur de l'Europe. Et de prendre des trafics à la route. « La voie d'eau est le seul mode de transport qui ne soit pas saturé », pointe du doigt François Gauthet, directeur général de VNF, précisant qu'il y a 200 bateaux de 2 500 tonnes à construire, dont 50 barges dès 2020.

Un maillage dont la contrepartie est cependant l'augmentation de la compétition entre les ports français et Nord européens. Un jeu auquel le Havre, premier sur le « range » Nord européen, a d'ailleurs plus à
gagner qu'à y perdre. A condition bien sûr que la performance soit au rendez-vous. 
 
 
@ La rédaction de  Stratégie Logistique

Le ministère des Transports réforme le permis bateau

Afin de proposer aux plaisanciers une meilleure formation et une simplification administrative, une réforme du permis bateau a été engagée par le ministère des Transports et entrera en application en septembre 2007. Dans ce cadre, les établissements de formation seront soumis à une procédure d'agrément, qu'ils relèvent du secteur commercial ou associatif. Ils disposeront d'un statut juridique fixé par la loi du 5 janvier 2006, les formateurs devant être titulaires d'une autorisation d'enseigner délivrée par l'administration, après vérification de leur aptitude. « Cet encadrement de la profession s'accompagne d'une révision du contenu de la formation théorique et pratique afin d'améliorer le comportement en situation des nouveaux pilotes », souligne le ministère. La réforme du permis bateau a nécessité un an et demi de concertation entre l'Etat et les professionnels de la formation fluviale et maritime. « Au même titre que ce qui a été réalisé dans le domaine routier, on voit enfin apparaître la prise de conscience de la sécurité dans le domaine nautique. C'est en effet la première fois en France qu'on légifère sur cette activité et nous en sommes très satisfaits. Un programme officiel de formation garantira désormais aux futurs plaisanciers l'acquisition des compétences nécessaires pour profiter, en toute sécurité, de leurs loisirs nautiques », explique Gérard Acourt, président de l'Association ECF, première organisation française et européenne en matière d'éducation à la conduite et à la sécurité. « Il régnait la plus grande confusion dans le secteur des formations aux permis bateau, il devenait urgent de mieux l'organiser », ajoute Michel Lecomte, Responsable de l'activité bateau au sein du réseau ECF. « Je suis donc très favorable à cette réforme qui contient de nombreux points forts comme l'Agrément des Centres de Formation Bateau, l'informatisation des procédures administratives, la modernisation des épreuves théoriques et la délégation, aux Centres de Formation Bateau agréés, de l'évaluation et de la validation de l'épreuve pratique »

La nouvelle réglementation

Dans la nouvelle réglementation, un permis n'est pas exigé pour piloter une embarcation dont la puissance propulsive est inférieure ou égale à 4.5 kW (6CV). La carte mer et le certificat de capacité « C » sont supprimés, mais leur titulaire garde les prérogatives conférées par ces titres. Concernant les centres de formation, la réforme imposera, comme nous l'avons vu, un agrément du centre de formation. Celui-ci sera délivré par les affaires maritimes pour les départements côtiers et la commission de surveillance de la navigation pour les départements intérieurs. Toute personne dispensant des cours devra être déclarée, les modalités de la formation faisant l'objet d'un contrat écrit entre le candidat et l'établissement. Un livret d'apprentissage, détaillant toutes les étapes de la formation et son assimilation accompagnera obligatoirement toute la période de formation. La partie pratique ne pourra être validée par le formateur qu'après la réussite à l'épreuve théorique organisée par l'administration. Pour leur agrément, les centres de formation devront remplir certaines conditions, comme la présence de salles de cours ou en matière de caractéristique des bateaux et des plans d'eau. Une période d'adaptation est prévue pour que les établissements puissent se mettre en conformité avec la loi. Dès son inscription, le candidat verra son dossier saisi par l'établissement dans le fichier administratif. Il disposera alors d'un numéro d'identification, qui sera repris sur son livret d'apprentissage et facilitera les contrôles. Un document unique, le nouveau permis, servira de support à toutes les options et extensions. Document sécurisé, il sera édité par l'imprimerie nationale et envoyé directement au lauréat.

Aménagements fluviaux sur les berges du Doubs

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Au printemps prochain, la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon débutera les travaux d'aménagements fluviaux sur les berges du Doubs à Besançon et à Deluz.

A Besançon, à l'emplacement de l'ancien port industriel, le projet consistera à aménager une halte nautique pouvant accueillir jusqu'à une trentaine de bateaux de différentes tailles et permettre le stationnement d'un bateau à passagers et d'un grand bateau (péniche-hôtel, péniche-spectacles,...).

A Deluz, il s'agit de créer une halte fluviale sur le canal du Rhône au Rhin permettant l'accostage d'une trentaine de bateaux (jusqu'à 15 m de long).

Ces deux haltes incluront l'ensemble des équipements nécessaires à leur fonctionnement (collecte des eaux usées, distribution d'eau potable et d'électricité, éclairage, traitement paysager, etc).

L'enquête publique relative à la réalisation d'un quai au port fluvial de Besançon se déroule du 11 au 30 décembre 2006.
Celle concernant la réalisation d'un bassin d'accostage à Deluz se déroule du 13 décembre au 19 janvier 2007.

Un affichage en mairie de Besançon, en mairie de Deluz et à la Communauté d'Agglomération du Grand Besançon précise les modalités de ces enquêtes publiques et constitue l'affichage réglementaire.

Un registre ouvert à cet effet permet de recueillir vos observations.
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Une ligne fluviale à conteneurs entre Bourgogne et Seine-Maritime

Une ligne fluviale à conteneurs entre Bourgogne et Seine-Maritime
24/11/2006

Les élus de la Chambre de commerce et d'industrie (CCI) de l'Yonne ont donné leur feu vert à la réalisation d'un port fluvial à Gron, près de Sens. Cette infrastructure vouée au trafic de conteneurs sera reliée directement au port du Havre (Seine-Maritime) par la Seine et l'Yonne, l'un de ses affluents en amont de Paris. Un premier quai sera disponible en 2009. Il sera financé par la CCI de l'Yonne, l'Etat, la région Bourgogne, le département de l'Yonne et la Communauté de communes de Sens dont dépend Gron. L'objectif est de traiter 1 000 conteneurs par an dans un premier temps et jusqu'à 5 000 à l'horizon 2013, avec trois quais.

La CCI d'Aux erre veut ainsi profiter de la montée en puissance du trafic fluvial lié au développement de Port 2000 au Havre et de l'aménagement du canal à grand gabarit Seine-Nord à l'horizon 2012. Le port du Havre est déjà relié par des lignes fluviales pour le transport de conteneurs avec Rouen (Seine-Maritime), Gennevilliers (Hauts-de-Seine), Nogent-sur-Seine (Aube) et Bonneuil-sur-Marne (Val-de-Marne).

Sur le département de l'Yonne, le fluvial a augmenté de 10 % l'année dernière. Mais avec le port de Gron, toutes les conditions seront réunies pour un changement d'échelle. Les travaux de mise à grand gabarit de l'écluse de Port-Renard qui constituait le principal goulot d'étranglement à l'entrée du canal de dérivation de Courlon, près de la confluence de l'Yonne et de la Seine, ont été achevés début 2006. Elargi à 10,50 mètres, cet ouvrage laisse désormais passer sur cet affluent de la Seine de gros convois de  000 tonnes transportant 66 conteneurs contre 400 à 450 tonnes auparavant. 

C.L.


@ Rédaction L'Usine Nouvelle

Reprise de Reprise de la circulation à Strépy-Thieu après un incident  Mise en ligne le 16-11-2006 16:25

La circulation a repris, cette après-midi, à l'ascenseur funiculaire de Strépy-Thieu (Le Roeulx) sur le Canal du Centre, où un incident s'était produit vers 10h40.

Ce matin, une porte s'est refermée sur une péniche accouplée (deux bateaux liés) se trouvant dans un des bacs. Suite à cela, les bacs étaient tous les deux à l'arrêt, mais après sécurisation, celui de droite fonctionne à nouveau depuis 15 heures. L'autre restera bloqué jusqu'à ce que les portes soient remises en place, dans les jours qui viennent.

Les causes exactes de l'incident ne sont pas encore connues. Il semble néanmoins qu'il ne soit pas dû à un bris de machine, mais plutôt à une erreur encore non élucidée. Une enquête est en cours. Par ailleurs, il n'y a pas de blessés et pas de dégâts majeurs, ni au bateau, ni aux portes. En effet, celles-ci ne sont pas tombées, mais se sont "déposées" sur la péniche.

Canal de la somme

Navigation de plaisance perturbée jusqu'en 2008

Haute Sambre
Un pont-canal à remplacer en France empêche de gagner Paris par la voie fluviale.
La saison estivale 2006 s'annonce dès à présent fort décevante pour le tourisme fluvial sur la haute Sambre, entre Charleroi et Erquelinnes (frontière française). En cause, une interruption de la navigation sur le canal de la Sambre à l'Oise, dans l'Aisne (France). L'itinéraire reliant la Wallonie à la région parisienne devrait être impraticable pendant deux ans en raison du remplacement d'un pont-canal à Vaudencourt.
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RECONSTRUCTION DES PONTS DE VADENCOURT ET DE MACQUIGNY, JEAN-JACQUES THOMAS INTERPELLE VOIES NAVIGABLES DE FRANCE.

Le canal de Bourgogne débarrassé de ses algues

Pour la deuxième année consécutive, les algues ont envahi considérablement les biefs du canal de Bourgogne. Un coup dur pour le tourisme fluvial, les hélices des bateaux de plaisance accrochant facilement ces algues rendant la navigation difficile : dans certains biefs, il était impossible à deux bateaux de se croiser.
Actuellement, une entreprise privée de la Vienne, travaillant pour les voies navigables de France, procède au grand nettoyage des biefs avec trois bateaux. Un bateau faucardeur-ramasseur à roue à eau de grande capacité qui effectue en même temps le fauchage et le ramassage, et deux faucardeurs pour débarrasser le canal de ces tonnes d'algues.
Cette grande opération de nettoyage passait par le bief de l'écluse 62 du petit Ouges, elle a débuté cette semaine à Bretenière et se terminera à Pont-de-Pagny, à raison de 1 à 2 km par jour.
Nul doute que les plaisanciers et les pêcheurs vont apprécier ce travail et seront heureux de retrouver chacun leur plaisir sur le canal de Bourgogne.

Transport fluvial, une opportunité pour le chantier du contournement de Cambrai

En avril dernier 30 000 tonnes de matériaux ont été transportés par la voie d'eau pour la réalisation des remblais compressibles nécessaires à la construction du viaduc de franchissement du canal de Saint Quentin.

La DDE du Nord, arrondissement de Douai - Cambrai assure la maîtrise d'oeuvre du contournement de Cambrai pour le compte du ministère de l'Equipement, maître d'ouvrage. Pour réaliser les remblais compressibles du viaduc de franchissement du canal de Saint Quentin il a fallu apporter 30 000 tonnes de matériaux en provenance de Saint Saulve.
Dans le cadre de ses contacts privilégiés avec l'arrondissement de Douai - Cambrai, le chef de la subdivision de Voies navigables de France à Cambrai a présenté au maître d'oeuvre les possibilités qu'offre le canal pour transporter ces matériaux. Ces éléments ont donc été indiqués dans le dossier d'appel d'offres et c'est ainsi que l'entreprise à qui le marché a été dévolu a fait le choix du transport par la voie d'eau. Les matériaux de remblais ont donc été acheminés par péniches de 300 tonnes depuis Saint Saulve sur l'Escaut petit gabarit jusque Proville sur le canal de Saint Quentin. Sept péniches ont fait 100 allers-retour alors qu'il en aurait fallu 2400 avec les camions et ceci dans un secteur écologiquement sensible.
Pour assurer la réussite de cette opération, la subdivision de Cambrai a procédé à quelques aménagements : travaux de balisage et de nettoyage du chenal, modification des conditions d'exploitation pour faciliter le passage aux écluses... Le canal de Saint Quentin a connu un doublement de la navigation par jour durant l'opération.

L'expérience est réussie. L'utilisation de la voie d'eau a montré que ce moyen de transport est économique par sa capacité de tonnage, écologique par sa moindre consommation en énergie et ses absences d'émissions polluantes, fiable par la sûreté de ses acheminements et sa ponctualité.

Il reste maintenant à apporter les matériaux de construction de la chaussée du contournement. La voie d'eau sera-t-elle à nouveau sollicitée ? En tout cas elle est prête à répondre favorablement à une nouvelle opération de cette nature.


Marie-Rose Bonnefoi et Alain Lebek
Direction régionale de VNF Nord – Pas de Calais

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Revue de presse

Par Luc port de compiégne

Blue Links

Blue Links est un programme de travaux pour la remise en navigation des canaux de la liaison Deûle – Escaut, qui comprend la Marque canalisée, le canal de Roubaix, en région Nord de la France, et le canal de l'Espierre dans le Hainaut et les Flandres occidentales en Belgique. Le canal réhabilité offrira de nouvelles possibilités de développement d'activités de tourisme et de loisir, étroitement liées au renouvellement urbain sur un territoire étendu.

Ce programme de rénovation de grande envergure, dont les travaux seront bientôt achevés, a été rendu possible par la participation et la mobilisation de l'Europe et de différents corps des états belge et français. > lire la suite 

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