Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Erwan ou Mélanie ? Pour certains, la réponse n'est pas une évidence...{Validé/e}

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Mélanie/Erwan

Introduction : Salut... Je vais vous raconter un peu ma vie. Je vous préviens, c'est pas trop la Petite Maison dans la Prairie... Bon, je sais, y'a pire que moi. Mais y'a aussi beaucoup mieux. Je préviens aussi d'une chose... On me reproche d'être un peu vulgos. Mais ma vie est tellement à chier, qu'entre nous, j'm'en fout un peu. Tout d'abord...

Nom : Mon blase c'est Kervenec.

Prenom : Sur le papier bleu plastifié avec ma tronche dessus; c'est marqué Erwan John Gaël mais perso je préfère Mélanie. Et si je devais changer aussi les deux autres, ce serai Sonia et Megumi parce que j'aime bien le Japon.

Surnom : Mes potes au bled m'appelaient Robert ou Jean-Loup, juste pour me faire chier. Mes rares amis qui connaissent mon secret me surnommaient La Chieuse. Et puis y a tout les connards intolérants qui m'appellent le Travelo, la Fiotte, la Tapette ou j'en passe.

Age : J'ai 35 ans et ça m'angoisse... Je vous dirai pourquoi quand on se connaitra mieux.

Sexe : Sur le papier bleu plastifié, toujours et encore lui, c'est marqué "Homme". Mais ces connards des Administrations on oublié de penser un jour au

Genre : parce que dans ma tête, dans mon coeur et dans mon âme, je suis une Femme.

Race : Ma race ? Je suis qu'une connasse d'Humaine parmi 4 milliards de connards d'Humains... Ou presque... Je vais y revenir...

Orientation sexuelle : Pourquoi toujours chercher à vouloir coller des étiquettes ? Puis chez moi, les termes sont inversés de toutes façons... Mais si vous y tenez vraiment... Disons que sur l'affectif, je ne me sens bien qu'avec les filles, mais que je m'éclate aussi pas mal avec les mecs question cul mais que ça s'arrête là (avec les hommes je ne suis que passive). Question plumard avec les nanas... J'arrive jamais a aller jusqu'au bout, si vous voyez ce que dire ? Et tant mieux parce que ça me répugne. Oh ça, j'ai de l'endurance cela dit. Je peut tenir au moins une heure, voire plus... A l'aise, même. Mais la fille se barre tout le temps fâchée au bout de 15 minutes, la schnek en feu en me lançant un "Quand t'auras fini, tu m'appelleras ? Ou plutôt non : oublies moi !" Connasses d'hétéros... Et puis y'a ce problème... Vous comprenez toujours pas ? J'y viens... Moi, je me considère comme Lesbienne au passage.

Description physique : Pendant longtemps j'ai eu les cheveux très courts, mais aujourd'hui je suis fière d'avoir une tignasse longue de 30 cm, brune. Pour le reste, je suis assez grande et maigre, 1m85 pour 67 Kg, ce poids je le dois à mes périodes de dépressions et d'anorexies. A cause de la testostérone, mon corps est tout de même très masculin et mes muscles sont dessinés comme ceux d'un homme, dû au fait que je travaillais tout les étés dans l'une des fermes de mes grands-parents.

J'ai les yeux verts, un visage assez fin et carré dont le menton a une petite fossette et mes joues sont creusées par la faim et l'abus de certaines substances pas très nettes... Surement le manque de sommeil aussi. J'ai également quelques tatouages me venant de mon époque rebelle. Aujourd'hui, j'en suis à mon époque déchet... Quand je ne sors pas, je ne lave plus mes cheveux qui finissent gras et emmêlés, et je me laisse pousser la barbe, me laissant totalement aller.

Sinon, quand le moral va un peu mieux et/ou que je veux sortir, je deviens pointilleuse et passe environ une heure et demie dans la salle de bain, prenant bien le temps de parfaire chaque détail, me rasant au poil près et épilant torse, jambes entières et aisselles. J'aime aussi me maquiller et me parfumer, et porter les quelques rares vêtements féminins à ma taille que je trouve (sous-vêtements, robes, débardeurs, etc...).

Caractère : Quand tout allait encore à peu près bien dans ma vie, j'étais quelqu'un d'assez vivant. Pas très courageuse, oui, pas très vive, oui, mais vivante. Je savais rire, déconner, faire la fête. J'étais introvertie, mais sociable. Aujourd'hui, j'ai perdue toutes mes illusions. Il me reste juste l'espoir... Je passe mes journées vautrée dans le canapé devant la télé à regarder des programmes débiles. Je bouge plus et j'ai plus envie de bouger. Je bois, je fume, et pas que de l'herbe de Provence, je sniffe. Je me laisse complètement aller. Je me rase plus, je me coiffe plus, je me douche qu'une fois tout les 4 ou 5 jours, je manque très peu et je me lave même plus les dents. Je suis une épave. J'ai bien essayée d'en finir avec cette vie de merde. Mais j'y arrive pas. J'ai trop la chiasse de me louper et d'avoir des séquelles pour passer à l'acte...

Histoire : La vie est une pute. Elle vous suce, vous encule, vous re-suce et quand elle en marre... Elle recommence. Si y a un putain de Dieu dans ce Système Solaire de merde, y doit pas aimer ma gueule. Déjà dès le berceau j'ai eu droit à une sacrée blague : je suis née avec un service trois pièces, cuisine et les bijoux de famille qui vont avec. Ah, ah... Qu'est-ce qu'on s'marre... C'est donc un petit garçon que mes parents appelèrent Erwan. Mais Mélanie, elle... Elle était bien cachée. Jusqu'à aussi loin que je me rappelle, je me suis toujours sentie mal à l'aise dans mes vêtements. Je comprenais pas pourquoi on s'obstinait à me mettre ces hideuses salopettes en jean's et ces atroces pulls de Noël. Je voulais porter des robes, moi.

En parlant de Noël, je comprenais pas non plus pourquoi on s'entêtait à m'offrir un Batman, un GI Joe ou un pistolet à amorces avec une étoile de Shériff. Moi, je voulais des Barbies, une dinette, un poupée Nénuco qui réclame le biberon, qui pleure, qui rote, qui m'aurait appelée "maman" et qui pisse toute seule... Mais non. Personne ne voyait qui j'étais vraiment. On continuait de m'appeler Erwan. Mais c'était qui ce Erwan ? Je le connaissait pas lui. Moi, je voulais m'appeler Mélanie. Vous voyez où je voulais en venir ? Je suis transgenre Male to Female. Ou transexuelle, comme vous voulez... J'ai toujours eu ce sentiment profond d'être une fille enfermée par erreur dans un déguisement de garçon. C'était pas faute de jouer qu'avec des filles, de parler comme une fille (au prix d'un nombre incalculable de baffes) et de me trimballer avec les robes que mes copines ne voulaient plus et me donnaient en cachette (nouvelles séries de baffes).

Je finis par haïr mes parents pour ce qu'ils m'avaient fait. C'était eu qui me déguisaient en garçon, après tout. Mais pour ces bons moutons récupérés par une Société hétéronormée, menés à l'abattoir par l'Etat, sans compter sur le fait que les familles respectives de mon daron et de ma daronne étaient des bouseux lancés depuis X générations dans les élevages de porcs dans un petit village de Bretagne appelé Ploudalmézeau, avoir un fils qui s'habille et parle comme une fille, ça fait mauvais genre, vous voyez... Il avait d'ailleurs été décidé dès mes 10 ans, pour "me recadrer", que je devais passer toutes les vacances de chaque été, à la ferme de mes grands-parents. (Un mois chez les uns, un mois chez les autres.). Alors pendant dix ans, je devais passer les mois de juillet et d'aout à remuer de la terre et gratter de la merde de porc. Quelle horreur ! Je voulais mourir et suppliait Satan de venir me tuer pour me sauver. Mais bien assez tôt, j'avais cachée Mélanie dans un placard de mon esprit. Plaard dont elle ne sortit jamais.

Mélanie oubliée, Erwan découvrit très tôt les choses du sexe. J'étais tombée un jour sur des cassettes de films porno (vers mes 10-11 ans d'ailleurs) et fit une grande partie de mon éducation sexuelle toute seule, tripotant mon zizi en cachette. Alors que j'étais en sixième, la première fille de mon père, ma demi-soeur qu'il avait eu d'un autre mariage, était venue à la ferme. Elle devait avoir dans les 12 ou 13 ans. Comme il n'y avait qu'une seule chambre, nous devions dormir dans le même lit. Je connaissais déjà en partie le corps des femmes, mais j'enviais le sien bien que Mélanie n'existait plus pour moi. Pendant qu'elle dormait, j'explorais alors ce corps qui me plaisait beaucoup, caressant doucement son minou puis ses seins, en passant par dessous sa chemise de nuit. Je sentis alors mon zizi devenir très dur. Mais elle se réveilla. Je crois bien que j'avais très peur. Mais elle me demanda innocemment "Pourquoi tu me touche ? Tu veux faire l'amour ?" Je ne savais pas de quoi elle parlait. J'avais vue faire, mais je connaissais pas le vrai nom, moi, à part le classieux "baiser". Elle enleva alors son seul vêtement tandis que je me débarrassait de mon pyjama. Elle prit ma main et la posa sur son minou, me demandant de le caresser. Ce que je fis. Naturellement, nous sommes allées jusqu'au bout de l'aventure, sans avoir toutefois toutes les subtilités du jeu en notre connaissance. Je venais de perdre mon innocence. Nous avions cru entendre un bruit dans le couloir après avoir "fini". Mais ce n'était que notre imagination. Elle me suça alors quelques, me demandant ce que ça m'avais fait. J'étais tétanisée. J'avais ressentie un étrange plaisir...  Je ne la revis plus pendant plusieurs mois. Je sentais comme un manque et avait finie par devenir accroc à la masturbation.

L'année d'après, je découvrit de nouvelles sensations... Alors en 5ème, ma treizième bougie soufflée, nous étions descendus, deux copains de classe et moi, au vestiaire de la salle de sport, entre midi et deux. Puis je lançais l'idée innocente du "Et si on jouais à se sucer le zizi ?", jeu que mes copains acceptèrent. Je venais de découvrir la joie de jouer à touche-pipi entre garçons (ou presque). Nous faisions cela régulièrement. J'avais même prit le plus mignon à part, seul, un jour et lui avait demandé d'essayer d'entrer son zizi dans mes fesses et il s'exécuta sans grand succès. Je lui demanda alors de m'embrasser avec la langue et il accepta. Ma "bissexualité" venait de démarrer...

Plusieurs années de passage à vide question cul, menant une scolarité quasi-normale si ce n'était qu'à ma deuxième 5ème, ayant changée de bahut, on prenait pour la tête de turc, dans la classe, puis que cela s'aggrava en 4ème où les quatre classes se payaient ma pomme et encore pis en 3ème où tout le collège se foutait de ma gueule et même quelques spécimens de mon premier collège... Au lycée, la chanson était différente, mais pas la musique... J'eu deux années de 2nd minables où je fis ma première dépression, sentant que je n'étais pas comme les autres.

Véritable coeur d'artichaut, je m'amourachais de plusieurs filles rien qu'en les regardant. Je connue également mon premier véritable amour. Elle n'était pas spécialement belle, même si je la vénérais comme une Déesse (je suis toujours amoureuse d'elle d'ailleurs, je n'ai jamais réussie à l'oublier mais je l'ai perdue de vue). Non, la première chose que j'avais remarquée en elle, c'était sa personnalité et les nombreux points communs que nous avions. Je suis convaincue, avec le recul, que j'ai loupée mon âme soeur... Pendant trois ans nous nous tournions autour, ni l'un ni l'autre n'ayant le courage de faire le premier pas. Puis je laissai tomber l'année suivante, lors de ma quatrième année de lycée, en deuxième de C.A.P. 

Ah ce CAP, que de souvenirs... Alors que durant mes deux années de 2nde, notre bande était mixte, à la première de CAP, elle, je me remis tout naturellement à ne trainer qu'avec les filles, abordant des sujets de filles. Jusqu'à ce qu'elles me rejètent sous prétexte que "T'es un mec, on veut rester qu'entre filles". Cette phrase me démollit. J'étais anéantie. Je ne trainais pas avec les garçons car je n'avais rien à voir à ces gens là, que je ne comprenais plus, et j'étais rejetée des autres filles... J'errais alors seule dans mon monde lors des récréations.

L'esprit de Mélanie refit alors lentement surface, mais ne sentait pas encore prête à sortir du placard. Pour un atelier culinaire du cours de japonais où nous devions préparer un plat traditionnel, nous avions une liste d'ingrédient à réunir. Quoi de plus sympathique pour cela que de faire le marché ? C'était la première fois que je m'y rendais et l'expérience était plaisante. Entre deux ingrédients de ma liste, je m'arrêtais sur l'étal d'un maroquinier, en extase devant un sac à main que j'achetais.. machinalement. Le lundi suivant, et ce pour le reste de ma scolarité à venir, je me pointa au bahut arborant fièrement mon beau sac à main, m'attirant les regards inquisiteurs, puis au fil des mois, j'achetais des magazines, Jeune & Jolie ou Muteen, puis des bijoux fantaisies, du maquillage... Pour en venir naturellement aux fringues. Un soir, déprimée alors que je rentrais dans ma chambre, je regardais mes petits trésors so girly et l'évidence me frappa. "Qu'est ce qui va pas chez moi ? Pourquoi je suis pas une vraie fille ?" Au bout de quelques semaines, j'appris un nouveau mot pour désigner les gens comme moi : transexuelles...

Diplôme en mains, je décida d'arrêter les études et enchaina les petits boulots m'amenant à une vie chaotique. Pendant plus de 10 ans, j'eus une vie déjà bien merdique de base, connaissant mon premier petit copain, mes deux premières petites amies et quelques histoires d'un soir, ainsi que mon premier appartement, la rue, les turluttes à 10€ pour me payer un peu de shit, mon deuxième appart et enfin un boulot a peu près stable. Je croyais avoir enfin remontée la pente. Je me trompais... J'avais économisée un peu d'argent pour pouvoir faire ma transition Male to Female, reprendre les études et accomplir un rêve d'adolescente : étudier au Japon. Je me rendis donc à Kyoto, enfin, plus exactement : dans la ville au nom évocateur pour un nipponisant : Seikusu.

Hélas, mon Destin semblait avoir été scellé bien avant ma naissance... Quelques jours plus tard après mon arrivée, un coup de fil de ma banque me fit savoir que toutes mes provisions avaient été détournées. Je n'avais plus un rond... Et les tords ne pouvaient être dédommagés par la banque puisque je n'avais pas fait opposition sur le compte. Je trouva un squatt pour dormir, et tenta dès le lendemain de trouver du travail, et le surlendemain, et le jour d'après, et celui d'après, et encore et encore... Il n'y avait déjà pas beaucoup de boulot pour les natifs, il y en avait encore moins pour les gaijin dans la merde... Je replongea bien vite dans ces saloperies d'excès pour m'évader.

Aujourd'hui, je suis une connasse aigrie. Une épave. Ouais... Ni plus ni moins. Le seule truc qui rattache encore à cette foutue vie, c'est l'espoir de pouvoir enfin faire ma transition MtF : prendre des hormones pour me féminiser afin de recevoir une chirurgie de réassignement sexuel. Avoir tout les attributs d'une femme, ou presque, avant que je crève...
   
Situation de départ : Pour la jouer franco : j'ai un chéri, deux chéries et j'ai baisée avec trois autres filles (deux putes, ma demi-soeur et ma soeur benjamine [elle avait 16 ans] et quatre autres mecs (un ami un peu timide que ma soeur avait dépucelé, et trois plans culs trouvé tout les trois dans un lieu de drague sauvage, chacun leur tour, la même nuit). 5 filles, 5 mecs... 10 partenaires à mon tableau de chasseur occasionnel... Je suis toujours accroc au cul et continue à me branler, régulièrement, même si je n'aime pas ça.

Autres : Hormis mes tatouages et ma déchéance : peau de zob.

Comment avez vous connu le forum : Par le biais de la Rose Ecarlate et de certains joueurs communs aux deux forums ;-)

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Aucun à part éventuellement Fesses-de-book ? ^^
« Modifié: jeudi 28 avril 2011, 12:50:06 par Adelheid Friedrich »
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Adelheid Friedrich

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Velkommen ! ^^ Désolée du retard qui n'était aaaaabsolument pas prévu dans les plans x)

C'est une très bonne bio ma foi, l'histoire du perso était très prenante ! Néanmoins je voudrais que tu étoffes un peu la description physique (; Cela fait je te validerais ^^
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Den gamle vandreren går mens høsten er blodig rød, evig og evig




Taj

Dieu

Bienvenue!
Tu ne ferais pas un bon esclave, dis-moi! ^^

Alraunya

Créature

Bienvenue à toi!

Féminin, masculin, peu importe! Je prends tout ce que je trouve...


(Elle parle littéralement en plus...--")
Je n'accepte aucun rp avec ce compte! (Mais mes doublettes sont toujours disponibles)


Thème
Profil
Votre niveau intellectuel après être passé chez moi (âmes sensibles s'abstenir)






Shylee Tsumo

Humain(e)

Bienvenue à toi ^^

Mélanie/Erwan

Merci à toutes (zéa tousse uh uh ^^) pour votre accueil. En effet, j'ai vue qu'il y avait des bugs ces derniers jours.

J'étoffe donc la description physique quand j'ai un moment ^^.

@ Taj : Cela dépend... Ci s'est Erwan ou Mél qui voulu(e) :p
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Adelheid Friedrich

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Pas de soucis, prends ton temps :p
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Mélanie/Erwan

Fiche éditée^^

J'oubliais : Alraunya, je serais heureuse de te servir de repas <3
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Adelheid Friedrich

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Voilà, det er godt, je te valide ^^
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