(3) L’ego au temps des cathédrales

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Le 18 septembre 2010 par Jean-François Dortier

Après la rencontre avec D. Iogna-Prat, (billet précédent) je ressors confirmé dans mon hypothèse.

Vu de loin, l’Eglise chrétienne semble laisser peu de place à l’individualité. Pour un jeune aristocrate par exemple, entrer dans les ordres, c’est s’engager dans un moule social très rigide : il va devoir abandonner son identité : changer de nom, porter un uniforme (revêtir une tunique); il devra se consacrer au service de Dieu et d’autrui. L’orgueil étant considéré comme un des « péchés capitaux », il devra étouffer toute ambition personnelle, faire preuve de modestie, de dévouement et d’abandon de soi.

Voilà pour le dogme officiel.

Mais si on cible le regard sur des personnages singuliers qui ont fait cette Eglise, un tout autre visage apparaît. Au Moyen âge, l’ascension sociale dans l’Eglise laissait place aux stratégies individuelles, aux ambitieux, aux individus avides d’action, d’honneurs et d’esprit d’entreprise. S’y manifestait aussi des capacités d’entreprendre de grandes choses. S’y manifestait des rivalités personnelles très fortes, à tous les échelons de la hiérarchie.

Voyons comment.

• Un évêque aux dents longues...

Par l’une des fenêtres de ma maison, je peux voir se dresser la magnifique cathédrale Saint Etienne d’Auxerre, de l’autre côté de l’Yonne. (photo ci-dessus). Cette cathédrale, ainsi que l’Abbaye Saint Germain qui trône à proximité, sont des fleurons de l’architecture gothique. Elles sont sortie de terre lors de cette poussée bâtisseuse qui eu lieu au « temps des cathédrales »,[1]. Entre l’an mil et jusqu’au XV° siècle, l’architecture gothique se répand dans les villes européenne : Sens, Cluny, Reims, Chartres, Véselay.  L’architecture gothique, avec ses flèches, ses tours, ses longues nefs, ses grands chœurs, ces vitraux multicolores, ses coupoles, … exprime la puissance de l’Eglise et sa nouvelle vision du monde. Si l’on suit Georges Duby, cette architecture monumentale n’avait d’autre but que de « glorifier la puissance de Dieu ».

Mais qui  sont les bâtisseurs de ces cathédrales ? A Auxerre, c’est un certain  Guillaume de Seignelay, qui entreprit la reconstruction d’une nouvelle cathédrale en 1215.[2] Ce Guillaume était un jeune aristocrate, issu de la noblesse locale.[3] La chronique nous dit que Guillaume et son frère Masssanès étaient entré dans les ordres pour « répondre aux désirs de leur pieuse mère » [4]. Le récit hagiographique présente les deux frères comme deux garçon pétris de ferveurs, d’humilité et de modestie.

Mais on peut voir les choses sous un autre angle.  En entrant dans les ordres, nos deux braves garçons ne renoncent nullement à la vie mondaine pour se consacrer à Dieu et aux prières. A l’époque, pour des jeunes gens doués, ayant une bonne éducation et de bonnes relations, entrer dans l’Eglise, c’est la possibilité de faire carrière : et peut être même une bien meilleure carrière qu’en restant au château familial.

Très tôt, Guillaume s’est distingué comme un brillant élément, qui s’est fait remarquer dans les hautes sphères du pouvoir et du clergé. Il grimpe vite les échelons dans la hiérarchie ecclésiastique. D’abord nommé trésorier, puis archidiacre à Sens, il est élu  à 30 ans « doyen du chapitre d’Auxerre ». Et croyez moi : être «  doyen du chapitre » ce n’était pas rien ! Dans l’Eglise, le « chapitre », désignait le collège de chanoines chargé tout le business de la cathédrale. Cela comprenait non seulement  l’organisation des nombreuses cérémonies religieuses (les messes quotidiennes, les baptêmes, mariages, enterrements, fêtes liturgiques), mais aussi l’entretien des bâtiments, la gestion des domaines et des revenus de l’Eglise. Il y avait aussi l’administration de tout le personnel: les prêtres qui officiaient, le chœur, les maîtres de la chorale, les organistes, sacristains, domestiques, etc. Sans parler de l’intendance : les bonnes oeuvres, les collectes, etc.  Auxerre, était un  plus important évêché de France et son « chapitre » comprenait  63 chanoines. [5]. Le « doyen du chapitre », c’était un peu le D.G. (directeur général) d’une entreprise très prospère. Vous comprenez maintenant d’où vient l’expression « avoir droit au chapitre »…

L’ascension de Guillaume ne s’arrête pas là. En 1207, le voilà nommé Evêque de la cathédrale. Le PDG en quelque sorte. A ce titre, il va disposer de beaucoup de pouvoir, de prestige, de richesse et de marge de manoeuvre.

Le récit hagiographique nous dit qu’au moment de nommer l’Evêque, aucun des deux frères se sont livrés à une « lutte de modestie » pour laisser la place à l’autre. « Ce fut un admirable spectacle de voir la lutte de modestie qui s’établit entre eux (…). Chacun d’eux se jugeait indigne et suppliait avec larmes qu’on lui préférât son frère ». Une « lutte de modestie »: charmant non ! Finalement c’est l’archevêque de Sens qui a tranché en nommant Guillaume.  Quand on sait que quelques semaines plus tard, Manessès sera propulsé  évêque d’Orléans, un autre très puissant évêché, la « lutte de modestie » prend une autre tournure. Les deux postes étaient très convoités et il s’agissait simplement de savoir comment les deux frères allaient se les départager.

En 1207, voilà donc nos frères inséparables installés aux commandes de deux grands évêchés. C’est alors que le roi Philippe Auguste les convoque pour partir en expédition militaire sur les côtes de Bretagne, afin de s’emparer d’une chateau tenu par des félons. L’épisode peut surprendre. Comment deux évêques peuvent-ils être mobilisé par le roi pour une campagne militaire? Bien qu’évêques, les deux frères restaient tout de même des Seigneurs, possédaient un domaine, une fortune personnelle, des vassaux et pouvaient à ce titre lever leur milice armée. En tant que Seigneur de Seignelay, les deux frères était des vassaux du roi de France. Et il devaient participer à « l’ost » (l’armée féodale levée par le roi). Mais arrivés sur le terrain, avec leur petite troupe, les deux frêres découvrent que le roi n’est pas présent en personne. Il a délégué à un d ses grand seigneur, pour diriger les opérations. Hors de question pour les deux frères d’obéir à des subalternes ! Les deux frères veulent bien obéir au roi, mais pas à un sous-fifre : c’est une question de rang et de  prestige. Et il décident de rebrousser chemin et de revenir sur leur terre.

C’était là un acte d’insubordination, que le roi Philippe ne pouvait pas laisser impuni. Philippe Auguste décide donc de saisir leur biens « temporels » (c’est-à-dire leur domaine).Mais les deux frères ne se laissent pas impressionné.  Nos deux évêques ripostent en décidant de s’emparer des terres du roi qui sont sur leurs diocèses, et excommunient ses officiers ! L’affaire s’envenime donc  et il fallu la médiation du pape en personne, pour qu’un compromis soit trouvé. « L’affaire fut enfin portée au pape et la paix se rétablit, au mois d’avril 1211, à la condition formelle que désormais les évêques seraient dispensés de se trouver personnellement à l’armée. »

Cet épisode est révélateur. Il montre  le rapport de force entre l’Eglise et le roi, entre le « pouvoir temporel » et le « séculier »*. A l’époque féodale, le roi n’est pas à la tête d’un Etat; Le roi n’est qu’un titre de prestige qui le met à la tête d’une fédération de seigneurs. Et il arrive souvent que des Seigneur vassaux refusent de se soumettre. Et nos vassaux sont des représentant de l’Eglise, la puissance montante, qui peut se permettre de tenir la dragée haute à tous les comtes, duc, princes du royaume. Et même au roi en personne. Et les deux frères Seignelay non seulement tenu tête au roi, mais il lui ont infligé un vrai camouflet. La petite rébellion des frères Seignelay s’inscrit donc dans un rapport de force entre deux  l’Eglise et la royauté, mais leur acte d’insubordination n’a pas été commandé par personne d’autres qu’eux même. Certainement pas du pape qui était l’allié de Philippe Auguste dans les croisades. Cet bravade est l’attestation de la fierté des deux hommes, de leur arrogance. Et de leur grande liberté d’action.

Le conflit entre les deux frères de Seignelay et le roi Philippe Auguste s’est déroulé  entre 1209 et 1211. Deux ans plus tard, en 1213, on retrouve nos deux frangins engagé dans une nouvelle expédition militaire. Il s’agit cette fois d’aller mater les Albigeois, ces satanés occitans qui professent une doctrine hérétique. Avec leur troupe, ils vont s’illustrer aux côtés de Simon de Montfort, qui leur sera infiniment reconnaissant.

Puis c’est le retour dans leur diocèse respectif. C’est alors que Guillaume, début son œuvre de bâtisseur. Dès son arrivée aux affaire, il avait  décide de rebâtir son palais épiscopal : rappelons que le palais épiscopal est le lieu de résidence et de travail de l’évêque. La fonction méritait un palais. Et il fallait que ce palais soit à la hauteur…  Puis en 1215, il s’attaque à la cathédrale. Guillaume veut faire reconstruire entièrement le chœur selon le nouveau style de l’époque : le « gothique ». [6]

Des évêques sont gonflés d’orgueil…

Lancer un tel projet de construction c’est dans les mots de l’époque « glorifier le Seigneur », mais c’était aussi et surtout couvrir de gloire… son propre évêché. Depuis quelques temps déjà, de magnifique chœurs gothiques avait été édifié dans la région. A Sens, on avait été élevé une cinquantaine d’année plus tôt la toute première cathédrale gothique. Puis ce fut le tour de Vézelay et de Pontigny de s’orner de somptueuses abbayes et cathédrales. Dès lors, il n’était pas question pour Guillaume de Seignelay de se contenter d’un bâtiment un cran au dessous des autres. Sa jalousie transparait dans le récit de son biographe Lebeuf : « Lorsque l’évêque vit que sa cathédrale, dont l’architecture était ancienne et peu ordonnée, souffrait (…) de vétusté, tandis qu’aux alentours d’autres cathédrales dressaient leur chef d’une merveilleuse beauté, il décida de faire construire une nouvelle église et de la faire décorer avec le plus grand art par des spécialistes de l’architecture ».

Voilà qui est assez clair. Derrière la gloire de Dieu, il y a une motivation très profane : le désir de montrer sa puissance, un désir alimenté et excité par la jalousie à l’égard du voisin. Car enfin, s’il s’agissait simplement de glorifier Dieu, en prenant de la hauteur, en intégrant la lumière comme le suggère G. Duby), on aurait pu se contenter de faire simplement un peu grand ou plus haut que l’ancien. Mais rien n’obligeait à la course au gigantisme auquel on a assisté. Les plus riches des abbés ou des évêques se sont mis en tête faire plus grand et plus fort que son voisin. Et pour cela, il fallait pousser les architectes dans leur retranchement, les forcer à courir des risques. Et les éffrondrements de tours trop hautes, s’écroulant sous le poids de trop d’ambition, ont été monnaie courante à l’époque.

Il est clair que la course à la plus grosse, plus haute tour, relevait aussi de la compétition pour le prestige. Les prélats jouaient des coudes entre eux pour savoir « qui aurait la plus grande » (je parle des tours bien sûr). Cette querelle des égo, nous renvoie à un scénario courant dans l’histoire humaine. A chaque poussée civilisationnelle, là ou se sont concentrés richesse et pouvoir, les élites en compétition se sont livré à des démonstration de force. Les évêques chrétiens ont rivalisé pour la taille de leur cathédrale. C’était déjà le cas  dans l’Antiquité, entre les élites grecques et romaines qui rivalisaient pour construire des palais et sépultures les plus imposantes. Avant eux, chaque génération de pharaons Egyptiens, quand ils en avaient les moyens, voulaient se faire édifier une pyramide plus haute que celle de ses prédécesseurs. Auparavant les cités-Etats mésopotamiennes s’étaient livré à la même course avec leurs ziggourats. Et encore avant, les princes de l’âge des mégalithes, faisait déplacer des bocs de centaines de tonnes pour marquer leur territoire et leur puissance. A la Renaissance se seront les grandes familles qui se feront édifier des palais  avec des tour toujours plus haute. Au point qu’à Florence, il a fallu limiter pour éviter les écroulements réguliers.  La même histoire s’est reproduite à Chicago quelques siècle plus tard. Chaque nouveau venu dans l’élite capitaliste voulait un gratte ciel plus haut que tout ce qui avait été fait juste là. Puis la compétition s’est alors déplacée à New York.

Il est difficile de comprendre l’édification des grandes cathédrales en les rapportant uniquement à des motifs toujours différents : religieux, politique, symbolique,  économiques L’idéologie gothique décryptée par G. Duby a sa spécificité, certes. Mais en singularisant chaque histoire dans son îlot interprétatif, on ne voit plus ses dessous anthropologiques.  Si les « tours d’orgueil »  reviennent toujours dans l’histoire, c’est qu’elles renvoient à une motivation commune, une motivation très profonde. Appelons là, en langage châtié, la «confrontation des Egos ». On peut dire cela de façon plus cru.

Cette lutte de prestige a mis en ébullition le cerveau des pharaons, des rois, des chevaliers, des chevaliers et du capitaine d’industrie. Celui des évêques aussi.

C’est puéril. Mais c’est peut-être l’un des ressorts principaux de l’histoire. Je me permets de renvoyer à un petit article que j’avais écrit sur ces « tours d’orgueuil » (Qui veut la plus haute ?)

Le Clocher des Vanités

Rien ne permet de dire que Guillaume de Seignelay était plus ou moins ambitieux que ses congénères.

Rien ne permet de dire qu’il était attiré par le pouvoir qu’il n’était pas sincère dans ses convictions religieuses.

Mais de son histoire, comme celle de son frère et de bien d’autres prélats de l’Eglise chrétienne, on peut retirer quelques conclusions sur l’existence de l’individu au Moyen-âge. L’individualité pouvait s’exprimer à l’intérieur de l’institution de différentes manières :

1. ambition et stratégie de carrière. On ne devient pas évêque par hérédité. (Encore qu’à Rennes, il y eu quelques évêques mariés, père de famille qui léguait leur poste à leur fils… Mais c’était l’exception .[1] Pour accéder à ce grade, il fallait d’abord grimper les échelons dans la hiérarchie catholique, ce qui demandait un talent de leader (pour se faire élire doyen du chapitre), puis savoir faire jouer ses relations pour la nomination. Il y avait une concurrence comme aujourd’hui pour obtenir un poste à l’université.

2. Pouvoir et autonomie de décision. Sans Guillaume de Seignelay, il n’est pas sûr qu’Auxerre eut sa belle cathédrale, (tout comme aujourd’hui, il est des maires entreprenants qui rénovent leur ville, et d’autres qui gèrent l’existant). La reconstruction d’une cathédrale n’était impulsée par personne d’autre. Ni le pape ni les laïques n’exigeaient de se lancer dans de telles entreprises.  Et on ne trouve en rien dans les Saintes écritures pour justifier de telles dépenses somptuaires. Au contraire, les textes disaient le contraire en prônant l’humilité et la pauvreté. Dès l’époques, les critiques contre les « vanités » étaient fréquentes.

3. Rivalité et lutte de prestige. La construction des cathédrale relevait d’ initiatives personnelles d’évêques ambitieux, excités par la compétition de prestige. Double compétition : 1.  entre le pouvoir de l’Eglise et celui des seigneurs (entre l’Eglise et le château), 2. compétition  au sein de l’Eglise entre les des évêques et des moines qui se livraient aussi à une véritable petite guerre des Eglises (comme entre la guerre des polices) et entre les chefs de paroisses et diocèses.

Qu’on me comprenne bien : il n’est pas dans mon intention de dire que les évêques étaient mus par des seules motivations profanes et terrestres. Que leur ardeur chrétienne et leur foi n’étaient qu’un voile posé sur des ambitions prosaïques et bassement matérielles.

Lorsque Guillaume de Seignelay fait reconstruire la cathédrale d’Auxerre, c’est dans son esprit « pour la gloire de Dieu et l’Eglise » ; et il est sans doute parfaitement sincère.

Nous voilà justement au cœur de l’idée clé.

L’Eglise offrait un moyen d’ascension sociale qui permettait à des individus de se hisser à des postes conférant pouvoir, prestige et autonomie.. L’affirmation de ses ambitions personnelles pouvait être en parfaite adéquation avec une fonction de fonctionnaire de Dieu.

En revanche, l’idéologie officielle de l’Eglise étant anti-individualiste, il est impossible d’affirmer haut et fort ses propres intérêts personnels. Ceux-ci devaient toujours se mêler à une vocation plus haute  C’est la même chose aujourd’hui pour celui qui veut faire une carrière politique. Celui qui s’engage en politique doit mettre en avant des valeurs transcendantes – celle de l’intérêt général –  et ne peut afficher à bon droit, des ambitions strictement individuelles. Il en va ainsi dans d’autres domaine: un chercheur œuvre pour faire avancer la Science, le haut fonctionnaire travaille pour l’Etat,

Pour le dire simplement. L’Eglise, malgré l’armature d’une institution « holiste », (le tout est supérieure à ses éléments qui n’en son que ses « serviteurs ») , bien qu’elle soit par nature « hétéronome » (elle est au service de Dieu), bien qu’elle soit en principe traditionnaliste (s’appuyant sa légitimité sur les Saintes écriture), pouvait  laisse place à l’expression des individualité.

L’institution permettait à de nombreux individus de faire carrière, d’avoir des stratégies d’ascension personnelle. Elle offre des débouchés pour ceux qui aspire au pouvoir et à la gloire, pour ceux qui veulent se consacrer à l’étude, pour ceux qui veulent voyager, combattre, pour tous ceux qui rêvent de grandeur.  Et au cœur des monastères, abbayes et cathédrales, comme dans les entreprises modernes, se livrait des batailles farouches pour les postes. Pour défendre territoire, moines, prêtres,  évêques, chanoines et autres fonctionnaires de Dieu n’étaient préoccupés que de leur salut dans l’au-delà. Il ont bataillé ferme pour se faire une place au soleil, ici-bas, même si ce devait être toujours au nom de Dieu et des saints.


[1] Pierre Riché, Les Grandeurs de l’an mille. Ed. Bartillat,


[1] Georges Duby : « Le Temps des cathédrales. L’art et la société, 980-1420. », Paris, Gallimard, 2e édition, 1976. »

[2] Plus exactement qui a jeté les base de la nouvelle cathédrale gothique s’est construite en plusieurs épisodes qui s’étalent sur cinq siècles. http://www.cathedrale-auxerre.com/histoire/p-histoire-introduction.html

[3] (son père est le baron de Seignelay, sa mère est la fille du Seigneur de Montbard).

[4] file:///Users/jean_francois/Desktop/Guillaume%20de%20Seignelay.webarchive

[5] 51 à temps plein et 12 à mi-temps.

[6] En fait, à l’époque, on appelait cela le style « français ». C’est à la Renaissance que l’on a rebaptisé mépris « gothique » (qui voulait dire « barbare »).


3 commentaires »

  1. JJ Cordier dit :

    Ce serait quand même sympa de mettre au moins le nom des auteurs des photographies que vous utilisez!

  2. admin dit :

    Vous avez raison. C’est en partie une faute morale (négligence), mais aussi un problème technique (comment faire pour insérer une légende?) qui m’a conduit à ignorer les sources. C’est mal ! je vais essayer de remédier au problème.
    JFD

  3. Anonyme dit :

    Merci Super pour l’info, je suis à la recherche d’un bon logiciel pas trop cher pour la création des plans de ma future maison tu me conseils quoi comme type de logiciels ?

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