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FAQ

Cette foire aux questions regroupe des questions réelles posées en consultation par des propriétaires de chat. Cela peut déjà vous éclairer. Si ça n’est pas le cas, n’hésitez pas à me contacter. Peut-être qu’un jour, votre question aussi sera dans la FAQ !

Pourquoi le tarif des consultations est-il si cher ? Je n’aurais pas les moyens d’en payer plusieurs ! J’ai acheté  des produits apaisants, est-ce suffisant ?

Mon chat court partout et joue comme un fou tous les soirs, à l’heure du coucher ? Pourquoi ?
Mon chat griffe le canapé, c’est insupportable ! Que puis-je faire pour qu’il arrête ?
Comment punir efficacement mon chat lorsqu’il fait une bêtise ?
Je dois acheter une litière pour mon chat, c’est le casse-tête, je ne sais que choisir !
Mon chat boit au robinet, est-ce normal ?
Mon chat n’est pas câlin ? Est-ce définitif ? Que faire pour qu’il se rapproche de moi ?
Mon chat a plus de 10 ans, comment prendre soin de lui avec l’âge avançant ?
Je suis enceinte, je crains d’attraper la toxoplasmose, dois-je me séparer de mon chat ?
Un ami a eu une portée de chatons, je veux en prendre un, ils sont âgés d’1 mois et demi, est-ce le bon moment ?
J’ai « craqué » sur un chaton lors d’une exposition, est-ce une bonne idée de l’adopter si vite ?
Chat de race ou chat de gouttière ? Comment faire mon choix ? Esthétique, caractère, comportement.

Mon chat mange les lacets de nos chaussures, comment faire pour qu’il arrête ?

Mon chat urinait sur les vêtements de ma compagne. Après avoir mis du répulsif, tout est rentré dans l’ordre. Y’a-t-il des risques qu’il recommence ?

Je souhaite acheter un arbre à chat, quels critères doivent orienter mon choix ?

 

Pourquoi le tarif des consultations est-il si cher ? Je n’aurais pas les moyens d’en payer plusieurs ! J’ai acheté  des produits apaisants, est-ce suffisant ?

Il existe différentes manières d’exercer en tant que comportementaliste. J’ai choisi de faire des entretiens à domicile parce que l’observation du chat dans son environnement quotidien est essentielle à l’analyse de son comportement et à ma pratique.

L’entretien dure en moyenne 2 heures et coute 75 euros (Picardie) ou 85 euros (Paris, Ile de France). Est inclus également dans ce tarif, le suivi par téléphone ou par mail pendant 1 mois et demi après la consultation. Chaque suivi par téléphone dure entre 20 et 30 minutes.

Aussi, il faut compter de 5 à 20 euros pour la participation aux frais de déplacement (selon le cas : carburant, péage, train, etc…).

L’ensemble de la prestation représente donc un temps total de travail de près de 4 heures (entretien + 3 suivis inclus). Trouvez-vous toujours cela aussi cher ?

 

Aussi, il faut comparer le coût d’une consultation par rapport aux frais engendrés par les comportements gênants de votre chat : pressing, changement de couette, de canapé en cas de malpropreté ; frais vétérinaires ou d’hôpitaux pour vous–même en cas d’agressivité et également, un traitement médicalou des phéromones de synthèse à renouveler tous les mois lorsqu’aucune autre alternative n’a été envisagée…

De plus, les problèmes de comportements gênants ne disparaissent pas « comme par magie », ou « avec le temps » ou encore « quand le chaton aura grandi » ! Ils s’aggravent même la plupart du temps si l’on tarde à réagir.

Bien-sûr une consultation chez votre vétérinaire permettra de vérifier que votre chat est en bonne santé, un comportementaliste n’intervenant pas sur un chat malade. Mais la démarche du comportementaliste est à considérer en collaboration et en complément de celle du vétérinaire.

Le comportementaliste vous propose une autre approche dans le relationnel avec votre chat. Avec son aide, vous comprendrez la cause de ses comportements gênants et apprendrez à réagir de manière juste pour l’aider. Vous agirez sur la cause du comportement gênant (« pourquoi mon chat est-il en difficulté ? ») et pas seulement sur les conséquences (« il est agressif ou malpropre »).

Au final, cette démarche est beaucoup moins coûteuse qu’il n’y parait et doit être envisagée en amont des problèmes, et en prévention de certaines situations difficiles (déménagement, arrivée de bébé, arrivée d’un congénère).

Dans la plupart des cas, un seul déplacement à votre domicile est nécessaire si vous êtes motivés dans l’application des propositions et si vous profitez du suivi gratuit de la consultation.

Enfin, les propositions faites par le comportementaliste sont peu coûteuses, simples et généralement réalisables avec des objets du quotidien, jouets ou articles pour chat déjà en votre possession !

Alors ? Vous prenez rendez-vous ?

Mon chat court partout et joue comme un fou tous les soirs, à l’heure du coucher ? Pourquoi ?

Votre chat connait bien vos habitudes ! Il sait quand vient le moment de la journée où vous allez vous coucher, et donc où il n’y aura plus d’activité dans la maison ! Ainsi, pour se dégourdir les pattes une dernière fois avant la nuit, il va faire le fou pendant un temps plus ou moins long ! Laissez-le faire, il se détend ! C’est le quart d’heure de folie avant la nuit ! Pensez aussi à lui offrir la possibilité d’activités tout au long de la journée.


Mon chat griffe le canapé, c’est insupportable ! Que puis-je faire pour qu’il arrête ?

Faire ses griffes est un comportement normal chez le chat. Il en a besoin pour s’étirer et pour enlever les vieilles griffes émoussées de ses pattes. Egalement, cela lui permet de marquer, baliser son territoire, car les marques laissées durent dans le temps. Ne le grondez pas lorsqu’il fait cela, puisque ce comportement est naturel chez lui. Voilà un pur instinct de félin qui s’exprime ! Proposez-lui plutôt un autre support très attractif proche du canapé griffé afin qu’il puisse à loisir l’utiliser.


Comment punir efficacement mon chat lorsqu’il fait une bêtise ?

Tout d’abord, qu’est-ce qu’une bêtise pour vous ? Demandez-vous si ce comportement n’est, en fait, pas naturel chez votre chat comme faire ses griffes, « voler » de la nourriture appétissante dans votre cuisine ou monter sur la table ? Souvent, ce que nous exigeons de nos chats va à l’encontre de leurs comportements naturels.
Mais soyons clair, un chat n’a pas la notion de ce qui est bien ou mal, il suit juste son instinct. Ainsi, pourquoi le punir ?
Même lorsque la « bêtise » à lieu devant vous, inutile de crier, de faire de grands gestes, de courir après lui, ou de lui mettre « le nez dedans », en aucun cas votre chat ne va comprendre ce que vous faites !
Egalement il ne faut pas frapper un chat, même une « pichenette » sur le nez ou une « petite » claque sur les fesses. Votre chat le prendra dans tous les cas pour une agression. Il risque fort de vous agresser à son tour ! Il aura peur de vous et vous craindra. Vouloir exercer votre autorité sur votre chat n’aura aucun résultat favorable.
Alors posez-vous la question, est-ce le genre de relation que vous souhaitez entretenir avec votre matou ? Anticipez, rangez la nourriture, offrez lui des supports où il peut grimper, se percher, faire ses griffes.


Je dois acheter une litière pour mon chat, c’est le casse-tête, je ne sais que choisir !

Tout d’abord, renseignez-vous sur la litière qu’il a l’habitude d’utiliser (type de bac, type de substrat) là où vous allez adopter votre chat. Lui aussi a ses petites habitudes ! Dans l’idéal, utiliser préférentiellement le même type de litière et de bac. Plus généralement, un bac ouvert est recommandé pour une bonne diffusion des odeurs de chat ! Uriner et déféquer sont aussi du marquage de territoire. Oubliez les litières parfumées ou autres désodorisants, cela est agréable pour nous les humains, mais pour un chat, ça ne sent pas le chat ! Et n’oubliez pas, ce sont parfois les litières trop propres qui font les chats malpropres !

Mon chat boit au robinet, est-ce normal ?

Certains chats n’aiment pas l’eau stagnante d’une gamelle. Ils préfèrent boire de l’eau « en mouvement », au robinet par exemple. Si c’est le cas de votre chat, peut-être pouvez-vous lui apporter une source de boisson plus attractive pour lui. Il existe des fontaines à eau très pratiques dans le commerce. Sans trop investir, essayez déjà de rendre sa gamelle d’eau plus attrayante : proposez lui une eau en bouteille, changez l’eau plus souvent, utilisez un matériau qui ne donne pas de goût à l’eau (verre, porcelaine, inox) etc.

Mon chat n’est pas câlin ? Est-ce définitif ? Que faire pour qu’il se rapproche de moi ?

Chaque chat a son caractère, certains sont moins câlins que d’autres, ou recherchent moins le contact avec les humains. Peut-être votre chat est-il comme cela. Dans un premier temps, observez comment s’initient les interactions avec lui. En clair, privilégiez les moments où il est disponible pour les câlins (donc évitez les phases de sommeil, alimentation, toilette…). Egalement, ne soyez pas trop intrusive en le prenant ou le maintenant trop dans vos bras, laissez-le gérer la manière dont les interactions se passent. Il devrait naturellement commencer à venir vers vous chercher les câlins.
Mon chat a plus de 10 ans, comment prendre soin de lui avec l’âge avançant ?  

Tout d’abord pensez à une alimentation adaptée pour les chats seniors. La forme et la texture des croquettes sont adaptées à leurs dents plus sensibles. Elles contiennent aussi des compléments alimentaires utiles à son organisme qui vieillit. Vérifiez régulièrement l’état de ses dents (gingivite) et de ses yeux (cataracte). Côté confort, votre matou va augmenter ses périodes de sommeil, proposez-lui donc des coins douillets pour de longues siestes et l’hiver n’hésitez pas à rapprocher son panier du radiateur. Concernant son comportement, il va peut-être devenir moins tolérant au bruit et au contact. Dans tous les cas, accompagner ses changements avec bienveillance, sera le meilleur moyen que votre matou vive une retraite paisible !
Je suis enceinte, je crains d’attraper la toxoplasmose, dois-je me séparer de mon chat ?  

Il existe, en effet, des risques de contaminations dont la toxoplasmose. Mais avec des précautions, attendre un enfant et avoir un chat, ce n’est pas incompatible !
La toxoplasmose est une infection parasitaire. Le parasite peut se trouver dans les excréments de votre chat ou dans la terre contaminée par des excréments. Si votre chat vit sans accès à l’extérieur, les risques sont limités. Si votre chat a accès à l’extérieur, les risques sont réels, mais ne justifient en rien le placement de votre chat, même temporairement, et encore moins son abandon.

Dans tous les cas, voici quelques précautions à suivre :
Faites changer/nettoyer la litière par une autre personne. Si cela n’est pas possible, utilisez des gants et lavez-vous les mains ensuite.
Evitez tous risques de griffures en ne portant pas votre chat et en ne jouant pas avec lui avec les mains. En effet, de la terre restée sous les griffes pourrait contenir le parasite.
Votre chat doit également être régulièrement vermifugé, en suivant le protocole conseillé par votre vétérinaire.

Enfin, les câlins, eux, sont autorisés ! Votre chat sait qu’il se passe quelque chose en vous. Alors, profitez de ce moment avec lui, aussi.


Un ami a eu une portée de chatons, je veux en prendre un, ils sont âgés d’1 mois et demi, est-ce le bon moment ?

Non, ce n’est pas le bon moment ! C’est bien trop tôt ! Il ne faut pas confondre sevrage alimentaire, propreté et sevrage affectif. Ce n’est pas parce que votre chaton ne boit plus le lait de sa mère qu’il n’a plus besoin d’elle et du contact de sa fratrie ! Idéalement, il faut attendre la 12e semaine révolue avant d’envisager l’adoption. Prenez patience et dites-vous que tout ce qu’il va apprendre pendant ces longues semaines loin de vous dans sa fratrie, lui servira tout au long de sa vie, pour qu’il devienne un chat adulte bien dans ses coussinets !


J’ai « craqué » sur un chaton lors d’une exposition, est-ce une bonne idée de l’adopter si vite ?

Que vous ayez un coup de cœur pour une boule de poils, quoi de plus normal ? Ils sont si craquants ! Mais attention, ne pas prendre de temps et de recul dans une telle situation peut être dramatique pour vous et votre futur compagnon.

Tout d’abord, n’adoptez jamais un chaton ou un chat sur un coup de tête. Un chat a besoin d’un environnement adapté, de soins, d’activité et d’affection. N’êtes-vous pas trop souvent absent ? Pourrez-vous subvenir à des soins médicaux en cas de problème ? Et pendant les vacances, minet aura-t-il une place dans vos valises ? Si non, avez-vous une solution de garde ? Toutes ces questions, vous devez vous les poser avant l’adoption.

Egalement, visitez toujours l’élevage où vit votre futur quatre pattes. Que se soit chez un particulier ou chez un éleveur, le bon développement émotionnel et psychique du chaton doit être une priorité. De même, la transparence et la confiance sont la base de la relation éleveurs/futurs propriétaires.

Observez la chatterie : est-elle propre ? L’espace disponible pour les chats est-il adapté à l’effectif ? Y-a-il des aménagements adaptés (arbres à chats, paniers, litières…) ? Fiez-vous à votre impression et passez votre chemin si vous avez des doutes.

Si vous avez besoin de temps pour réfléchir à tous ces points et que vous avez peur de passer à côté de la perle rare, voyez avec l’éleveur la possibilité de mettre une « option » sur le chat, et prenez le temps de la réflexion.

Un comportementaliste peut vous accompagner dans cette étape importante. N’hésitez pas à le contacter !
Chat de race ou chat de gouttière ? Comment faire mon choix ? Esthétique, caractère, comportement.

Soyez vigilant si vous souhaitez acquérir un chat de race. En effet, nous voyons trop souvent des chats « de type » ou « d’apparence » qui ne sont pas des chats de race : exigez son pedigree LOOF.

Pour faire votre choix, considérez déjà vos préférences sur le plan esthétique : préférez-vous un chat à face plate ? A poils courts ? Athlétique ? A toiletter ? La visite d’une exposition féline est aussi un bon moyen d’affiner votre choix, car vous verrez « en vrai » la beauté du poil, l’intensité d’un regard, en un mot le charisme de ce félin !

Ensuite, pour son caractère, prenez garde aux idées reçues : c’est une race qui aime les enfants, c’est un chat-chien, il est exclusif, c’est un chat coussin… Gardez à l’esprit que seules des conditions de développement précoces adaptées feront de ce chat, un matou proche de l’humain ou non, et avec une grande tolérance vis-à-vis des jeunes enfants.

Enfin, la morphologie du chat joue un rôle dans son comportement : un chat athlétique sera plus vif et remuant qu’un chat de grande taille à l’ossature plus massive.

N’oubliez pas que, de race ou de gouttière, c’est avant tout un chat ! Et que dans leurs comportements et dans leurs caractères, ils sont tous des Chats Pluriels !

Mon chat mange les lacets de nos chaussures, comment faire pour qu’il arrête ?

Et bien, il va falloir investir dans un placard à chaussures !

L’ingestion de ce genre d’objets (lacets, cordons de vêtements, liens de sac poubelle) est réellement dangereux pour le chat avec comme risque : vomissement, asphyxie, occlusion intestinale, ou pire, la mort dans certains cas. Il faut donc être vigilant d’autant que personne ne peut surveiller son chat continuellement. Pour éviter cela, il faut sécuriser l’environnement en rangeant systématiquement les chaussures et les objets à risque. Quelque soit l’âge, un chat a besoin de jouer ; les lacets sont pour lui un superbe jouet, en rangeant les chaussures et en lui proposant d’autres jouets, la frustration due à l’absence de ce super joujou sera moins grande.

Cependant, ce chat a-t-il tendance à grignoter, manger, mâchonner, ingérer d’autres objets ? Par exemple, mâchonner des pulls ou autres vêtements en matière naturelle (lin, coton, laine etc…). Si non, tout va bien, c’est juste un félin qui a envie de jouer ; si oui, il peut s’agir d’un trouble du comportement alimentaire, dans ce cas-là, une consultation avec un comportementaliste serait utile.

 

 

Mon chat urinait sur les vêtements de ma compagne. Après avoir mis du répulsif, tout est rentré dans l’ordre.

Y’a-t-il des risques qu’il recommence ? 

 

Un chat, qui urine à un endroit non acceptable pour vous, exprime quelque chose. L’endroit, la fréquence, la position du chat lorsqu’il urine, tous ces paramètres nous « parlent » . Si le chat urine à cet endroit, c’est qu’il a une bonne raison.

C’est vrai, dans certains cas, mettre du répulsif peut temporairement stopper le problème. Mais introduire une odeur inconnue et désagréable peut aggraver la situation et ajouter du stress à votre chat ; en tout cas, il ne résout rien puisque la vraie raison de la malpropreté n’a pas été étudiée. De plus, vous devrez renouveler le répulsif souvent, donc en racheter régulièrement. Ce n’est pas une solution pérenne.

Choisissez plutôt une solution durable : une consultation avec un comportementaliste. Il va observer dans quelle(s) circonstance(s) la malpropreté se produit, et vous expliquer ce que ressent votre chat à ce moment là et pourquoi il urine. Des propositions pour rediriger ce comportement indésirable seront alors mises en place ensemble, afin que votre matou et vous retrouviez la sérénité !

Je souhaite acheter un arbre à chat, quels critères doivent orienter mon choix ?

 

Un arbre à chat ou tout accès en hauteur (haut d’armoire, étagère) sont essentiels pour le bien-être du chat. C’est un animal qui vit en trois dimensions : il a besoin de grimper et de se percher.

Devant le choix proposé dans les magasins spécialisés et sur internet, voici quelques critères essentiels pour un bon achat :

 

La qualité / la robustesse : la qualité des matériaux est essentielle. La fourrure (ou peluche) qui recouvre les plateformes doit être épaisse et collée au support sur toute la surface. Les parois des niches doivent être en bois et pas en carton. La niche doit être située en hauteur, car au ras du sol, certains petits étourdis pourraient la prendre pour leur litière !

La sécurité : Plus il est haut, plus il doit avoir de pieds ! Choisissez un arbre à 3 ou 4 pieds minimum. Des accidents graves avec des arbres peu stables sont possibles. Au besoin, fixez votre arbre à chat au mur ou au plafond.

Sur un arbre assemblé aucune vis de fixation ou arrête saillante ne doit apparaître, il y a des risques de blessures.

L’hygiène : L’arbre doit être facile à nettoyer avec un aspirateur. L’intérieur des niches, notamment, doit être facilement accessible en cas d’infestation de puces.

La hauteur : Rien ne sert d’acheter un arbre très haut ; 1, 40 m maximum sont suffisants. N’oubliez pas que vous devrez peut-être aller chercher votre acrobate perché sur la dernière plateforme !

Les pièces de rechange : Après quelques années d’utilisation, il est parfois nécessaire de changer un élément, les poteaux en sisals qui sont utilisés comme griffoir par exemple. Vérifiez si la marque et le modèle choisis disposent de pièces de rechange.

Le prix : un bon arbre à chat a un coût. Privilégiez la qualité quitte à payer plus cher, votre arbre résistera des années à l’assaut de votre fauve !

Enfin, si vous êtes bricoleur, rien ne vous empêche d’en fabriquer un vous-même, soyez créatif !