PRP News ! n°16 - 9 février 1999 |
SOMMAIRE
EDITORIAL Nous vous convions à participer à l'Assemblée Générale
de votre Association le 30 mars prochain; vous trouverez la convocation
et l'ordre du jour en annexe, ainsi qu'un plan d'accès. Pour ne
vous laisser aucune excuse, nous reprenons la même salle que l'année
dernière pour cette AG !
Venez nombreux, au meilleur profit de tous !
RK
Actions en Cours ... Passage forcé en FNE sans Indemnisation Le jugement des prud'hommes prononcé le 16 novembre 1998 nous
a débouté.
A suivre ! MB
Majoration de l'ICL des cadres Ainsi qu'indiqué dans le numéro précédent,
le défi a été relevé par votre Association,
et le problème du non respect de la majoration de 30 % de l' ICL
a été porté devant les Prud'hommes, l'audience ayant
lieu, en principe, le 15 février.
RK
Paiement correct de la Prime de 10% Comme convenu dans le PRPNews précédent nous avons fait
le point sur ce problème.
RK
Complément ICL Club des Anciens Suite à l'alerte d'un PRPiste (voir PRPnews N° 15) dont la
prime avait été soumise aux cotisations sociales (CSG+RDS),
nous avons recherché les textes officiels qui ont conduit BULL à
faire ce prélèvement.
MB
Dossier Retraites : Unification des régimes ARRCO à partir de janvier 1999 Depuis le 1er janvier 1999, le point ARRCO, égal à un Euro, remplace toutes les valeurs de points de retraites complémentaires des salariés. Les réglementations spécifiques des 44 régimes existant jusqu'alors disparaissent. Elles sont remplacées par un régime unique. Depuis le 1er janvier 1999, il n'y a plus qu'un seul régime (le
retraite complémentaire ARRCO et une seule valeur de point pour
l'ensemble des salariés, cadres et non-cadres, du secteur privé.
Ce point unique est égal à un Euro. Concrètement,
même s'il a cotisé auprès de plusieurs institutions,
un salarié demandant sa retraite n'aura désormais à
faire qu'à une seule caisse, qui lui versera l'ensemble de ses pensions
complémentaires en un seul règlement.
Pour les retraités actuels rien ne change Les personnes qui sont déjà la retraite ne verrons pas leurs habitudes bouleversées par l'entrée en vigueur du régime unique! Pour elles, rien ne change. Leurs points seront certes, comme pour les actifs, convertis en points ARRCO, mais cela n'aura aucune incidence sur le montant de leur retraite : elles continueront chaque trimestre de percevoir au franc près les mêmes pensions versées par les mêmes institutions. Le changement est beaucoup plus sensible pour les futurs retraités qui déposeront leur demande à compter du 1er janvier 1999 puisque le régime unique leur est applicable. Une seule valeur de point, un seul paiement, un seul interlocuteur Désormais, tous les régimes proposent une valeur de point
unique, celle du point ARRCO, et une seule caisse centralise les informations
concernant un retraité.
Vous serez informé de vos droits acquis La caisse dont vous relevez en tant que salarié au 1er janvier
1999 vous notifiera votre décompte de points convertis, au plus
tard en l'an 2000, en intégrant les points ARRCO acquis au cours
de l'année 1999.
Les revalorisations à venir Les retraites complémentaires ARRCO seront revalorisées pour tous de la même façon et au même moment, (en principe le 1er avril et le 1er octobre de chaque année). En 1999 et 2000, la valeur du point évoluera en fonction du taux d'accroissement du salaire moyen des cotisants, diminué de 1 point. Cette revalorisation ne pourra pas dépasser l'évolution des prix. Quant au salaire de référence (prix d'achat d'un point), il sera fixé, lui aussi, en fonction du taux d'accroissement du salaire moyen des cotisants, mais majoré de 3,5%. Il faut donc, et c'est la règle depuis 1996, payer plus cher pour avoir moins de points. Une caisse unique chargée du suivi de votre dossier A compter du 1er janvier 1999, les droits du salarié sont liquidés et payés par une seule caisse (en général, la dernière à laquelle il était affilié, à condition d'y avoir cotisé au moins 3 ans. Sinon, ce sera l'institution aura reçu ses cotisations pendant la plus longue durée). Cette caisse disposera de toutes les informations nécessaires grâce aux moyens (notamment informatiques) mis en place. En pratique, comment sera traité votre dossier ? Première étape, lorsque vous atteignez l'âge de
55 ans, vos périodes de cotisation sont intégrées
au fichier de reconstitution de carrière géré par
le Centre informatique national de l'ARRCO. Puis, au moment de la liquidation
de votre retraite, les institutions compétentes, pour chacune de
ces périodes, seront invitées à transmettre le montant
de vos droits (en points ARRCO) à la caisse unique chargée
de l'instruction de votre dossier. Cette dernière calculera votre
retraite, en tenant compte des majorations (pour enfants ... ) prévues
par les anciens règlements et dont elle sera informée par
le Centre informatique national.
Il est prévu une période transitoire Les demandes de retraite antérieures à 1999 seront soumises aux anciennes règles de coordination - chaque caisse liquide et paie sa retraite -, sauf si votre pension prend effet après le 30 juin 1999. La même réglementation pour tous Le nouveau régime est plus simple, mais aussi plus équitable
puisque les règles, en matière de retraite complémentaire,
sont désormais identiques pour tous.
La retraite peut être liquidée à partir de 55 ans L'instauration du régime unique entraîne une nouveauté
: la retraite peut être liquidée dès 55 ans. Certes,
quelques institutions (22 sur les 91 existantes) prévoyaient déjà
la possibilité d'une retraite anticipée, et minorée
dès 55 ans, voire 50 ans pour la caisse de retraite des Expatriés.
Mais elles faisaient figure d'exception. Désormais, toute liquidation
de droits intervenant à compter du 1er janvier 1999 obéit
à une seule et même règle : la retraite "normale" est
payée à 65 ans ; il est possible d'en demander la liquidation
à partir de 55 ans, mais des coefficients de minoration seront appliqués.
- Il est possible d'obtenir une retraite complémentaire entre 60 et 65 ans, sans coefficient de minoration, lorsque le salarié perçoit une pension de vieillesse de la Sécurité sociale à taux plein, ce qui est le cas des salariés inaptes, des anciens déportés ou internés, anciens combattants et prisonniers de guerre, des mères de famille ouvrières et de certains mineurs de fond. - C'est également le cas, jusqu'au 31 décembre 2000, des salariés ayant un nombre suffisant de trimestres d'assurance vieillesse de la Sécurité sociale et "présents" dans le régime au moment de la liquidation des droits, ce qui exclut les personnes qui finissent leur carrière en tant que commerçant, par exemple. Enfin, tout salarié peut dorénavant demander sa retraite dès 55 ans, mais les points inscrits à son compte seront affectés définitivement d'un coefficient de minoration. Ces coefficients de minoration s'appliqueront aussi aux diverses majorations (ancienneté, déportés ... ) auxquelles vous pouvez avoir droit, sauf à celles accordées pour enfants. En revanche, ils ne seront pas pris en compte pour le calcul de la pension de réversion. Comment seront calculées les majorations Le régime unique prévoit un seul type de majoration : celle liée aux enfants. Les règlements de certaines institutions accordaient, en plus, des bonus particuliers en raison de l'ajournement de la demande de retraite, de l'ancienneté (dans une entreprise ou une profession) ou lorsque l'intéressé avait été déporté ou interné. L'ARRCO a précisé comment ces bonus devaient être pris en compte. Les majorations pour enfants Le régime unique, applicable au 1er janvier 1999, instaure deux types de majorations pour enfants, qui ne sont pas cumulables simultanément. - Il est d'abord prévu une majoration de 5 % pour chaque enfant à charge au moment de la liquidation de la retraite. Sont considérés comme tels les enfants de moins de 18 ans; ceux de moins de 25 ans étudiants, apprentis, sous les drapeaux ou demandeurs d'emploi non indemnisés par l'ASSEDIC, les enfants invalides quel que soit leur âge, mais à condition que leur état d'invalidité ait été constaté avant leur 21ème anniversaire. Ce bonus de 5 %, qui s'applique à l'ensemble de la carrière, avant et après 1999, est versé pendant toute la durée où l'enfant est à charge. Il présente par ailleurs, l'avantage d'être cumulable avec les majorations pour enfants nés ou élevés accordées, jusqu'au 31 décembre 1998, par les anciens règlements. - Seconde disposition : lorsque le salarié n'a plus d'enfants à charge, le régime unique attribue une majoration de 5 % si le salarié a élevé au moins 3 enfants pendant 9 ans avant leur 16ème anniversaire. Cette majoration est calculée sur les droits inscrits à compter du 1er janvier 1999. Les enfants pris en compte sont ceux qui sont nés à la date de liquidation de la retraite, même si, à cette date, ils ne remplissent pas encore la condition d'avoir été élevés pendant 9 ans. Les majorations familiales sont calculées sur les droits de base (périodes cotisées et périodes assimilées, telles que le chômage, la maladie...), sans tenir compte des coefficients de minoration (pour départ anticipé) ou de majoration (pour ajournement, pour ancienneté, etc.). Rappelons que les majorations pour enfants nés ou élevés étaient, en pratique, prévues par les anciens règlements de nombreuses institutions. Elles continuent à être appliquées sur les droits inscrits au compte du salarié avant 1999, sous réserve que les conditions requises, pour en bénéficier, soient satisfaites au 31 décembre 1998. Les majorations pour ajournement Le régime unique ne prévoit pas de majoration pour ajournement.
Dans certains anciens règlements, celle-ci pouvait exister lorsque
le salarié demandait la liquidation de ses droits au-delà
de 65 ans. Toutefois, les cotisants qui avaient plus de 65 ans avant le
1er janvier 1999 et qui demanderont leur retraite après cette date,
bénéficieront des éventuels coefficients d'ajournement
des anciens régimes, calculés sur les droits de base. Mais
le coefficient retenu sera celui de l'ajournement constaté au 31
décembre 1998. Le report de liquidation au-delà du 1er janvier
1999 n'aura donc pas pour effet d'augmenter la valeur de ce coefficient.
Le calcul des pensions de réversion ne tient pas compte de ces bonus.
Calcul d'une retraite demandée en mars 1999 Un salarié, âgé de 65 ans, demande sa retraite en
mars 1999 ; il a élevé 3 enfants, dont l'un est encore à
sa charge ; de 1985 à 1995, il cotisait à l'ANEP dont le
règlement prévoyait une majoration de 10 % pour les retraités
ayant eu 3 enfants ; de 1995 à mars 1999, il était indemnisé
par l'ASSEDIC ; le montant annuel de ses droits de base à l'ANEP
est de 2 615,14 F.
Pendant sa période de chômage, il a acquis des droits à
pension à hauteur de 1 046,23 F pour la période allant jusqu'au
31 décembre 1998 et de 220,00 F du 1er janvier au 30 mars 1999.
Comme cette période de chômage indemnisé fait suite
à une période de travail, elle donne lieu aux majorations
de l'ANEP :
Lorsque le dernier enfant ne sera plus à charge, le retraité bénéficiera de la majoration de 5 % pour enfants élevés, instaurée par le régime unique, sur la partie de sa carrière postérieure à 1998. Elle se cumulera avec la majoration acquise avant 1998. Les majorations en faveur des déportés Les majorations prévues par les anciens règlements en faveur des déportés et internés, soit pour des raisons politiques, soit dans le cadre de la Résistance, sont maintenues, mais ne se calculent que sur les périodes antérieures à 1999. Ces majorations sont intégrées dans les droits de base et, de ce fait, prises en compte pour les diverses majorations et pour le calcul des droits de réversion. Les caisses qui prévoyaient cet avantage sont : UPS, Ireps, Crisa, CNRO. Les majorations pour ancienneté Les majorations pour ancienneté, appliquées aux seules périodes de travail (à l'exclusion des périodes assimilées) avaient pour objet de récompenser la fidélité à une entreprise ou une profession. Elles ne seront allouées, pour les périodes antérieures à 1999, que si, au 31 décembre 1998, le salarié remplissait les conditions pour en bénéficier. Ces majorations sont prises en compte pour le calcul des pensions de réversion. La majoration pour ancienneté était appliquée par les caisses suivantes : AGRR, Capaves, CBTP-R, CNRO, Cirps, Crepac, Unirs. La validation des débuts de carrière non cotisés Les "services passés" - c'est-à-dire les périodes
d'emploi effectués entre 16 et 65 ans avant que l'affiliation à
un régime de retraite complémentaire ne soit obligatoire
- donnent droit à des points.
Un capital peut remplacer une retraite trop faible Un capital unique sera systématiquement versé aux personnes
dont le montant de la retraite est inférieur ou égal à
une somme équivalent à 100 points ARRCO (soit environ 656
F). Ce capital unique correspond à 12 fois le montant annuel de
la complémentaire (soit, au maximum, 7 776 F environ).
Les droits à réversion sont harmonisés Pour tout décès survenu depuis le 1er juillet 1996, une
pension de réversion, à hauteur de 60 % des droits du décédé,
est accordée à partir de 55 ans aux veufs comme aux veuves
(ou ex-conjoints divorcés) non remariés. Toutefois, aucune
condition d'âge n'est requise si, lors du décès de
l'allocataire, le conjoint survivant est invalide ou a au moins 2 enfants
à charge.
Décès antérieur au 1er juillet 1996 Les droits des veufs sont élargis.
Les droits de réversion des concubins sont supprimés. Il n'est plus possible, pour un concubin (ou une concubine), d'obtenir
une pension de réversion dès lors que le décès
est postérieur au 31 décembre 1998.
Les orphelins ont droit à une allocation Dans le régime unique de l'ARRCO, une allocation égale à 50 % des droits du salarié décédé peut être versée aux orphelins de père et de mère s'ils remplissent l'une des conditions suivantes : moins de 21 ans au décès du dernier parent ; moins de 25 ans et à charge du dernier parent au moment du décès de celui-ci ; invalide, quel que soit son âge, à condition que l'état d'invalidité soit intervenu avant son 21ème anniversaire. Cette allocation est versée tout le temps que l'orphelin peut être défini comme un enfant à charge au sens de l'ARRCO. Avoir un enfant à charge au moment du départ à la retraite ou avoir élevé 3 enfants permet d'augmenter sa complémentaire. Ce sont les seules majorations prévues par le régime unique. Certaines institutions attribuaient une pension de réversion aux orphelins de père ou de mère, représentant de 10 à 20 % des droits du défunt. Si le décès est antérieur au 1er janvier 1999, ces pensions restent dues. Les caisses concernées sont l'Ireps, la Capricas et la CPM. Ulrcommec et la CNRO l'accordent aux seuls orphelins de père. Cet article est extrait du Particulier n°917 (janvier 1999)
Note : Certains exemples de l'article original ont été
remaniés, compte-tenu notamment de la fixation définitive
du cours de l'Euro, et donc du point ARRCO.
Assemblée Générale du 30 mars 1999 Il y aura bientôt 5 ans que les premiers PRPistes ont commencé à récolter les fruits de toute une vie de travail, et dans 5 années d'ici, il y en aura encore qui continuerons de pratiquer les chemins de la PRP… Il se trouve qu'un solide noyau d'entre-nous a eu les réflexes de faire conjuguer Solidarité et Vigilance au bon moment. Mais si on souhaite que les derniers PRPistes bénéficient d'autant d'attention que les premiers, alors il est hautement désiré qu'un brassage des énergies ait lieu, qu'une relève progressive, à TOUS les échelons, viennent renforcer notre Vigilance collective, qu'un engagement de sang neuf vienne renforcer notre dynamisme et notre crédibilité, et que même passé en FNE ou en retraite, vous continuiez à faire un bout de chemin supplémentaire avec nous. L'environnement est toujours aussi incertain, la presse, par exemple,
fait mention de prévisions de dégraissage pour cette nouvelle
année de 1 000 à 2 000 personnes !
Ne vous endormez surtout pas, la Vigilance reste plus que jamais de
mise !
Voici un point sur nos activités de l'année écoulée : Passage forcé de PRPistes en FNE : Passage en phase contentieuse avec un premier collectif de six personnes. Une tentative de conciliation a échoué, un premier jugement a eut lieu en novembre dernier, et un Appel est en cours, avec la totalité des six Vigilants d'origine ! Paiement correct de la Prime de 10% : Comme indiqué par ailleurs, un point exhaustif a été fait avec tous les intéressés, et pour tenir compte de leur très grande majorité, l'affaire est maintenant considérée comme close. Préavis des " 95 " : Nous avons constaté une très grande disparité des dispositions relatives au préavis des " 95 ", ce qui nous a conduit à rencontrer juristes et DRH de la Compagnie, pour leur demander le retour à un traitement juste et égalitaire pour tous. Ce problème semble se régler d'une manière assez satisfaisante pour la majorité des personnes intéressées. Nous restons bien sûr à la disposition de ceux qui pourraient souhaiter un complément d'information. Négociations salariales : Nous nous associons aux syndicats dans ces négociations pour que les " temps partiels " que nous sommes ne soient pas oubliés, abandonnés, exclus du " retour à meilleure fortune " que pourrait connaître la Compagnie. Les sacrifices que nous avons consentis (par la diminution importante de nos salaires et par une baisse significative de nos revenus) le justifient amplement ! Majoration de l'ICL des cadres : Une inégalité de traitement a été constatée
lors du calcul de l'ICL parmi ceux qui sont déjà partis en
retraite, et qui n'avaient pas atteint une ancienneté maximum.
L'affaire a été portée devant les Prud'hommes. La Direction a refusé toute conciliation, et l'audience est prévue pour le 15 février. Affaire à suivre ! Correction du nombre de points AGIRC 96 et 97 attribués : Lors de la réception du décompte de points AGIRC de 1996, un certain nombre de courageux ont pris leur calculette et sont vite arrivés à la conclusion qu'il leur manquait un certain nombre, non négligeable, de points ! Là encore, déroulement du processus maintenant habituel : calculs, vérifications, demande de renseignements, demande de rendez-vous, réunion avec la Direction, suivi de la prise en compte du problème… Une réponse officielle, mais pour l'instant uniquement verbale,
nous est arrivée : " oui il y a bien un problème, de notre
fait, dû à un changement du programme assurant la paye en
juin 1996, lorsque nous sommes passé sous UNIX, et nous allons procéder
aux corrections nécessaires ".
Tout semblait trop simple, jusqu'à ce que les points 1997 arrivent
! Et bien, là encore, des calculs erronés ont été
fait : Serait-on repassé d'UNIX à GCOS ?
Aides, Conseils et Communication : - Edition d'un Bulletin d'Information,
Le formulaire figurant en annexe 4 vous permettra d'approuver ou non ce rapport moral. RK
Rapport financier Les recettes de l'APV proviennent des 337 cotisations de nos adhérents, et des participations individuelles aux frais d'avocat pour le procès FNE forcé sans indemnisation. Rappelons que nous avons enregistré : - 485 adhérents pour l'année 1996
Cette érosion que nous constatons ne nous surprend pas. Elle suit le rythme des passages en retraite, et si la solidarité des anciens PRPistes se manifeste elle ne devrait pas mettre en cause la pérennité de notre association. Le CE des CLAYES nous a versé une subvention de 10 000 F ; il continue à héberger nos permanences du mardi et il a pris en charge les frais de tirage et d'expédition de notre bulletin interne PRPNews. Le placement de nos réserves à la caisse d'épargne nous a rapporté 2 098,86 F. Nos dépenses peuvent s'analyser en 3 groupes principaux :
L'exercice 1998/99 donne un résultat positif de 2 781,69 F qui sera affecté aux réserves. (voir le tableau n°1 en annexe 1.). Le bilan présente un solde positif de 6 351,19 F qui nous permet de constituer une réserve de fonctionnement pour les années avenir et une réserve de vigilance au cas où la concertation avec Bull resterait au niveau actuel. (voir le tableau n°2 en annexe 1). Le formulaire figurant en annexe 4 vous permettra d'approuver ou non ce rapport financier. JPM
Fixation des Cotisations 2000 Pour l'année 2000 nous vous proposons de nous en tenir aux résolutions de l'Assemblée générale de l'an dernier pour 1999, à savoir un montant des cotisations diffèrent selon le statut des PRPistes : - 100 F pour les PRPistes en activité ou en congé de fin
de carrière,
Nous proposons de ne pas modifier ces montants. Remarque : le bulletin d'adhésion figurant en annexe 5 ci-après
tient compte des dispositions votées l'an dernier .
Election des membres du Bureau et des Commissions Voici la composition actuelle du bureau de l'Association :
AG
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