La Casbah d'Alger.
De la prison civile ( Barberousse ) à la Place de la Lyre ( fin ).
La place Rabbin Bloch.
Lors de sa construction en 1850,
- La synagogue était située sur une petite place sans nom.
- Encadrée à gauche par la rue Caton,
- la rue Jacob bordée l’arrière de l’édifice
- la rue Ourali était sur le coté droit.
La grande Synagogue sur la place Rabbin Bloch.
Son architecture
- inspirée de celle des mosquées, se reconnaissant à son grand dôme central
et son parvis sur lequel s'ouvraient, sur sa facade une grande porte à deux colonnes
et deux portes latérales.
- En 1860, Louis Piesse
dans ses carnets de voyages en Algérie écrivait :
La Synagogue gagnera beaucoup, quand ses abord seront complètement dégagés.
Elle remplacera la Synagogue de la rue Sainte.
Rue Bison, - il y avait une synagogue enfouie.
Le peu qui en restait conserver les traces assez visible d’une riche ornementation.
Plus tard,
- après l’ouverture de la rue Randon,
la place sans nom fut baptiser Place Randon.
- La légende de la photo ci contre était la suivante :
- Alger
La Grande Syngogue
Place Randon
Au voisinage de la Grande Synagogue
- se trouvait un curieux marché, auquel on accédait par un escalier.
Place Randon le petit marché arabe
La plus part des places de la casbah
- avaient leurs marchés.
- Souvent journalier,
qui se clôturaient sur les douze coups de midi pour éviter les grandes chaleurs de la mi-journée.
- La Place Randon.
- son petit marché ambulant
- à droite la rue Ourali
- à gauche la rue Caton
La rue Randon.
Dans son cheminement
- plat et presque rectiligne en direction du marché de la Lyre,
elle croisait :
La fin de la rue Randon.
- La rue Brahim Fatah au 30 et 32,
- Impasse Lavoisier au 28,
- La rue porte neuve,
- la rue Pompée au 11,
- impasse Dupleix au 20,
- la rue Duvivier au 11,
- L’impasse Buffon au 16,
- la rue d’Oran au 7,
- la rue Ismael Bouderbah au 8,
- la rue Médée.
Mais avant l’ouverture
- de cette grande artére, la physionomie des rues était différente.
- En 1850 l’itinéraire pour allez au marché de la Lyre était le suivant :
De la place sans nom,
- on descendait la rue Caton pour rejoindre la rue de la Girafe,
puis on continuait par la rue des Oranges.
- Elle nous menait dans la rue Porte Neuve,
on descendait un petite partie de cette rue, pour prendre
la rue Pompée avec son impasse.
Cette impasse deviendra plus tard la rue Pompée que nous avons connu.
- Au bout de l’ancienne rue Pompée, la rue de Nemours
pouvait nous conduire en descendant des escaliers vers la rue Napoléon (rue de la Lyre)
ou en remontant la partie plane mais un peu sinueuse vers la rue Médée.
- Après avoir traverser la rue Médée,
la rue du Centaure nous menait rue Staoui qui débouchait sur la place de la Lyre,
en lieu et place de la future rue Randon.
Angle de la rue Randon et de la rue porte neuve en 1900.
Le début de la rue Randon.
De la place sans nom,
- qui deviendra Place Randon,
puis plus tard place Rabbin Bloch,
- on pénétrait dans la rue Randon,
- toujours très animée,
- qui était surtout habités par des Juifs.
- La rue Randon
passait au travers de la rue Porte Neuve et
de la rue Médée avant d’aboutir place de la Lyre.
Tout son coté droit était jalonné d’ impasses.
Parfois en rentrant de l’école Lavigerie,
- à partir du marché de la place de la Lyre.
- Je flânais par ces chemins .......
rue Randon, rue Marengo, rue Ben Chened, rue de l' Hydre et enfin rue Socgémah.
La place de la Lyre et la rue Randon en 1890.
Là se termine cette ballade
- Une longue promenade qui nous a permis de travers la casbah par son milieu,
de décrire les rues d’aujourd’hui et surtout d’hier et qui étrangement se termine
par la place connu des habitués, mais surtout par les anciens de l’école Lavigerie :
- La Place de la Lyre et son marché.
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